Les citations et mots d'auteurs :
La mère représente le bien, la vertu, la Providence, la Loi, c'est-à-dire la Divinité sous sa forme accessible à l'enfance.
Qui ne serait reconnaissant à la tendresse maternelle ?
Rien ne payera jamais deux larmes de joie dans les yeux d'une pauvre mère.
Ma bonne mère, je l'embrasse avec une joie incroyable ; la bonté est tout le prix de l'âme ; une mère est douce au cœur comme un oreiller au front ; on ne sent pas l'oreiller, il soutient en cédant, il est tout baiser.
Je pense bien souvent à ma mère. Je me berce de l'espoir que je la reverrai un jour, je me dis que j'ai encore un peu de bonheur à vivre, quand elle me prendra dans ses bras, et m'appellera son fils, et m'embrassera. Tous ces baisers, toute cette tendresse que je n'ai pas eus, et dont j'aurais été si heureux ! Comme je souffrirai le jour où elle mourra, que je l'aie revue ou non. Ce jour-là, je serai seul pour de bon.
Il n'y a pas de meilleur ami que sa propre mère.
Une mère est aux femmes ce que les séraphins sont aux anges, et les cardinaux aux capucins.
Le sein de la mère est un sanctuaire impénétrable et mystérieux.
L'esprit qui domine, la main qui gouverne, l'influence régnante dans une maison, c'est l'esprit, la main et l'influence de la mère. Le foyer est son chez elle : fils, fille, mari, tout subit son ascendant.
Le foyer est là où est la mère.
Comme mère une femme réelle, calme, permanente, et, s'il était possible, inusable ; comme maîtresse, un semblant de femme, très intense, tout à fait instantanée et parfaitement illusoire, un succube qui ne puisse être ni désillusionnant ni désillusionné.
La mère, c'est la partie de la maman qui sait dire non, qui refuse, qui interdit, qui commande ou même exige parfois. Une mère dit ce qu'il faut faire, ou ne pas faire.
Nos mères savaient vieillir... elles acceptaient bravement et ingénument les cheveux blancs et les rides ; elles remplaçaient la beauté par l'esprit, la jeunesse par la grâce, la galanterie par la bonne humeur, l'amour par l'amitié.
Si la main d'une mère suffit à bercer l'enfant et à guider ses premiers pas, elle devra s'aider de la main du père pour conduire sa marche dans le monde. Avec cette double escorte, il s'avancera riant et plein de foi en l'avenir, sûr d'être mené par elle dans les sentiers les moins scabreux de la vie.
La mère frémit de joie et d'anxiété en contemplant son enfant ; elle le presse et l'étreint de baisers convulsifs, comme s'il allait fuir de ses bras. Elle épie l'heure où le sommeil est prêt à toucher ses yeux, et, le déposant doucement dans son berceau, le balance en chantant.
Une mère c'est l'ange gardien vigilant qui plane doux et bienfaisant sur l'enfance, chasse aux alentours les influences mauvaises qui la menacent, et pose une main blanche sous les pieds roses de son enfant.
Une bonne mère n'est pas seulement orgueilleuse de ses enfants comme de ses plus beaux atours ; elle est fière aussi des dangers qu'elle brave, des tourments qu'elle souffre pour eux ; elle se sent plus forte dans la douleur, plus puissante dans l'action, plus ingénieuse dans les moyens.
Le sentiment maternel poussé à l'extrême devient une absolution pour la vie passée, aux yeux des gens sensibles qui pardonnent tout à une excellente mère.
L'amour sans bornes de la mère rend tout facile !
Les femmes qui sont exclusivement mères s'attachent plus par les sacrifices que par les plaisirs.
Enfants, ayez soin de votre mère tous les jours de sa vie, car vous devez vous souvenir combien elle a souffert, et à quels dangers elle a été exposée pour vous, lorsqu'elle vous portait dans son sein.
Celui qui ne cède pas d'abord aux instances d'une mère ne s'attendrira jamais.
Veille chaque jour sur les vieux ans de ta mère qui passait des nuits à côté de ton berceau.
Lorsqu'une préférence involontaire entraîne une mère vers un de ses enfants, elle a la plus puissante des raisons d'être encore meilleure envers ses autres enfants.
Le plus beau triomphe d'une mère est de réunir par leurs vertus des enfants divisés par leurs passions, et de se soumettre leurs cœurs par le charme de sa tendresse.
Une bonne mère de famille est à la fois la gaieté et la force de la maison.
Un mari ne remplace jamais une mère pour une femme.
La femme qui redoute d'être mère, qui préfère la finesse de sa taille et les joies bruyantes de l'hiver aux gloires cachées de la maternité, peut être la plus charmante femme du monde aux flambeaux et sous l'éclat des bougies ; mais, a la face du soleil vivifiant, devant la nature incessamment féconde, c'est un monstre.
Le célibat de la femme est plus contraire encore au vœu de la nature que celui de l'homme. Ôter à la femme d'être mère, c'est la déposséder de ce qui, dans la famille humaine, assure sa supériorité en un point sur l'homme. La femme la plus tombée a cette ressource de pouvoir être une mère sublime.
Adieu, ma belle, ma bonne, ma chère mère ; aime-moi toujours beaucoup plus que je ne mérite, ce sera encore beaucoup moins que je ne t'aime.
Les larmes d'une mère sont les seules qui donnent envie de mourir de chagrin.
Fêter sa mère comme si elle était éternelle, c'est y penser tous les jours.
L'amour seul fait plier les genoux d'un homme devant une mère.
Les deux hommes sont de la même mère, mais pas de la même paire.
Une mère éplorée n'a pas assez de cœur pour la douleur et la vengeance à la fois.
Il y a des enfants sans état civil, il n'y a pas d'enfant sans mère.
Quand on perd sa mère on perd tout. On ne trouvera jamais, chez d'autres personnes, ce dévouement illimité, cette extrême ressource dans les plus grands malheurs. Il y a des enfants ingrats, il n'y a pas de mère oublieuse.
L'œil d'une mère comprend nos furtives amours.
Ma mère, la seule personne au monde que je veux précéder dans la mort.
Mère - Seule personne qu'on n'imagine pas capable de faire l'amour.
Ma mère m'a appris que j'étais né entre deux éclats de ses rires, ce qui sans doute explique le grain de cette phrase : nous allons par le pire à des choses très fleuries et très douces, accordées au secret de nos âmes.
Si jeune que l'on soit, le jour où l'on perd sa mère, on devient vieux tout à coup.
Les larmes de bonheur, les louanges adressées au ciel, les expressions d'une mère reconnaissante sont des impressions à jamais ineffaçables.