Les proverbes sur malchance.

Au malchanceux le serpent le mord avec sa queue.

Qui est malchanceux se casse les doigts dans la bouillie.

Le malchanceux qui trop s'avance court le risque de reculer avec honte.

Qui est malchanceux reste malchanceux.

Le malchanceux qui touche de l'or, il se change en plomb.

Quand le guignon est à nos trousses, on se noie dans un crachat.

On lance des deux mains un filet à réseaux d'or et l'on amène cent malheurs.

Un petit guignon supporté fait un guignon plus grand avorté.

Lorsque le guignon sommeille, garde que tu ne le réveilles.

La malchance attire la malchance ; un malheur en amène un autre.

Aux malchanceux la soupe refroidit de la main à la bouche.

La Fortune ne tourne jamais sa clef pour ouvrir sa porte au pauvre.

Le malchanceux a rencontré le misérable.

Le pauvre est partout suivi par la malchance ; là où les autres réussissent, lui échoue.

La malchance frappe aveuglément comme la peste.

Quand les roubles tombent du ciel, le malchanceux n'a pas de sac.

Qui joue de malchance se trouve toujours du côté où l'arbre va tomber.

Le piège du malchanceux n'attrape que son chien.

Celui qui n'ose pas ne doit pas se plaindre de sa malchance.

Le malchanceux, fût-il monté sur un chameau, un chien arrive à le mordre.

Malchanceux pour lui-même, chanceux pour les autres.

Bonheur sans relâche, le guignon s'y cache.

Qui court après la chance, attrape souvent la malchance.

Un malchanceux, même si on le met dans un pot de graisse, en sortira sec.

Offrez du foi à un déveinard, il y trouvera des os.

Même si tu donnes du foie à un malchanceux, il y trouvera un os.

Le malchanceux qui ramasse une fortune, elle lui tombe des mains.

La malchance ne frappe jamais deux fois au même endroit.

L'ortie qui pousse sur le bord de la route ne pique que le malchanceux.

Les malheureux et malchanceux n'ont point de parents.

La malchance ne chante pas (ne crie pas gare).