La vie à deux a ses périls, toutes les heures n'y sont pas parfaites.
Paul Géraldy - Œuvre : Aimer, le 5 décembre 1921.
La vie à deux a ses périls, toutes les heures n'y sont pas parfaites.
On ne vit pas deux ans avec une femme sans en être imprégné.
L'amour est une sottise faite à deux.
La vie à deux, et même à trois, n'est plus assez gaie.
Désir de vivre à deux et peur du couple : Les amants s'installent de plain-pied dans cette contradiction impossible.
L'amour, ce n'est pas de la soumission aveugle, c'est une union victorieuse de deux êtres.
La vie commune est un art très difficile à apprendre.
Une des qualités fondamentales pour vivre à deux, c'est la générosité.
On n'a pas vécu huit ans avec une femme sans être fixé sur son compte.
L'habitude de vivre côte à côte agit, à la longue, comme le plus infaillible des calmants.
Si deux êtres qui s'aiment laissent une seule minute se loger entre eux, elle devient des mois, des années, des siècles.
Le tout c'est qu'on s'explique dans la vie ; à deux on y arrive mieux que tout seul.
Ce qu'on attend de l'être avec qui l'on vit, c'est qu'il vous maintienne au niveau le plus élevé de vous-mêmes.
Quand deux cœurs en s'aimant ont doucement vieilli, oh ! quel bonheur profond, intime, recueilli !