Le contentement ajoute à la satisfaction des désirs une satisfaction douce de la possession.
Citation de Abbé Roubaud ; Les nouveaux synonymes français (1786)
Le contentement ajoute à la satisfaction des désirs une satisfaction douce de la possession.
Mieux vaut se contenter d'un mince contentement, mais qui nous contente.
Perdre un désir, c'est s'enrichir ; le seul bonheur accessible c'est le contentement.
Le vrai contentement, c'est ne rien espérer, ne rien désirer, ne rien attendre.
Il n'est rien qui puisse donner plus de contentement à l'âme qu'une amitié tendre et fidèle.
L'idéal tue la jouissance et le contentement en faisant dénigrer le présent et le réel.
La suprême jouissance est le contentement de soi-même, et c'est pour mériter ce contentement que nous sommes placés sur la terre et doués de la liberté ; que nous sommes tentés par les passions et retenus par la conscience.
Le contentement est le nom du bonheur relatif, le seul qui soit à notre portée.
Celui qui est content est riche, parce que le contentement comprend toutes les richesses de la nature.
Le contentement est l'appoint du bonheur, et le désir en est le déficit.
L'abstinence est un arbre dont la racine est le contentement, et le fruit le repos.
Le contentement voyage rarement avec la fortune, mais il suit la vertu jusque dans le malheur.
Le contentement est l'élixir le plus agréable pour être heureux.
Le bonheur n'est que dans le contentement de l'esprit et du cœur.
Une pomme mangée avec contentement vaut mieux qu'une perdrix dans le tourment.
Le contentement naît et vit dans la modération.
Le contentement, c'est de se sentir Dieu pour approbateur et pour ami, et de se reposer dans sa volonté.
Il y a beaucoup de satisfaction et peu de contentement pour celui qui n'a qu'à désirer.
Il y a une douce et paisible joie dans le contentement, il serait le bonheur s'il durait toujours.
La suprême jouissance est dans le contentement de soi-même, c'est pour mériter ce contentement que nous sommes placés sur la terre et doués de la liberté, que nous sommes tentés par les passions et retenus par la conscience.
L'orgueil de l'esprit est plus fort en nous que le contentement du cœur.
La piété avec le contentement d'esprit est un grand gain.
Il y a deux sortes d'ambitieux : les dévorants et les rongeurs, les premiers happent le morceau, les autres le grignotent à petits coups de dents.