Les citations d'écrivains et de poètes célèbres :
Moi qui viens de la douleur de vivre, je veux la vibration du gai.
Quand la douleur absorbe les facultés, on ne cherche pas les remèdes, on les évite.
L'éloignement de la douleur est le premier degré vers le bonheur.
Seul le dépaysement constitue un remède à la douleur.
Entre la douleur et le néant, c'est la douleur que je choisis.
On peut tout dominer : la douleur, la maladie, il n'y a que la mort qui vous échappe.
Quelque grande que soit la douleur pieuse d'un héritier, elle n'égale pas celle qu'il ressentirait si l'homme dont il pleure la mort revenait à la vie.
La douleur d'un véritable ami, s'il arrivait malheur à son fils, serait aussi la mienne.
La douleur diminue quand elle est partagée.
Dans le premier accès de la douleur, la solitude est affreuse : les malheureux n'ont point d'amis.
La douleur même a ses jouissances.
La douleur qui reste emprisonnée dans le cœur le ronge et le dévore.
La douleur partagée avec un ami n'est pas une douleur, elle rapproche deux amis.
Si en partageant ta douleur, je pouvais diminuer tes souffrances !
Il n'est point de douleur éternelle ; le travail du temps, à défaut des consolations extérieures ou du raisonnement, finit toujours par la dissiper.
La douleur physique a toujours des gémissements à exhaler, des larmes à répandre ; la douleur morale n'a souvent ni la consolation des gémissements, ni le soulagement des larmes.
Toi qui fus ma joie et ma douleur, mon ivresse et mon désespoir, sais-je si je te hais ou si je t'aime, car si je saigne encore du mal que tu m'as fait, je tremble à la pensée du mal que l'on peut te faire !
La douleur, affolée et réduite aux abois, de la froide raison n'écoute plus la voix.
La douleur vieillit le corps de l'homme, le désir de son âme le rajeunit.
Toujours dans la douleur on verse quelques pleurs, on croit dans l'avenir ne voir que des malheurs.
Épanchez en secret votre douleur dans le sein d'un serviteur fidèle.
Une longue douleur ne peut rendre qu'imbécile ou saint.
La douleur qui se tait est celle qui inspire le plus d'intérêt.
L'attente d'une douleur nous aguerrit contre elle ; la perte imminente d'un parent ou d'un ami, la chute pendante d'une fortune, le revers prévu d'une entreprise, nous la rendent plus traitable ; en souffrant par avance d'un mal à venir, son coup nous accable moins lorsqu'il nous frappe. Au contraire, une douleur imprévue nous affecte beaucoup, elle devient souvent plus grande que sa cause ; mais alors elle ne dure pas ; elle se brise souvent contre la réflexion.
Avoir de la douleur, c'est vivre, c'est en être, c'est y être encore.
Modère ta douleur ; arme-toi de constance.
La douleur veut être solitaire.
Une douleur surmontée, c'est presque une joie de gagnée.
Ce qui stupéfie, c'est d'aller jusqu'à envier la grande douleur d'un imbécile.
La douleur est un mal qu'un prompt remède irrite.
La douleur est extrême, lorsque l'on voit partir la personne que l'on aime.
Toute douleur qui n'aide personne est absurde.
Bravez la douleur : elle passera, ou vous passerez.
L'étendue de ma douleur doit égaler la grandeur de sa cause.
La vraie douleur est incompatible avec l'espoir.
La permanence et la durée ne sont promises à rien, pas même à la douleur.
Il n'est pas de douleur que le sommeil ne sache vaincre.
À une douleur oubliée, il n'est pas difficile de faire succéder le sentiment de la joie.
L'amitié doit siéger auprès de la douleur.
Le problème de la vie est le problème de la douleur.
Qui cherche la vérité de l'homme doit s'emparer de sa douleur.
La douleur perfectionne beaucoup le caractère ; on rattache dans sa pensée ses fautes à ses malheurs.
La douleur encloue l'esprit, comme le courage.
Ta douleur même est sœur de ma souffrance, elle ressemble à l'amitié.
Joie ou douleur, tout demande sans cesse à sortir de ton cœur.
La joie féconde, la douleur accouche.