L'intérêt est le plus fort lien de toutes les sociétés,disait Tite-Live. Un philosophe et poète suisse romand, Henri-Frédéric Amiel, a écrit :
Les liens du sang ou de l'habitude n'ont jamais eu beaucoup d'autorité sur moi, je ne me suis lié que par l'âme et par l'échange des sentiments profonds.
L'intérêt est en même temps parmi les hommes le lien qui forme leur attachement, et la cause qui le brise.
Le respect est le lien de l'amitié.
Je suis ami, mais libre ; et un affront, une scène pénible pourrait, je crois, me détacher de tous les cœurs qui m'attirent maintenant. Au fond, je ne sens ma vie liée absolument à celle de personne, quoique j'aie beaucoup de liens.
Les malheurs resserrent les liens du cœur.
Le meilleur garant d'une heureuse union, c'est le lien d'un amour mutuel.
Il faut laisser une certaine latitude à l'esprit, trop de liens l'énervent.
En voulant déchirer des liens qu'on ne saurait rompre, on les resserre davantage.
L'amour est la base de tous nos devoirs, il devrait être dans la morale ce que serait la panacée en médecine. II n'est pas un seul instant dans la vie où nous ne devions en faire usage : c'est le lien universel de la société. Tout nous dit d'aimer, sous peine d'être ingrats et malheureux.
Il y a des amitiés d'étoile et de sympathie, des liens inconnus qui nous unissent et qui nous serrent, où nous n'avons pas besoin de serment, la confiance va au-devant des paroles.
La clémence enchaîne les cœurs avec des liens qui ne se rompent jamais.
Par l'absence on évalue la force des liens.
L'affection est un lien qui se renforce par tous les autres et qui se passe d'eux, c'est là sa beauté.
Le respect et la déférence sont les liens de l'amitié.
Les liens du sang sont forts quand s'y ajoute l'amitié.
Les bienfaits de la bonté sont les plus doux des liens.
Le plus fort lien qui unit les véritables amis est la ressemblance des mœurs.
Le premier des liens est celui des services, c'est celui d'un cœur juste.
Il n'y a pas d'autres liens entre les peuples que ceux des intérêts qu'ils mettent en commun.
Les liens du sang, et les affections communes rapprochent ce que tout le reste divise.
Les liens du sang ne forment pas toujours ceux de l'amitié, et ne prévalent jamais contre l'ambition.
Qui nie les liens du sang foule aux pieds les valeurs les plus sacrées.
Mieux vaut dénouer d'un commun accord des liens qui nous blessent que de nous délivrer l'un et l'autre d'une chaîne qui nous meurtrit.
Le lien de l'amour s'use si promptement dans le mariage, qu'on n'en voit bientôt plus que la corde.
Les hommes ne se lient solidement qu'avec les liens du cœur, ceux de l'intérêt sont trop lâches.
Une parole donnée est un lien plus fort que ne seraient des chaînes.
Jusqu'au dernier jour de notre vie, il existera des liens de plaisirs qui nous attacheront au monde.
La hauteur et l'avarice détruisent tous les liens de la société.
La politesse est un des plus grands liens de la société, c'est elle qui contribue le plus à la paix.
Il n'est si faible lien qui ne soit difficile à rompre.
La volonté ne peut être ligotée par des liens qu'elle a elle-même noués.
Ceux qui sont unis par les liens du mariage doivent le traiter avec le plus grand respect, et n'en jamais souiller la pureté par des unions illégitimes.
Le secret de la vie est le lien entre les personnes et les événements.
Un homme amoureux fait, au moment de nouer un tendre lien, toutes sortes d'imprudences.
Le danger dissout tous les liens.
Abondance de liens ne nuit pas.
Le plus fort lien pour attacher des amis est la similitude des mœurs.
L'hymen n'est pas un jeu, se lier pour toujours est une grande affaire, il faut y réfléchir un peu.
Protège l'enfance des liens, ils te serviront d'appui dans ta vieillesse.
Du partage inégal des talents, il résulte que le vœu de la nature est que les hommes s'unissent par les liens de la société.
Une séparation, c'est rompre un lien qui n'attachera plus que l'autre.
L'Hymen et ses liens, sont les plus grands ou des maux ou des biens.
Redoutez des liens formés par l'imprudence, le crime quelquefois fuit de près l'innocence.