Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Paul Marie Verlaine

Quelques mots sur l'auteur :

Photo dePaul VerlaineCélèbre poète français, Paul Verlaine est né le 30 mars 1844 à Metz dans le département de la Moselle. Paul Verlaine meurt d'une congestion pulmonaire le 8 janvier 1896 à l'âge de 51 ans, il repose au cimetière des Batignolles situé à Paris. Pour de plus amples informations, lisez sa biographie sur Wikipédia.

Les 62 pensées et citations de Paul Verlaine :

Moi mort ou non, voici mon testament : Crains Dieu, ne hais personne, et porte bien ton nom.

Paul Verlaine - À George Verlaine, Amour (1888)

Ô la femme à l'amour câlin et réchauffant, et qui parfois vous baise au front, comme un enfant !

Paul Verlaine - Poèmes saturniens, Vœu (1866)

L'amour, c'est une phrase sous un mot.

Paul Verlaine - Jadis et naguère, Amoureuse du diable (1884)

Que ton vers soit la bonne aventure, et tout le reste est littérature !

Paul Verlaine - Jadis et naguère, L'art poétique (1884)

Il est grave : il est maire et père de famille.

Paul Verlaine - Monsieur Prudhomme (1866)

L'enfant se fait homme ou devient jeune fille et cependant que croît sa chair pleine de grâce, son âme se répand par-delà la famille, et cherche une âme soeur, une chair qu'il enlace.

Paul Verlaine - L'amour de la patrie, Bonheur (1891)

Il ne faut jamais juger les gens sur leurs fréquentations.

Paul Verlaine - Fragments (1844-1896)

Je suis riche de tes beaux yeux.

Paul Verlaine - Je suis plus pauvre que jamais (1891)

Tes yeux sont les plus beaux du monde, et de ton sein je suis avide.

Paul Verlaine - Chanson pour elle (1891)

Chute des reins, chute du rêve enfantin d'être sage.

Paul Verlaine - Femmes, Partie carrée (1890)

Le ver est dans le fruit, le réveil dans le rêve.

Paul Verlaine - Poèmes saturniens, Nevermore 2 (1866)

L'étreinte jalouse et le spasme obsesseur ne valent pas un long baiser.

Paul Verlaine - Poèmes saturniens, Lassitude (1866)

Mets ton front sur mon front et ta main dans ma main, et fais-moi des serments que tu rompras demain.

Paul Verlaine - Poèmes saturniens, Lassitude (1866)

Les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon cœur d'une langueur monotone. Tout suffocant et blême, quand sonne l'heure, je me souviens des jours anciens et je pleure ; et je m'en vais au vent mauvais qui m'emporte deçà, delà, pareil à la feuille morte.

Paul Verlaine - Poèmes saturniens, Chanson d'automne (1866)

Ce qu'il nous faut à nous, poètes, c'est l'étude sans trêve, c'est l'effort inouï, le combat non pareil, c'est la nuit, l'âpre nuit du travail, d'où se lève lentement, lentement, l'œuvre, ainsi qu'un soleil !

Paul Verlaine - Poèmes saturniens, Épilogue (1866)

Ô triste, triste était mon âme à cause, à cause d'une femme. Je ne me suis pas consolé bien que mon coeur s'en soit allé. Bien que mon coeur, bien que mon âme eussent fui loin de cette femme.

Paul Verlaine - Ô triste, triste était mon âme (1874)

Unissons dans nos deux misères le pardon qu'on nous refusait, et je t'étreins et tu me serres et zut au monde qui jasait !

Paul Verlaine - Compagne savoureuse et bonne (1891)

Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête toute sonore encore de vos derniers baisers ; laissez-la s'apaiser de la bonne tempête, et que je dorme un peu puisque vous reposez.

Paul Verlaine - Green, Romances sans paroles (1874)

Les sanglots longs des violons de l'automne, blessent mon cœur d'une langueur monotone.

Paul Verlaine - Poèmes saturniens, Chanson d'automne (1866)

Tout suffocant et blême, quand sonne l'heure, je me souviens des jours anciens et je pleure ; et je m'en vais au vent mauvais qui m'emporte, deçà delà, pareil à la feuille morte.

Paul Verlaine - Poèmes saturniens, Chanson d'automne (1866)

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant d'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.

Paul Verlaine - Poèmes saturniens, Mon rêve familier (1866)

Ami, retiens ce point : on est le Diable, on ne le devient point.

Paul Verlaine - Jadis et naguère, Don Juan pipé (1884)

La chair est sainte ! il faut qu'on la vénère ; c'est notre fille et notre mère, et c'est la fleur du jardin d'ici-bas ! malheur à ceux qui ne l'adorent pas !

Paul Verlaine - Jadis et naguère, Don Juan pipé (1884)

Tout est pour le mieux : tiens, prends, et bois à ma santé, bon vieux.

Paul Verlaine - Jadis et naguère, Don Juan pipé (1884)

L'amour est un dans tous et tous dans un.

Paul Verlaine - Jadis et naguère, Don Juan pipé (1884)

Femmes, aimez vos maris !

Paul Verlaine - Jadis et naguère, Don Juan pipé (1884)

L'amour, c'est un peu de plaisir fin, beaucoup de joie, selon le plus ou moins de moyens qu'il emploie.

Paul Verlaine - Jadis et naguère, Amoureuse du diable (1884)

Ah, si je bois c'est pour me soûler, non pour boire !

Paul Verlaine - Jadis et naguère, Amoureuse du diable (1884)

Que l'ivrogne est une forme du gourmand ? Alors l'instinct qui vous dit ça, ment plaisamment.

Paul Verlaine - Jadis et naguère, Amoureuse du diable (1884)

Millions en billets de mille qu'on liasse, ne pèsent pas beaucoup et tiennent peu de place.

Paul Verlaine - Jadis et naguère, Amoureuse du diable (1884)

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