Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Les citations d'Alphonse Allais.

1 — Qui est Alphonse Allais ?

Photo de Alphonse Allais Biographie courte : Journaliste, conteur, humoriste et écrivain français né le 20 octobre 1854 à Honfleur dans le Calvados, Alphonse Allais est mort le 28 octobre 1905 à Paris. Il meurt à 51 ans frappé d'une embolie pulmonaire, et repose au cimetière parisien de Saint-Ouen. (Source : Wikipédia)

2 — Les 51 pensées et citations d'Alphonse Allais :

Le rire est à l'homme ce que la bière est à la pression.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

J'ai toujours remis au surlendemain ce que j'aurais parfaitement pu faire l'avant-veille.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Le comble de la distraction : Le matin, en se réveillant, ne pas penser à ouvrir les yeux.

Alphonse Allais - Journal Le Tintamarre, le 24 août 1879.

Le comble de la prudence : Marcher sur les mains, de peur de recevoir une tuile sur la tête.

Alphonse Allais - Journal Le Tintamarre, le 28 octobre 1877.

La médecine n'est pas une affaire de science, c'est une affaire de veine.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Dieu a sagement agi en plaçant la naissance avant la mort ; sans cela, que saurait-on de la vie ?

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

J'ai souvent remarqué que les cocus épousaient de préférence les femmes adultères.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

C'est drôle comme ça vous vient une invention... au moment où on s'y attend le moins.

Alphonse Allais - À se tordre (1891)

Le sel de l'existence est essentiellement dans le poivre qu'on y met.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Oh, le beau triomphe que de casser l'aile aux rêves !

Alphonse Allais - À se tordre (1891)

Une fois qu'on a passé les bornes, il n'y a plus de limites.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Entre pauvres gens, on compatit volontiers.

Alphonse Allais - Le Boomerang (1912)

L'oubli, c'est la vie.

Alphonse Allais - Vive la vie ! (1892)

Ventre affamé n'a pas d'oreilles, mais il a un sacré nez.

Alphonse Allais - Le chat noir, le 11 janvier 1890.

Une mauvaise idée vaut toujours mieux que pas d'idée du tout.

Alphonse Allais - À se tordre (1891)

Beaucoup de contribuables aiment mieux payer de lourds impôts que de s'affubler d'une femme et de mioches.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Un cocu, c'est un type qui est marié et que sa femme lui fait des blagues avec d'autres types.

Alphonse Allais - Deux et deux font cinq, Fragment d'entretien (1895)

On dit que c'est vilain, le mensonge ; mais y a des fois où c'est plus chouette que la vérité.

Alphonse Allais - Deux et deux font cinq, Fragment d'entretien (1895)

La vie est faite de concessions à perpétuité.

Alphonse Allais - Deux et deux font cinq, Une drôle de lettre (1895)

Les protestations d'innocence, voilà à quoi nous reconnaissons les coupables de profession.

Alphonse Allais - L'affaire Blaireau (1899)

Il n'est pas nécessaire pour être un bon professeur de gymnastique d'être personnellement un athlète, de même qu'on peut enseigner admirablement la comptabilité, sans être pour cela un grand négociant.

Alphonse Allais - L'affaire Blaireau (1899)

Pour être emprisonné, il n'est pas absolument nécessaire d'être coupable, mais, pour être mis en liberté, il ne suffit pas toujours d'être innocent.

Alphonse Allais - L'affaire Blaireau (1899)

Les gens qui ne rient jamais ne sont pas des gens sérieux.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

La bonté, tôt ou tard, trouve sa récompense.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Partir, c'est mourir un peu, mais mourir, c'est partir beaucoup.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Sans être des ivrognes, les jeunes gens se laissent quelquefois entraîner.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Je bois pour oublier que je suis un ivrogne.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

La mort est un manque de savoir-vivre.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Une chose facile à avoir en décembre, c'est du sang-froid.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Ne remets pas au lendemain ce que tu peux faire la veille.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Ne remets pas à demain ce que tu peux faire après-demain.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Il faut demander plus à l'impôt et moins aux contribuables.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Soyez vilain ou soyez beau, pour la santé, c'est kif-kif bourricot.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Parlons peu, mais parlons bien !

Alphonse Allais - Le Boomerang, III (1912)

L'absinthe, c'est l'oubli ! l'absinthe, c'est l'évasion céleste de ce bagne terrestre qu'est la vie.

Alphonse Allais - Le Boomerang, III (1912)

Tout a une fin, même les meilleures plaisanteries.

Alphonse Allais - À se tordre, Esthetic (1891)

Comme disent les Français, dans le cochon tout est bon, même l'intérieur.

Alphonse Allais - À se tordre, Esthetic (1891)

C'est le fonds qui manque le moins, mais ce sont les fonds qui nous manquent le plus.

Alphonse Allais - Le Briard almanach républicain - 1887.

Maîtresse - Je préfère les femmes d'amis aux autres : comme ça, on sait à qui on a affaire.

Alphonse Allais - À se tordre, Le palmier (1891)

Comme c'est plus commode que d'être l'amant de la femme d'un inconnu !

Alphonse Allais - Rose et vert-pomme, Qui perd gagne (1894)

L'amour, comme la foudre, et aussi comme le génie, procède volontiers par brusques lueurs.

Alphonse Allais - Rose et vert-pomme, Simplement (1894)

Il y a un truc pour faire cesser la solitude d'une jeune femme, la partager (la solitude, pas la femme)

Alphonse Allais - Rose et vert-pomme, Trépidation (1894)

Tout est dans tous, et vice et versa.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

La plaie dont ne se trouve aucun baume, c'est d'être séparé de celle que l'on aime.

Alphonse Allais - Plaisir d'humour, Une belle cause (1966)

Impossible de vous dire mon âge, il change tout le temps.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Un cocu, c'est un type qu'est marié et que sa femme lui fait des blagues avec d'autres types.

Alphonse Allais - Deux et deux font cinq (1895)

C'est curieux comme l'argent aide à supporter la pauvreté.

Alphonse Allais - Silvérie ou les fonds hollandais, le 19 mai 1898.

Par les bois du Djinn, où s'entasse de l'effroi ; parle et bois du gin ! ou cent tasses de lait froid.

Alphonse Allais - Poème holorime.

La femme est le chef d'œuvre de Dieu, surtout lorsqu'elle a le diable au corps.

Alphonse Allais - Les aphorismes (1902)

Le tic-tac des horloges, on dirait des souris qui grignotent le temps.

Alphonse Allais - Le chat noir, le 11 janvier 1890.

Nous parlons de tuer le temps, comme si hélas ! ce n'était pas lui qui nous tuait !

Alphonse Allais - Le chat noir, le 11 janvier 1890.

3 — La liste des auteurs populaires :

Le dictionnaire des meilleurs auteurs français et étrangers »
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