Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Les citations célèbres d'Alphonse de Lamartine.

1 — Notre citation favorite d'Alphonse de Lamartine :

Photo de Alphonse de Lamartine La poésie c'est ce que l'homme a de plus divin dans la pensée ; de ce que la nature visible a de plus magnifique dans les images et de plus mélodieux dans les sons ! C'est à la fois sentiment et sensation, esprit et matière, et voilà pourquoi c'est la langue complète, la langue par excellence qui saisit l'homme par son humanité tout entière, idée pour l'esprit, sentiment pour l'âme, image pour l'imagination, et musique pour l'oreille ! (Des destinées de la poésie publié en 1834.)

2 — Les pensées et citations célèbres d'Alphonse de Lamartine :

Il y a deux sortes de révolutions : les révolutions en arrière et les révolutions en avant. Révolutions pour révolutions, il vaut mieux servir celles de l'avenir ; car si l'avenir a des illusions, sans doute comme toute chose humaine, le passé n'a que des ruines.

Alphonse de Lamartine - Les pensées diverses (1869)

La douleur lentement m'entr'ouvre le tombeau : Salut, mon dernier jour ! sois mon jour le plus beau !

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

L'égoïste est né pour lui seul, l'homme collectif est né pour ses semblables.

Alphonse de Lamartine - Cours familier de littérature (1856)

Dans le pays de l'intelligence la plus riche dot est la jeunesse, l'amour et le talent.

Alphonse de Lamartine - Cours familier de littérature (1856)

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé.

Alphonse de Lamartine - L'isolement (1815-1820)

La plus sûre des coquetteries c'est l'innocence.

Alphonse de Lamartine - Cours familier de littérature (1856)

Si vous voulez rendre l'homme capable de liberté, qu'il soit instruit.

Alphonse de Lamartine - Sur la politique rationnelle (1831)

La coupe de mes jours s'est brisée encore pleine.

Alphonse de Lamartine - Le poète mourant (1815-1820)

Le soin de chaque jour à chaque jour suffit.

Alphonse de Lamartine - Philosophie (1815-1820)

Le sublime lasse, le beau trompe, le pathétique seul est infaillible dans l'art.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Mon cœur est en repos, mon âme est en silence.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Le vallon (1820)

Les anges amoureux se parlent sans paroles, comme les yeux aux yeux.

Alphonse de Lamartine - Chant d'amour (1822)

Le bonheur de tes yeux coule en rayons d'amour.

Alphonse de Lamartine - La chute d'un ange (1838)

Il est plus facile de détruire que de construire.

Alphonse de Lamartine - Histoire des Girondins (1847)

L'amertume est mon miel, la tristesse est ma joie.

Alphonse de Lamartine - Gethsémani ou la mort de Julia (1834)

Remontez à ces heures passées ! vos tristes souvenirs m'aident à soupirer ! Allez où va mon âme ! allez, ô mes pensées, mon coeur est plein, je veux pleurer !

Alphonse de Lamartine - Premier regret (1823)

La patience est la vertu du juste.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

La colère consume et n'illumine pas.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

Le paresseux s'assied, l'impatient devance.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

Élargissez, mortels, vos âmes rétrécies !

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

Dieu fit l'esprit sans bornes pour comprendre.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

Aime mon âme ! elle sera avec toi toute ta vie.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Il y a toujours au fond de mon cœur une larme qui filtre goutte à goutte.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

L'homme ne connaît le vrai bonheur qu'après l'avoir perdu !

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Il y a plus de génie dans une larme que dans tous les musées.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Malheur à vous qui dès l'aurore respirez les parfums du vin ! Et que le soir retrouve encore chancelants aux bords du festin !

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La poésie sacrée (1820)

Mes jours fondent comme la neige au souffle du courroux divin ; mon espérance, qu'il abrège, s'enfuit comme l'eau de ma main.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La poésie sacrée (1820)

Le désir et l'amour sont les ailes de l'âme.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Dieu (1820)

C'est la langue du ciel que parle la prière, et que le tendre amour comprend seul sur la terre.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Dieu (1820)

Vouloir c'est faire, exister c'est produire !

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Dieu (1820)

La critique est la puissance des impuissants.

Alphonse de Lamartine - Harmonies poétiques et religieuses (1830)

Un travail est fini, un autre aussitôt commence.

Alphonse de Lamartine - Jocelyn, le 16 mai 1801.

Aimons-nous ! car partout où Dieu mit deux coeurs, s'aimer est doux !

Alphonse de Lamartine - Jocelyn, le 12 octobre 1800.

Étendre son esprit, resserrer ses désirs, c'est là ce grand secret ignoré du vulgaire.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La retraite (1820)

Empire, gloire, liberté, tout est par le temps emporté.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La retraite (1820)

Quel crime avons-nous fait pour mériter de naître ?

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Le désespoir (1820)

Les yeux sur mon tombeau, je pleure sur moi-même.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

Le jour du bonheur n'a pas de lendemain.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

J'en jure par la mort, dans un monde pareil : non, je ne voudrais pas rajeunir d'un soleil, je ne veux pas d'un monde où tout change, où tout passe, où tout s'use et tout s'efface.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

J'ai vécu ; j'ai passé ce désert de la vie, où toujours sous mes pas chaque fleur s'est flétrie.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

L'univers est le temple, et la terre est l'autel.

Alphonse de Lamartine - La prière, Méditation XIX (1820)

L'homme est comme l'arbre qu'on secoue pour en faire tomber ses fruits : On n'ébranle jamais l'homme sans qu'il en tombe des pleurs.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

La prédestination de l'enfant, c'est la maison où il est né.

Alphonse de Lamartine - Confidences (1849)

Cher amour, épanche ta douleur ; j'adoucirai ta peine en écoutant ta plainte.

Alphonse de Lamartine - Méditation XLI, À Elvire (1820)

Tout un monde d'amour éclos dans un regard.

Alphonse de Lamartine - La chute d'un ange, XII vision (1838)

De ces larmes s'abreuvant, la prière, union suprême, porte la paix au mort qu'elle aime, rapporte l'espoir au vivant !

Alphonse de Lamartine - Hymne au Christ (1829)

Le plaisir est une prière et l'aumône une volupté.

Alphonse de Lamartine - Pour une quête (1830)

Ignorant d'où je viens, incertain où je vais.

Alphonse de Lamartine - L'homme, Méditations poétiques (1820)

Aimer, prier, chanter, voilà toute ma vie.

Alphonse de Lamartine - Le poète mourant (1815-1820)

Celui qui sait attendrir sait tout.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Ta jeune et brillante image, que le regret vient embellir, dans mon sein ne saurait vieillir comme l'âme, elle n'a point d'âge.

Alphonse de Lamartine - Souvenir (1815-1820)
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