Les citations, pensées et mots de célébrités :
Enfants, ayez soin de votre mère tous les jours de sa vie, car vous devez vous souvenir combien elle a souffert, et à quels dangers elle a été exposée pour vous, lorsqu'elle vous portait dans son sein.
Le mariage est un état de soins et de sacrifices, et sans le sentiment qui rend tout aisé, il est bien difficile d'en remplir les devoirs, même avec de la vertu. Les obligations sont sans doute réciproques, mais les femmes sont appelées à des soins particuliers. La nature, en leur donnant plus de grâces, plus d'aménité, plus de délicatesse, nous apprend que c'est à elles à mettre les attentions, les complaisances, les égards dans cette union, d'où, elles retirent en échange les fruits de la protection et des travaux plus importants des hommes.
La nature a commencé l'homme, c'est le soin et l'étude qui le forment et l'achèvent.
Quelques soins que nous nous donnions pour rendre notre vie heureuse, pourrons-nous jamais nous garantir de cette foule de maux qui nous assiègent et nous persécutent depuis le moment de notre naissance jusqu'à celui qui nous mène au tombeau ? À combien de maladies ne sommes-nous pas sujets ! Combien d'excessives douleurs ne nous font-elles pas souffrir dans toutes les parties du corps ! Que de revers n'avons-nous pas à craindre de la fortune ! Que d'infidélités et de trahisons n'avons-nous pas à essuyer de nos amis ! Que de complots et de cabales de nos ennemis ! Enfin que de méchancetés et de noirceurs de tous ceux qui nous environnent !
Les soins qu'on se donne pour ne pas souffrir causent plus de tourments qu'on n'en aurait à supporter les souffrances.
Avertissez avec douceur votre ami qui s'égare ; remettez-le dans la bonne route dont il s'est écarté, mais si vos soins sont inutiles, si lui-même s'obstine à sa perte, ne vous rendez pas ridicule par une vaine importunité.
Ne te borne pas à donner de l'argent aux plus démunis, sache aussi donner tes soins, ton temps, tes lumières, ces affections consolatrices qui souvent sont plus précieuses que des secours.
L'homme qui s'étudie avec soin aisément se passe de médecin.
Le désir et le soin de plaire sont le propre des âmes belles et tendres en qui le besoin d'être aimées naquit un jour du besoin d'aimer.
Il n'est conseil ni soins qui puissent prévaloir contre la fatalité.
Vis-à-vis de l'être tant aimé, l'être tant chéri, il faut être aux petits soins.
La mort à l'âge de la cinquantaine, et dans la solitude, c'est peut-être encore moins rude que le déclin au milieu d'un monde ironique et de soins rendus à regret.
Quand je pense à tout ce que j'ai en surplus, l'aisance, les amitiés, les souvenirs, les soins, et que je mesure mon dégoût de la vie, je sens croître ma pitié pour tous ceux qui souffrent, pour les délaissés, les nécessiteux, les mutilés.
De bonnes dettes deviennent mauvaises quand on n'a pas soin de s'en faire payer.
Les bonnes manières s'apprennent en commençant par les soins que réclame la famille.
On est riche avec peu de soins, quand on est pauvre de besoins.
Les petits soins, les empressements, sont les marques véritables des véritables amants.
La vie d'un homme, même s'il a pris soin de sa santé, dure moins qu'un siècle.
Si dévoués qu'ils puissent être, les soins des autres ne valent jamais ceux des personnes que nous aimons.
Certains prennent plus de soin à cacher leur sagesse que leur folie.
Le premier soin de l'homme est celui de sa propre conservation ; il aime à se sentir vivre, et fait tout effort pour rendre son existence agréable.
Montre-toi vivement sensible aux bons offices, que dans l'occasion quelqu'un t'aura rendus, et n'imite pas ceux près de qui les services, et les plus grands soins sont perdus.
Si l'enfant s'attache à ceux qui s'occupent de lui, ce n'est qu'en raison des soins qu'il en reçoit.
Le ventre de la femme c'est comme le pantalon de l'homme soigneux : il ne doit pas faire un pli !
Les soins qu'on prend pour soi-même sont toujours profitables.
Tous les hommes sont fous, et malgré tous leurs soins, ne diffèrent entre eux que du plus ou du moins.
Noble et tendre amitié, je te chante en mes vers. Du poids de tant de maux semés dans l'univers, par tes soins consolants, c'est toi qui nous soulages, trésor de tous les lieux, bonheur de tous les âges.
C'est le soin qui fait prospérer l'ouvrage.
Le défaut de soin fait plus de tort que le défaut de savoir.