Les citations d'écrivains et de poètes célèbres :
Si la jeunesse est souvent plus heureuse que sage, la vieillesse est toujours plus sage qu'heureuse.
Si la vieillesse a pour elle l'expérience, la jeunesse a mieux encore, elle a l'espérance.
La jeunesse, printemps de la vie, aurore de la raison, est exposée à la fièvre des sens, et au délire de l'imagination.
La jeunesse est la fleur de toute une nation, c'est dans la fleur qu'il faut préparer les fruits.
Le remède de la jeunesse est de se craindre soi-même et de croire les gens sages.
La jeunesse est un bouillon de sang plus dangereux qu'une fièvre ardente.
La santé est la fille de la jeunesse.
L'homme ne possède la jeunesse qu'un temps, et le reste du temps la rappelle.
La grande absurdité est de confondre l'amour avec la jeunesse : la jeunesse est ivre d'elle-même.
La jeunesse a cela de beau qu'elle peut admirer sans comprendre.
La jeunesse, c'est une ivresse continuelle, c'est la fièvre de la raison, c'est la confiance dans la vie, c'est la certitude non pas que tout vous est dû, mais que tout vous est offert, c'est l'allégresse d'avoir en soi quelque chose de sacré et envers quoi, quelque usage que l'on en fasse, on ne peut être sacrilège.
La jeunesse, c'est l'âge où l'on a le plus de grandeur et de noblesse, l'âge des croyances et de la foi, qui seules engendrent les grandes choses.
Pleurer notre jeunesse, c'est le plus souvent regretter une belle femme qui nous a trompés.
Dans la jeunesse on est comme l'enfant qui, lorsqu'un breuvage amer lui est présenté, s'en épouvante et le rejette sans rien entendre, dès la première goutte. On détourne la tête, on repousse le calice ; ce qu'on sent d'absinthe le rend insupportable. On a si peu dépensé de la vie qu'on n'y met pas de prix ; on la prend en dégoût tout entière pour un mécompte.
Le plus grand défaut de la jeunesse n'est pas de manquer d'expérience, c'est d'ignorer qu'elle en manque, et de croire qu'elle pensera toujours comme elle pense, et qu'elle fera toujours ce qu'elle souhaite faire.
Prends garde de laisser passer la jeunesse sans lui avoir donné ce qu'elle réclame ; c'est la jeunesse qui sème pour la vie la moisson du cœur sans laquelle on n'a pas vraiment vécu.
La jeunesse, c'est l'âge où tout est luisant, où tout scintille et flambe !
Il faut que jeunesse s'amuse.
Ô jeunesse ! Rien ne te vaut !
La jeunesse n'est pas une question d'âge, c'est une réponse de l'esprit.
Pour retrouver sa jeunesse, il suffit de répéter les folies qu'on a commises.
La jeunesse n'est belle que sans bijou ni parure.
La jeunesse ! un capital difficile à bien placer.
La jeunesse est dans tout, elle est partout si on s'efforce de la voir.
La jeunesse est le levain de l'humanité, elle a besoin de dormir dans le calme, loin des insupportables gémissements des grabataires arthritiques égocentriques qui profitent de leur oisiveté pour agoniser tambour battant, même la nuit, alors que, nous le savons tous, il est strictement interdit de mourir bruyamment après vingt-deux heures !
Dans un monde qui ne respecte que la jeunesse, les êtres sont peu à peu dévorés.
La trop sémillante jeunesse croît toujours voir l'austérité dans les conseils de la sagesse.
La jeunesse est courte, c'est la vie qui est longue.
Jeunesse angélique fait vieil âge satirique.
La jeunesse supplée à la fortune.
La jeunesse est souvent la saison des douleurs.
La jeunesse est le temps qu'on a devant soi.
La jeunesse a ses peines, et elles sont d'autant plus amères, qu'alors on se croit en droit de demander beaucoup à la vie ; qu'on prend ses désirs pour des promesses, ses espérances pour des valeurs qui doivent êtres remboursées un jour ; mais la jeunesse a tant de force et de vie, que ses peines ont du charme et de la poésie, que vivre et sentir est pour elle une jouissance.
La jeunesse, c'est l'âge le plus heureux, c'est celui où l'homme vit le plus à la fois.
Qui perd la jeunesse les peines doublent, et les plaisirs diminuent.
On aime dans la jeunesse le courage improvisé et la prudence acquise.
Il est des femmes qui ne comprennent leur sexe qu'au moment où la jeunesse meurt.
La jeunesse a l'assurance de celui qui paie argent comptant.
La jeunesse est anarchiste ; elle s'insurge contre ce qui est.
La jeunesse est injuste et féroce.
Un jour vient le temps où la jeunesse n'est plus un fait, mais une décision.
Profite de chaque moment, si tu ne veux pas avoir des regrets, et te dire que tu as perdu ta jeunesse.
Jeunesse est le temps des échecs.
La jeunesse a quelquefois un instinct plus sûr que l'expérience.
Si la jeunesse a des luttes à subir, elle a du moins l'espoir et la foi pour appui.
Ô ma jeunesse abandonnée comme une guirlande fanée voici que s'en vient la saison des regrets et de la raison.
On ne comprend guère le mot jeunesse avant trente ans.
La vie des bons est une jeunesse perpétuelle.
La jeunesse s'enfuit sans jamais revenir.
Ô jeunesse ! entre ainsi dans la vie, légèrement et gaiement.
La trop grande jeunesse est un défaut dont on se corrige tous les jours.
Quand la jeunesse est morte, laissons-nous emporter par le vent qui l'emporte.
La jeunesse est capable de toutes les abnégations.
Il faut que jeunesse se passe... vive l'amour, et allez donc !
La jeunesse se plaît à changer de séjour.
La jeunesse est un don de Dieu, et comme tous les dons de Dieu, il est sans repentance.
La jeunesse sait ce qu'elle ne veut pas avant de savoir ce qu'elle veut.
Jeunesse : Le temps des échecs.
Je regrette les temps de l'antique jeunesse.
La sagesse de la jeunesse, c'est de savoir jouir de ses appas.
Il y aura toujours des gens qui n'aiment pas la jeunesse.
Que de jeunesse emporte l'heure, qui n'en rapporte jamais rien ! Pourtant quelque chose demeure : Je t'aime avec mon coeur ancien.
La jeunesse et la santé, les deux dons qui font le plus d'ingrats.