Les meilleurs proverbes de l'Algérie.

Ne t'encombre pas de ce qui ne t'appartient pas.

Le cœur voit avant l'œil.

De la main de l'ami, la pierre est une pomme.

Comporte-toi avec moi comme je me comporte avec toi.

Qui te présente un plat, fais-lui honneur en mangeant.

Mieux vaut un célibat paisible qu'un mariage miné par les regrets.

Choisis la fille en fonction de sa mère.

Avoir trop d'amis fait perdre les meilleurs d'entre eux.

Qui n'aime que sa propre personne ne peut faire un bon ami.

Si ton ami devient un âne, ne monte pas sur son dos.

Qui a mangé sa part ne peut prétendre manger celle d'autrui.

Qui donne ne doit pas regretter, et qui regrette n'y peut rien.

La fortune ne s'agrandit que dans la tête (entre les mains) d'un habile calculateur.

Le cadeau est une poule, et sa récompense un chameau.

Sept jours sultan, sept jours ministre, et ensuite du mariage toujours esclave.

Un ami peut vous entraîner au paradis ou dans l'enfer.

De loin ils bêlent, de près ils se cognent.

Un feu lointain ne réchauffe point.

Avant de choisir ton chemin, choisis ton compagnon de route.

Il n'y a de gêne que dans les cœurs.

Nous nous comportons selon notre éducation.

Un peuple qui ignore ses repères est un peuple égaré.

Qui a trop d'amis n'est qu'un sot d'esprit.

N'oublie pas d'où tu viens.

Ne jouez pas avec les chiens, ils se diraient vos cousins.

Un métier à la main vaut mieux que de l'argent dans tes poches.

Seul l'âne renie ses origines.

Ne désavoue son origine que le mulet.

Accompagne le menteur jusqu'à la porte de sa demeure.

Une maison sans skifa est une femme nue.

Le berger désœuvré taille sa canne.

Après la mort, il y a la montée.

Le chassieux, pour les aveugles, a de beaux yeux.

Donne ce que tu peux, même si c'est la moitié d'une datte.

L'enfant est la prunelle des yeux de sa mère.

Parle de l'eau et l'assoiffé se fait connaître.