Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Lettres d'une marraine à sa filleule.

1 — Qui est Marie Joséphine de Suin ?

Photo de Diane de Beausacq Les lettres d'une marraine à sa filleule est une œuvre de Marie Joséphine de Suin, dite Diane de Beausacq, oeuvre publiée en 1863. Écrivaine et femme de lettres, elle est également connue sous les noms de plume de Comtesse Diane et Emmeline Raymond. Autres œuvres : La civilité non puérile mais honnête (1863), Les Maximes de la vie (1883), Le livre d'or de la comtesse Diane (1886), et Les glanes de la vie (1898).

2 — Les 61 pensées et citations de Diane de Beausacq :

Il est plus sage de fuir les tentations que de les braver avec la résolution de les vaincre.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La médisance n'est qu'une étape sur le chemin de la vie qui conduit à la calomnie.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Les cœurs généreux sont gênés principalement par la crainte de gêner.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le dévouement et la générosité décuplent les forces, exaltent le courage, et peuvent seuls nous aider à surmonter les obstacles, à vaincre les difficultés, à lutter contre les tristesses et les amertumes de l'existence.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le temps est trop précieux pour être dépensé en visites inutiles.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le plus grand défaut de l'ignorance, c'est le pédantisme.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le bonheur est en nous, il dépend de notre caractère, de notre éducation, de notre force morale.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Une personne d'intelligence bornée peut avoir du tact, un sot jamais !

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Mieux vaut avancer à pas lents que d'être forcé de reculer violemment.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

L'indifférence accepte les apparences sans examen, et se hâte de prononcer ses jugements.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Il faut se respecter soi-même pour être respecté des autres.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Une bibliothèque est le corollaire de nos idées et de nos sentiments.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Travaillez sans cesse, et lisez beaucoup, afin de pouvoir vous intéresser à tout.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

C'est fort ennuyeux d'habiter un piédestal, de plus... c'est fort dangereux !

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Jouissez pleinement du printemps de votre vie, et préservez soigneusement vos jours du trouble.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le tact se trouve dans l'esprit quelquefois, mais plus souvent dans le cœur.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Mieux vaut une simplicité élégante à un luxe étriqué.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La vie réserve bien des chagrins, bien des déceptions cruelles.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Donnez votre avis comme votre, et non comme bon.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Souvenez-vous toujours que les petits sacrifices exigés, répétés, ébranlent les affections même les plus solides.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le bonheur est, dit-on, une chimère, que l'on poursuit dans la jeunesse pour soi et dans la maturité de la vie pour ceux que l'on aime ; cela n'est vrai que lorsqu'il s'agit de ceux qui cherchent le bonheur là où il ne peut être.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La lecture permet d'échapper aux tristesse de la solitude.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le pédant est celui qui a appris non les choses, mais les mots, et auquel l'apparence de l'instruction suffit.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La vanité a placé sur son entendement un bandeau qui ne s'écarte jamais, et elle marche en aveugle, heurtant les convenances, blessant tous ceux qu'elle rencontre, et faisant le vide autour d'elle par son outrecuidance et son aplomb ; ce que le monde pardonne le moins, c'est en effet l'amour-propre, qui prétend morigéner, redresser, éclairer les autres, et n'a point d'autre origine que l'admiration que l'on professe pour soi-même.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Les premiers pas que l'on fait dans le monde ont une influence décisive sur toute la vie.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le pédantisme métamorphose un homme intelligent en un sot, insupportable par l'estime qu'il fait de lui-même.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Il n'y a de durable dans l'ordre des sentiments que ce qui est volontaire.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La nature a créé les femmes pour le dévouement et le sacrifice.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La vanité conduit à la jalousie.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Un bon père a toujours sous les yeux ses enfants.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

L'esprit est moins clairvoyant que le cœur, voilà pourquoi il y a tant d'égoïstes en ce monde !

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Avec le goût de la lecture, on évite le tourment incessant des esprits inoccupés qui se dévorent eux-mêmes.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le pédantisme s'allie toujours à une instruction très superficielle ; l'homme instruit ne sera jamais un pédant.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

On ne doit jamais faire usage d'un terme quelconque sans être instruit de sa véritable signification.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Faute d'instruction, nos défauts deviennent des vices.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Quand on aime les livres pour eux-mêmes, on les choisit soi-même, et on les acquiert peu à peu.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

On travaille chez soi pour soi en essayant d'éviter à autrui toute gêne et tout ennui.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La nature a mis dans le cœur des femmes un besoin insatiable d'affection et de dévouement.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Femme oisive, songeuse, mauvais coup qui se prépare.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Les jugements que l'on porte sont toujours sommaires, mieux vaut veiller sur ses moindres actions.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Méfiez-vous des gens qui vous accordent peu de temps, ils en ont souvent pour d'autres à revendre !

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Si dévoués qu'ils puissent être, les soins des autres ne valent jamais ceux des personnes que nous aimons.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

N'oubliez jamais que la vérité ne peut être que dans l'identité des paroles avec les actions.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Les actions seules peuvent nous éclairer sur le caractère.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Avant d'accorder votre amitié, comparez les actions aux paroles.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

L'esprit est un ornement, non une base solide, et si le caractère n'est pas ferme et honorable, si le jugement n'est pas éclairé, tôt ou tard, vous serez délaissée par caprice ou par faiblesse. L'esprit, mon enfant, est aussi séduisant qu'insuffisant dans les relations sérieuses ; les paroles et les actions sont trop souvent en contradiction, et ceux qui ont une élocution facile sont facilement entraînés à abuser non seulement les autres, mais encore à s'abuser eux-mêmes sur leur véritable caractère.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Avant de vous lier sérieusement, il faut connaître, non l'esprit, mais le caractère des personnes.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

On emporte avec soi les déceptions auxquelles on s'est exposé !

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Un sentiment triste et amer flétrit le cœur.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Il n'est rien de plus pénible que d'être forcé de retirer la sympathie que l'on avait trop facilement accordée.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Les liaisons trop promptes entraînent des inconvénients sérieux !

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

À Paris, où la vie est si remplie, on n'a plus guère de place ni de temps pour les relations affectueuses.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le plus grand bonheur en ce monde est d'aimer.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Un homme d'esprit, s'il n'a pas de bonté, peut ne pas avoir de tact.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La familiarité engendre le mépris.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

De tact, les vaniteux en sont complètement dépourvus !

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Il faut dans un ménage une dose invariable de patience, d'affection et de dévouement ; ce que l'un met en moins, il faut que l'autre le mette en plus.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La symétrie produit infailliblement l'ennui ; elle glace l'esprit et attriste les regards.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le pédantisme est ridicule, mais quand il se révèle à propos de futilités, il devient grotesque.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La première éducation d'une femme est bien importante, sans doute, mais sa véritable éducation, celle qui influe en bien ou en mal sur son existence, c'est la deuxième, qui lui est donnée par son entourage, par son mari.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le dévouement rapporte plus qu'il ne coûte, car les autres à leur tour, mus par l'émulation et la reconnaissance, sont toujours disposés à se dévouer à la personne qui s'est dévouée à eux.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

3 — Sommaire et ses citations classées par œuvres :

Qui est Diane de Beausacq ? » La civilité non puérile mais honnête »

4 — La liste des auteurs populaires :

Le dictionnaire des meilleurs auteurs français et étrangers »
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