Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Alphonse de Lamartine (3)

Les meilleures citations d'Alphonse de Lamartine :

La patience est la vertu du juste.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

La colère consume et n'illumine pas.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

Le paresseux s'assied, l'impatient devance.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

L'égoïsme hait tout pour n'adorer qu'un.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

Élargissez, mortels, vos âmes rétrécies !

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

Dieu fit l'esprit sans bornes pour comprendre.

Alphonse de Lamartine - Utopie, À M. Bouchard, le 22 août 1837.

L'homme trop jeune est incapable d'aimer ! Il ne sait le prix de rien !

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Aime mon âme ! elle sera avec toi toute ta vie.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Il y a toujours au fond de mon cœur une larme qui filtre goutte à goutte.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

L'homme ne connaît le vrai bonheur qu'après l'avoir perdu !

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Il y a plus de génie dans une larme que dans tous les musées.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Malheur à vous qui dès l'aurore respirez les parfums du vin ! Et que le soir retrouve encore chancelants aux bords du festin !

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La poésie sacrée (1820)

Mes jours fondent comme la neige au souffle du courroux divin ; mon espérance, qu'il abrège, s'enfuit comme l'eau de ma main.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La poésie sacrée (1820)

Le désir et l'amour sont les ailes de l'âme.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Dieu (1820)

C'est la langue du ciel que parle la prière, et que le tendre amour comprend seul sur la terre.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Dieu (1820)

Vouloir c'est faire, exister c'est produire !

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Dieu (1820)

Les mêmes souffrances unissent mille fois plus que les mêmes joies.

Alphonse de Lamartine - Histoire des Girondins (1847)

Une conscience sans Dieu, c'est un tribunal sans juge.

Alphonse de Lamartine - Histoire des Girondins (1847)

La critique est la puissance des impuissants.

Alphonse de Lamartine - Harmonies poétiques et religieuses (1830)

Un travail est fini, un autre aussitôt commence.

Alphonse de Lamartine - Jocelyn, le 16 mai 1801.

Aimons-nous ! car partout où Dieu mit deux coeurs, s'aimer est doux !

Alphonse de Lamartine - Jocelyn, le 12 octobre 1800.

Étendre son esprit, resserrer ses désirs, c'est là ce grand secret ignoré du vulgaire.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La retraite (1820)

Empire, gloire, liberté, tout est par le temps emporté.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La retraite (1820)

Chaque peuple a son siècle, et chaque homme a son jour.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, La retraite (1820)

Quel crime avons-nous fait pour mériter de naître ?

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Le désespoir (1820)

Les yeux sur mon tombeau, je pleure sur moi-même.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

Le jour du bonheur n'a pas de lendemain.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

J'en jure par la mort, dans un monde pareil : non, je ne voudrais pas rajeunir d'un soleil, je ne veux pas d'un monde où tout change, où tout passe, où tout s'use et tout s'efface.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

J'ai vécu ; j'ai passé ce désert de la vie, où toujours sous mes pas chaque fleur s'est flétrie.

Alphonse de Lamartine - La foi, Méditation XIX (1820)

L'univers est le temple, et la terre est l'autel.

Alphonse de Lamartine - La prière, Méditation XIX (1820)

Qui peut créer dédaigne de détruire.

Alphonse de Lamartine - La prière, Méditation XIX (1820)

L'homme est comme l'arbre qu'on secoue pour en faire tomber ses fruits : On n'ébranle jamais l'homme sans qu'il en tombe des pleurs.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

La prédestination de l'enfant, c'est la maison où il est né.

Alphonse de Lamartine - Confidences (1849)

Heureux celui que Dieu a fait naître d'une bonne et sainte famille !

Alphonse de Lamartine - Confidences (1849)

Le paresseux s'endort dans les bras de la faim.

Alphonse de Lamartine - Méditation XLVIII, Stances (1820)

Cher amour, épanche ta douleur ; j'adoucirai ta peine en écoutant ta plainte.

Alphonse de Lamartine - Méditation XLI, À Elvire (1820)

Tout un monde d'amour éclos dans un regard.

Alphonse de Lamartine - La chute d'un ange, XII vision (1838)

De ces larmes s'abreuvant, la prière, union suprême, porte la paix au mort qu'elle aime, rapporte l'espoir au vivant !

Alphonse de Lamartine - Hymne au Christ (1829)

L'or qu'au plaisir le riche apporte, ne fait que glisser dans sa main ; le pauvre qui veille à la porte, attend les miettes de ce pain.

Alphonse de Lamartine - Pour une quête (1830)

Le plaisir est une prière et l'aumône une volupté.

Alphonse de Lamartine - Pour une quête (1830)

Ta pure et touchante beauté dans les cieux même t'a suivie ; tes yeux, où s'éteignait la vie, rayonnent d'immortalité.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Souvenir (1820)

Dans mon âme rien ne t'efface, ô dernier songe de l'amour !

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Souvenir (1820)

L'amour seul est resté, comme une grande image survit seule au réveil dans un songe effacé.

Alphonse de Lamartine - Méditations poétiques, Le vallon (1820)

Ignorant d'où je viens, incertain où je vais.

Alphonse de Lamartine - L'homme, Méditations poétiques (1820)

Aimer, prier, chanter, voilà toute ma vie.

Alphonse de Lamartine - Le poète mourant (1815-1820)

Celui qui sait attendrir sait tout.

Alphonse de Lamartine - Graziella (1852)

Nous n'avons à nous que le jour d'aujourd'hui !

Alphonse de Lamartine - L'homme (1815-1820)

Nos voeux et nos espoirs perdus ! Là, refleuriront nos jeunesses, et les objets de nos tristesses à nos regrets seront rendus !

Alphonse de Lamartine - Passé (1839)

Ta jeune et brillante image, que le regret vient embellir, dans mon sein ne saurait vieillir comme l'âme, elle n'a point d'âge.

Alphonse de Lamartine - Souvenir (1815-1820)

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