Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Louis Aragon (2)

Les citations célèbres de Louis Aragon :

Ouvre si tu peux sans pleurer ton vieux carnet d'adresses.

Louis Aragon - Il ne m'est Paris que d'Elsa (1964)

Le merveilleux naît du refus d'une réalité.

Louis Aragon - Les collages (1965)

Il n'y a qu'une chose au monde qui compte, c'est l'amour.

Louis Aragon - Les beaux quartiers (1936)

Le divin se recueille au fond d'une caresse.

Louis Aragon - Le paysan de Paris (1926)

Mon amour, je t'attendrai sans fin, demain comme toujours.

Louis Aragon - Les beaux quartiers (1936)

Il faut avoir été cocu pour avoir le droit de parler de l'amour.

Louis Aragon - Théâtre, Roman (1974)

L'amour, c'est d'abord sortir de soi-même.

Louis Aragon - J'abats mon jeu (1959)

Ce qu'il y a d'agréable dans l'amour, c'est qu'on dort si bien après.

Louis Aragon - Le libertinage (1924)

L'amour n'a de prétention que d'éclairer son objet.

Louis Aragon - J'abats mon jeu (1959)

La critique, c'est le bagne à perpétuité : Pas de repos pour un critique.

Louis Aragon - Le traité du style (1928)

Comprendre, c'est encore une façon de parler.

Louis Aragon - Théâtre, Roman (1974)

Si vous écrivez, suivant une méthode surréaliste, de tristes imbécillités, ce sont de tristes imbécillités.

Louis Aragon - Le traité du style (1928)

Bien écrire, c'est comme marcher droit.

Louis Aragon - Le traité du style (1928)

Je passe le temps en chantant, je chante pour passer le temps.

Louis Aragon - Le roman inachevé (1956)

Je chante pour passer le temps petit qu'il me reste de vivre comme on dessine sur le givre, comme on se fait le cœur content.

Louis Aragon - Le roman inachevé (1956)

La beauté du diable... on voudrait bien nous faire prendre la jeunesse pour le diable, c'est rassurant pour ceux que leurs miroirs attristent.

Louis Aragon - J'abats mon jeu (1959)

Un soir d'aubépines en fleurs aux confins des parfums et de la nuit, un soir profond comme la terre de se taire, un soir si beau que je vais croire jusqu'au bout, dormir du sommeil de tes bras, dans le pays sans nom sans éveil et sans rêves, le lieu de nous où toutes choses se dénoue.

Louis Aragon - Les chambres, Poème du temps qui ne passe pas (1969)

Je n'ai jamais écrit mes romans, je les ai lus. Tout ce qu'on en dit, en a dit, en dirait, sans cette connaissance préalable du fait, ne peut être que vue à priori, jugement mécanique, ignorance de l'essentiel. Comprenez-moi bien : je n'ai jamais su qui était l'assassin.

Louis Aragon - Je n'ai jamais appris à écrire ou les incipit (1969)

Ce qu'il m'aura fallu de temps pour tout comprendre ; je vois souvent mon ignorance en d'autres yeux ; je reconnais ma nuit, je reconnais ma cendre ; ce qu'à la fin, j'ai su lui faire entendre : comment ce que je sais le dire de mon mieux.

Louis Aragon - Le roman inachevé (1956)

Moi j'ai tout donné mes illusions, et ma vie et mes hontes. Pour vous épargner la dérision, de n'être au bout du compte, que ce qu'à la fin nous aurons été.

Louis Aragon - Le roman inachevé (1956)

Le roman s'achève de lui-même, j'ai déchiré ma vie et mon poème.

Louis Aragon - Le roman inachevé (1956)

Il n'est plus de chemin privé, si l'histoire un jour y chemine.

Louis Aragon - Le roman inachevé (1956)

Que ce soit dimanche ou lundi, soir ou matin minuit midi, dans l'enfer ou le paradis, les amours aux amours ressemblent.

Louis Aragon - Vers à danser, Nous dormirons ensemble (1963)

J'ai trop respecté ton chagrin, le silence a le poids des larmes.

Louis Aragon - Le domaine privé, Le mot (1945)

Il y a des livres qui ferment un monde : ils sont un point final ; on les laisse ou on s'en va.

Louis Aragon - Les cloches de Bâle (1934)

La femme des temps moderne est née, et c'est elle que je chante.

Louis Aragon - Les cloches de Bâle (1934)

C'est à la poésie que tend l'homme ; il n'y a de poésie que du concret.

Louis Aragon - Le paysan de Paris (1926)

Je m'échappe indéfiniment sous le drapeau de l'infini.

Louis Aragon - Le mouvement perpétuel (1926)

Mon amour tu es ma seule famille avouée, et je vois par tes yeux le monde, et c'est toi qui me rends cet univers sensible et qui donnes sens en moi aux sentiments humains.

Louis Aragon - Le crève-cœur (1941)

Il est temps d'instaurer la religion de l'amour.

Louis Aragon - Le paysan de Paris (1926)

Je t'aime, et que ce mot fait mal quand il est dit sans toi.

Louis Aragon - Le crève-cœur (1941)

Poésie, Ô danger des mots à la dérive.

Louis Aragon - Ides et Calendes (1946)

L'avenir c'est ce qui dépasse la main tendue, et c'est l'espace au-delà du chemin battu.

Louis Aragon - Le fou d'Elsa (1963)

Je suis plein du silence assourdissant d'aimer.

Louis Aragon - Le fou d'Elsa (1963)

Il n'est pas toujours facile de savoir où est le mal où est le bien.

Louis Aragon - Poètes, épilogue (1960)

Il n'est qu'amour qui vivre vaille.

Louis Aragon - Le fou d'Elsa (1963)

Il est plus facile de mourir que d'aimer.

Louis Aragon - Elsa (1959)

Tes yeux sont mon Pérou ma Golconde mes Indes.

Louis Aragon - Les yeux d'Elsa (1942)

Je n'ai plus que toi de chemin, j'ai mis mon cœur entre tes mains.

Louis Aragon - Vers à danser, Nous dormirons ensemble (1963)

Tout est affaire de décors, changer de lit changer de corps.

Louis Aragon - Bierstube Magie allemande (1956)

Cœur léger cœur changeant cœur lourd, le temps de rêver est bien court.

Louis Aragon - Bierstube Magie allemande (1956)

L'avenir de l'homme, c'est la femme. Elle est la couleur de son âme.

Louis Aragon - Le fou d'Elsa (1963)

L'avenir à chaque instant presse le présent d'être un souvenir.

Louis Aragon - Hourra l'Oural (1934)

Le plus complet abandon règne dans l'amour.

Louis Aragon - Le libertinage (1924)

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