Il n'y a pas de société s'il n'y a pas de relation.
Jiddu Krishnamurti - Œuvre : La nature de la pensée (2006)
Il n'y a pas de société s'il n'y a pas de relation.
La solidarité de la justice et de l'amour, c'est là la société humaine et divine.
Plus mêlé à la société humaine, on redevient plus actif, plus tolérant, plus sage, plus modéré.
La société d'une femme, loin de troubler les sens, les apaise.
Je demande la suppression des classes dirigeantes ; de ce ramassis de beaux messieurs stupides qui batifolent dans les jupes de cette vieille traînée dévote qu'on appelle la bonne société.
L'homme est destiné à vivre en société.
La société, doux charme de la vie, fait le bonheur de l'homme et partout le convie.
Un enfant est capable de comprendre un châtiment infligé par un individu, tel qu'un parent, un tuteur, et de le supporter avec un certain degré de résignation : ce qu'il est incapable de comprendre, c'est un châtiment infligé par la Société ; il ne saurait se faire une idée de la Société.
Il est odieux de défendre et risible d'attaquer une société dont on profite.
Cette société usurpe notre bien, et prend tout même à ceux qui n'ont rien.
On ne doit à la société qu'en raison de ce qu'elle nous profite.
Dans la société, les ridicules sont des discordances.
La société ne se soutient que par des échanges perpétuels de bienfaits.
La société des hommes ressemble à une comédie grave ; populations, intérêts, gouvernements, histoire : autant de marionnettes sur un théâtre de foire.
La société ne pratique aucune des vertus qu'elle demande aux hommes : Elle commet des crimes à toute heure, mais elle les commet en paroles ; elle prépare les mauvaises actions par la plaisanterie, comme elle dégrade le beau par le ridicule ; elle se moque des fils qui pleurent trop leurs pères, elle anathématise ceux qui ne les pleurent pas assez ; puis elle s'amuse, elle ! à soupeser les cadavres avant qu'ils soient refroidis.
Pauvre société où le cœur n'a de véritables jouissances que dans l'oubli de tout devoir !
Une société est bien malade, lorsqu'au lieu de voir dans l'avenir la succession du présent, on n'y voit que sa destruction.
Une société qui est obligée de mettre sur papier les droits de ses enfants est une société qui mérite la tutelle.
La société n'est pas autre chose que l'ordre, et l'ordre a en Dieu sa racine invulnérable.
En société il ne faut paraître, modeste ou même humble, que lorsqu'on est sûr d'être.
L'habit ne fait pas le moine ; espérons qu'il ne fait pas le guerrier, l'homme d'État, le magistrat, le poète. Quelle pitoyable idée il nous faudrait concevoir de la société où nous vivons, dont l'habit est si absurde et si ridicule, que la peinture est aux expédients et la statuaire aux abois, quand il leur est commandé de reproduire un de nos grands hommes contemporains !
Une société ne peut progresser en complexité que si elle progresse en solidarité.
Une société n'est forte que lorsqu'elle met la vérité sous la grande lumière du soleil.
La société devient enfer dès qu'on veut en faire un paradis.
Les fruits de la société sont doux, mais il faut souvent les cueillir sur un terrain de ronces et d'épines.
La société est une bascule qui ne peut élever les uns, sans rabaisser les autres.
Nos sociétés imparfaites sont assises sur des bases usées par la marche du temps.
Toute société qui prétend assurer aux hommes la liberté, doit commencer par leur garantir l'existence.
Qu'est-ce que la société ? C'est de la moisissure.
La société ne doit rien exiger de celui qui n'attend rien d'elle.
La société n'a pas de morale, elle n'a que des mœurs.
La société serait une chose charmante, si l'on s'intéressait les uns aux autres.
La vie en société c'est quand tout le monde est là et qu'il n'y a personne.
Dans la société des fous le plus fou est roi?