Évariste Boulay-Paty Quelques mots sur l'auteur : Poète romantique français né le 10 octobre 1804 à Donges en Loire-Atlantique, Évariste Boulay-Paty est décédé le 7 juin 1864 à Paris à l'âge de 59 ans. Pour de plus amples informations,
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Les 19 pensées et citations d'Évariste Boulay-Paty : On connaît trop celui qu'on a trop écouté.
Évariste Boulay-Paty - Le silence, Sonnets (1851) Les belles, pour charmer nos cœurs, ont bien souvent des yeux de feu.
Évariste Boulay-Paty - La fièvre (1834) L'heure échappe à jamais, d'une autre heure suivie, puis la mort vient... À l'amour abandonnons nos jours ! et dans ce bain idéal qui rafraîchit la vie, plongeons-nous pour toujours !
Évariste Boulay-Paty - Élie Mariaker (1834) Isolons-nous tous deux dans une nuit profonde, ma bien-aimée ! Ici-bas je ne connais qu'un bien, c'est toi ! Que peut le reste, et qu'importe le monde, à qui n'en attend rien ?
Évariste Boulay-Paty - Élie Mariaker (1834) Le bonheur, c'est l'amour. L'amour est solitaire. L'une à l'autre unissons les molles voluptés ; aimons, et de l'amour tressons avec mystère... les rêves enchantés.
Évariste Boulay-Paty - Élie Mariaker (1834) L'un sur l'autre pressés, nos deux cœurs pleins d'ivresse, s'entretiennent tout bas de leurs jeunes amours. Oh ! comme ils s'aiment bien ! Oh ! qu'ils ont de tendresse ! Chaque doux battement est un mot de caresse.
Évariste Boulay-Paty - Élie Mariaker (1834) Les longs baisers et les longues caresses font les longs amours.
Évariste Boulay-Paty - Élie Mariaker (1834) Je t'ai promis l'amour et non pas le bonheur ! L'amour, l'amour, vois-tu, c'est la folie au cœur.
Évariste Boulay-Paty - Élie Mariaker (1834) Quand ta bouche sourit, je ris ; c'est par toi mon amour que je vis.
Évariste Boulay-Paty - La fièvre (1834) Il est de beaux yeux, qui sous leurs doux regards, cachent un cœur glacé.
Évariste Boulay-Paty - La fièvre (1834) Chaque nouvel amour est un nouveau printemps.
Évariste Boulay-Paty - Aimez, Sonnets (1851) Le silence dans l'homme est une dignité.
Évariste Boulay-Paty - Le silence, Sonnets (1851) On ne se repent jamais de son silence.
Évariste Boulay-Paty - Le silence, Sonnets (1851) Bouche cousue vaut mieux que langue pendue.
Évariste Boulay-Paty - Le silence, Sonnets (1851) Elle serre en ses bras les fils qu'elle a nourris ; son être maternel se fond dans sa tendresse ; son regard est un soin, son geste une caresse ; son âme en ses baisers vient sur leurs fronts chéris.
Évariste Boulay-Paty - La mère de famille (1852) L'amour maternel n'est point chose éphémère ; il ne trompe jamais, et jamais ne finit.
Évariste Boulay-Paty - L'amour maternel (1852) Pour créer, imite le génie ; les meilleurs fruits sans soleil restent verts.
Évariste Boulay-Paty - Orphée, Art, LXV (1852) Il faut plus d'une fleur pour faire une couronne.
Évariste Boulay-Paty - La couronne de la muse (1852) Le regard est le plus expressif des langages de la femme.
Évariste Boulay-Paty - La fièvre (1834)
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