Quand l'amour vous fait signe, suivez-le,
Bien que ses chemins soient raides et ardus.
Quand il vous enveloppe de ses ailes, cédez-lui,
Même si l'épée cachée dans ses pennes vous blesse.
Quand il vous parle, croyez en lui,
Même si sa vie actuelle brise vos rêves,
Comme le vent du Sud brûlant un jardin.
S'il s'élève à votre hauteur pour y caresser,
Vos plus tendres mèches flamboyantes sous le soleil,
Telles des gerbes de blé,
S'il vous serre contre lui,
S'il vous regarde pour vous aimer,
S'il vous façonne pour vous libérer de vos idées,
S'il vous caresse jusqu'à vous rendre pénétrable,
Tout cela l'amour vous le fait subir,
Afin que vous connaissiez,
Les secrets de votre cœur.
Au travers de cette connaissance,
Devenez fragment du cœur de sa vie.
Ne recherchez que la paix de l'amour et sa volupté,
Sachez que l'amour ne donne que de lui-même.
L'amour ne possède pas,
Et ne saurait être possédé,
Car l'amour suffit à l'amour.
Ne croyez surtout pas qu'il nous appartienne,
De diriger le cœur de l'amour,
C'est l'amour, s'il nous en trouve digne,
Qui guidera les nôtres.
L'amour n'a d'autre désir que de s'accomplir.
Connaître la douceur d'une tendresse excessive,
Vous réveillez aux aurores, le cœur ailé,
Et vous rendre grâmece, pour une nouvelle journée.
Je pense à toi,
Toujours, à toi et moi.
J'écoute les battements...
De mon p'tit cœur,
Mon dieu ! Bon sang !
Il bat à cent à l'heure !
Tout est normal,
Ne t'inquiètes surtout pas,
Il semblerait que...
Point on n'en meurt.
Il respire ce bonheur,
Cette joie intérieure,
Vraiment bizarre,
Un mal qui fait du bien,
De loin le plus rare.
Sensation de bien être,
D'agréables frissons,
Mêlés à de fortes passions,
De très grandes émotions.
Cette impression,
Quand on est amoureux,
D'avoir ce merveilleux cœur,
Qui bat pour deux.
Mes yeux se ferment,
Mon esprit se remplit,
De ces quelques mots,
Qui me donnent envie,
De penser à toi,
Toi l'amour de ma vie.
J'aimerai que ce poème,
Seule, tu lises sans bruit.
Que tu penses à ce Je t'aime
Que d'ici je t'envoie,
En écoutant cette mélodie,
Ces merveilleux écrits.
Que tu t'endormes cette nuit,
En pensant à toi et moi.
De pièces à pièces, de pas en pas,
D'ivresse en ivresse et de haut en bas,
Ils passèrent des jours d'amour et d'harmonie,
De musiques, de baisers aux deux lèvres unies,
Aux caprices divins du désir, du plaisir de leur vie.
Ils allaient, ils allaient au hasard et sans heures,
S'embrasser, se caresser aux plaisirs de leurs cœurs,
Se regardant toujours d'un air gai et enchanté,
Ils se contemplaient et restaient là, à s'aimer.
De regards confondus, de soupirs bienheureux,
Qui furent deux moments, deux siècles pour eux !
Comme un seul accord d'accents harmonieux,
Tout semblait s'élever en choeur jusqu'aux cieux.
La terre, sous leurs yeux, palpitait tendrement,
Comme le flot des mers ou le cœur d'un amant !
Tout ce qu'ils vivaient, par un hymne suprême,
Accompagnait leurs voix qui se disaient :
Je t'aime, mon dieu, ô que je t'aime.
Ne veux-tu pas changer le destin de ma vie ?
Toi que mon tendre cœur a choisi ?
Moi, je sais de quel respect il faut que je t'honore,
Même si quelque fois je t'ai dit l'envie qui me dévore,
De t'aimer à tout jamais, de jouir de tout ton corps.
L'âme pleine d'amour et de mélancolie,
J'aimerai que nos corps s'unissent en toute harmonie,
Que de tes caresses et baisers, tu me donnes toujours envie.
C'est de tes yeux que mon ardeur est née,
Les divines clartés de tes yeux qui m'ont brûlé,
Mais tant que tu brûleras mon cœur enflammé,
Je suis sûr de pouvoir t'aimer, t'aimer à tout jamais.
J'ai su le premier jour, qu'en mon esprit j'adorais ton image,
Que l'amour que tu me portes, me comblerai d'un bel hommage.
J'ai su depuis dès ce jour, que cet amour vivra pour toujours,
Vivra depuis ce premier jour, à tout jamais, tout jamais.