L'amour, c'est parfois agréable, mais c'est trop fatigant. J'ai deux maîtresses ! Une seule maîtresse vous inspire souvent un grand désir de vertu, mais deux maîtresses !
Tristan Bernard ; Le poulailler (1908)
Tristan Bernard (2)
Les citations célèbres de Tristan Bernard :
Le vrai bon joueur est celui qui sait passer.
Tristan Bernard ; Triplepatte, le 30 novembre 1905.
Le remords est le meilleur des stimulants pour ne rien faire.
Tristan Bernard ; Tristan Bernard en verve (1971)
Les choses que l'on n'a pas eues sont toujours les plus belles.
Tristan Bernard ; Un perdreau de l'année, le 24 avril 1926.
On doit faire faire par d'autres le travail qu'on n'est pas absolument obligé d'exécuter soi-même.
Tristan Bernard ; Les secrets d'État (1908)
Ceux qui agissent sont toujours optimistes, et leur optimisme leur est trop nécessaire pour agir.
Tristan Bernard ; Le poil civil (1915)
Ce que nous aimons dans nos amis, c'est le cas qu'ils font de nous.
Tristan Bernard ; Les deux amateurs de femmes (1908)
Mentir, c'est à la portée de toute personne qui n'est pas empruntée.
Tristan Bernard ; Mathilde et ses mitaines (1912)
La mort, c'est la fin d'un monologue.
Tristan Bernard ; Le satyre intermittent (1925)
Il n'y a qu'une chose qui me réussisse, c'est de dormir.
Tristan Bernard ; Le poulailler (1908)
Ceux qui ont à se faire pardonner se croient obligés d'être plus aimables.
Tristan Bernard ; Triplepatte, le 30 novembre 1905.
L'honnêteté n'est pas un habit des dimanches, mais un vêtement de tous les jours.
Tristan Bernard ; Le poil civil (1915)
Tout s'arrange, le plus souvent, en ne s'arrangeant pas.
Tristan Bernard ; Un mari pacifique (1901)
Deux mariages, vous savez, ça vaut un incendie.
Tristan Bernard ; Le captif, le 9 février 1904.
On ne pense pas à tous les frais que nous avons nous autres bigames.
Tristan Bernard ; Le captif, le 9 février 1904.
Ah ! que ne suis-je riche, pour venir en aide au pauvre que je suis !
Tristan Bernard ; Le fardeau de la liberté, le 15 mai 1897.
Il faut mettre de l'argent de côté pour en avoir devant soi.
Tristan Bernard ; Le fardeau de la liberté, le 15 mai 1897.
Mieux vaut ne pas réfléchir du tout que de ne pas réfléchir assez.
Tristan Bernard ; Triplepatte, le 30 novembre 1905.
Deux pigeons s'aimaient d'amour tendre. Moralité : L'un d'eux s'ennuyait au logis.
Tristan Bernard ; Les contes, répliques et bons mots (1964)
Beaucoup de divorces sont nés d'un malentendu, beaucoup de mariages aussi.
Tristan Bernard ; Les petites curieuses (1920)
Il n'y a pas d'enfants sots : il n'y a que de sots parents.
Tristan Bernard ; Les parents paresseux (1932)