Reconnaître ses torts est peu, il faut les réparer,disait Henri-Frédéric Amiel. Un professeur et écrivain français, Jean-Étienne-Judith Forestier, a écrit :
C'est dans le péril qu'on reconnaît les hommes vraiment courageux, de même que c'est dans l'adversité qu'on reconnaît les vrais amis.
Lorsque le bonheur longtemps rêvé nous visite enfin, notre cœur ne le reconnaît pas.
Il n'est jamais trop tard pour reconnaître qu'on a commis une faute : car finir par la reconnaître, c'est commencer à la réparer.
L'esprit est la seule puissance à laquelle on se laisse volontairement subjuguer, et l'envie même la relève en cherchant à l'amoindrir ; car on ne s'attaque qu'au vrai talent et le déprécier c'est le reconnaître.
Celui qui a de l'élévation dans l'âme ne craint point de reconnaitre ses fautes.
On reconnaît aisément le sage à sa modestie, et le sot à son orgueil.
Il est des gens à qui il importerait très peu d'être reconnus pour ce qu'ils sont, si cette reconnaissance ne devoir pas leur être funeste et désavantageuse : c'est ce qui rend l'extérieur de la vertu et de l'honneur si commun parmi les hommes.
La sincérité du cœur devrait se reconnaître à des signes certains et visibles, comme on distingue l'or pur du faux métal qui lui ressemble.
Reconnaître ses torts, c'est déjà se pardonner.
Reconnaître ses erreurs est une marque de courage et preuve d'intelligence.
Il y a des vérités si frappantes que l'on croit les reconnaître, quoiqu'on les entende pour la première fois.
Le monde est plein d'honnêtes gens. On les reconnaît à ce qu'ils font les mauvais coups avec plus de maladresse.
Reconnaître sa mauvaise foi n'est pas forcément reconnaître la fausseté du but.
Heureux celui qui, après s'être égaré, peut se retrouver et reconnaître son erreur.
Un sot qui se regarde dans un miroir ne se reconnaît pas lui-même.
Le plus grand défaut des hommes n'est pas d'ignorer, c'est de ne pas reconnaître qu'ils ignorent.
On reconnaît l'homme supérieur dans la foule, parce qu'il fait toujours ce qu'il sait faire.
Comment reconnaître un anglophone d'un francophone, quand on est sourd ? Portons un canadien à ébullition : s'il devient rouge, c'est un francophone. S'il ne devient pas rouge, c'est qu'il était rouge avant, c'est donc un anglophone.
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère.
Reconnaître aux gens le pouvoir de faire souffrir, c'est se mettre dans leur dépendance.
Une des plus grandes preuves de médiocrité, c'est de ne pas savoir reconnaître la supériorité là où elle se trouve réellement.
Si vous reconnaissez votre faute, hâtez-vous de la réparer.
Reconnaître n'est pas connaître ; on reconnaît facilement ce qu'on ne connaît pas.
Aujourd'hui, on ne voit plus rien, on passe son temps à reconnaître.
Qui reconnaît ses torts demande pardon.
On reconnaît ses amis dans le besoin, et ses ennemis dans le malheur.
Comprendre, ce n'est pas tout comprendre, c'est aussi reconnaître qu'il y a de l'incompréhensible.
On reconnaît l'amitié d'un homme ou d'une femme à sa discrétion.
Savoir rompre ; c'est à cela qu'on reconnaît un homme mûr.
Il faut peu de temps pour reconnaître le faux métal sous la dorure.
Reconnaître, c'est prouver que je ne cache rien.
Les cons ça ose tout ; c'est même à ça qu'on les reconnaît.
Calypso voit Mercure et le reconnaît.
Les amis véritables se reconnaissent à l'épreuve du malheur.
S'irriter d'un reproche, c'est reconnaître qu'on l'a mérité.
Envier, c'est se reconnaître inférieur.
Éducation : Ce qui manque à l'ignorant pour reconnaître qu'il ne sait rien.
Le fou se reconnaît sans clochette?