Les citations d'Alfred de Musset.
1 — Qui est Alfred de Musset ?
Biographie courte : Célèbre poète, dramaturge et romancier français, Alfred de Musset est né le 11 décembre 1810 à Paris. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur le 24 avril 1845, et élu à l'
Académie française le 12 février 1852. Connu pour sa vie de débauche, en proie à l'alcoolisme, et son histoire d'amour houleuse avec
George Sand , il décède à l'âge de 46 ans le 2 mai 1857 à Paris. Alfred de Musset repose au cimetière du Père-Lachaise à Paris. Ses principales œuvres :
À quoi rêvent les jeunes filles (1832),
Les caprices de Marianne (1833),
On ne badine pas avec l'amour (1834),
Lorenzaccio (1834),
Fantasio (1834),
La nuit de décembre (1835),
Il ne faut jurer de rien (1836) et
La confession d'un enfant du siècle , un roman publié en 1836. (
Source : Wikipédia )
2 — Les 134 pensées et citations d'Alfred de Musset :
O destin cruel et décevant ! Quand le calice est plein, il faut bien le boire.
Alfred de Musset - Mardoche (1829) Les longues soirées que nous avons passées ensemble sont comme de fraîches oasis dans un désert aride ; elles ont versé sur mon cœur les seules gouttes de rosée qui y soient jamais tombées.
Alfred de Musset - Les comédies et proverbes (1849) L'histoire de ma vie est celle de mon cœur, c'est un pays étrange où je fus voyageur.
Alfred de Musset - La coupe et les lèvres (1831) J'ai cueilli sur ma route un bouquet d'églantine, mais la neige et les vents l'ont fané sur mon cœur.
Alfred de Musset - La coupe et les lèvres (1831) J'ai pour mie une Andalouse à l'œil lutin, et sur mon cœur, tout endormie, je la berce jusqu'au matin.
Alfred de Musset - Madame la marquise (1829) Je t'aime autant qu'au premier jour mon bijou ! ma belle ! mon amour !
Alfred de Musset - Les marrons du feu (1830) Ami, je ne suis ni l'ange gardien ni le mauvais destin des hommes, mais le ciel m'a confié ton cœur. Ami, quand tu seras dans la douleur, viens à moi sans inquiétude, je te suivrai sur le chemin ; mais je ne puis toucher ta main, ami, je suis la Solitude.
Alfred de Musset - La vison (1835) Comment l'homme est-il assez insensé pour quitter cette vie tant qu'il n'a pas épuisé toutes ses chances de bonheur ? Celui qui perd sa fortune au jeu quitte-t-il le tapis tant qu'il lui reste une pièce d'or ? Une seule pièce peut lui rendre tout.
Alfred de Musset - La nuit vénitienne (1830) Quitter une femme me coûte quelques larmes ; en être quitté me coûte un sourire.
Alfred de Musset - La nuit vénitienne (1830) On ne se quitte pas sans tristesse, même pour une absence de quelques jours.
Alfred de Musset - La confession d'un enfant du siècle (1836) Qui ne sait que la nuit a des puissances telles que les femmes y sont, comme les fleurs, plus belles, et que tout vent du soir qui les peut effleurer leur enlève un parfum plus doux à respirer ?
Alfred de Musset - Portia (1833) La raison est sûre d'elle ! Elle approuve, elle dénie ; mais qu'elle se garde d'interroger, de peur que la réponse ne se fasse dans un langage inconnu.
Alfred de Musset - Le roman par lettres (1833) Tu te sens le cœur pris d'un caprice de femme, et tu dis qu'il se brise à force de souffrir. Tu demandes à Dieu de soulager ton âme : Ton âme est immortelle, et ton cœur va guérir.
Alfred de Musset - Lettre à Alphonse de Lamartine (1834) Le cœur de la jeunesse est un vase profond : lorsque la première eau qu'on y verse est impure. La mer y passerait sans laver la souillure, car l'abîme est immense et la tâche est au fond.
Alfred de Musset - Les poésies posthumes (1834) Aimer est quelque chose, et le reste n'est rien.
Alfred de Musset - Idylle (1850) Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert.
Alfred de Musset - La nuit d'octobre (1835) La paresse est un manque de courage.
Alfred de Musset - Silvia, À Madame ***, le 18 décembre 1839. Que d'amour de vous, il est doux de souffrir.
Alfred de Musset - Poésies posthumes, À Ninon (1837) Vive l'amour que l'ivresse accompagne ! Que tes baisers brûlants sentent le vin d'Espagne !
Alfred de Musset - Rolla III (1833) On ne quitte pas un ange pour un diable qui n'a ni esprit ni beauté.
Alfred de Musset - Un caprice (1837) Mon crâne ossianique du bonnet d'âne fut parfois couronné.
Alfred de Musset - Dupont et Durand (1838) Le monde, chaque jour, devient plus entêté, et tombe plus avant dans l'imbécillité.
Alfred de Musset - Dupont et Durand (1838) Le vent de ma faveur est capricieux comme une marée montante.
Alfred de Musset - Les comédies et proverbes (1849) Quand on est coquette, il faut être sage.
Alfred de Musset - Conseils à une parisienne (1850) Tu trouveras, dans la joie ou la peine, ma triste main pour soutenir la tienne.
Alfred de Musset - Les poésies nouvelles (1850) Qui ne serait reconnaissant à la tendresse maternelle ?
Alfred de Musset - Poésies posthumes, À ma mère (1835) Qu'importe de quoi parlent les lèvres, lorsqu'on écoute les cœurs se répondre.
Alfred de Musset - La confession d'un enfant du siècle (1836) Oh ! laissez-moi vous tenir enlacées, boire dans vos baisers des amours insensées.
Alfred de Musset - Poésies posthumes, Vision (1829) L'enthousiasme est frère de la souffrance.
Alfred de Musset - Lorenzaccio, II, 2 (1833) Quoi qu'on en dise, l'amour c'est l'espérance.
Alfred de Musset - Nouvelles, Emmeline (1841) Une haine et un amour : une haine, c'est un meurtre ; un amour, c'est un rapt.
Alfred de Musset - Les comédies et proverbes (1849) Le doute ! il est partout, et le courant l'entraîne, ce linceul transparent que l'incrédulité sur le bord de la tombe a laissé par pitié, au cadavre flétri de l'espérance humaine.
Alfred de Musset - La coupe et les lèvres (1831) Un artiste est un homme, il écrit pour des hommes. Pour prêtresse du temple, il a la liberté ; pour trépied, l'univers ; pour éléments, la vie ; pour encens, la douleur, l'amour et l'harmonie ; pour victime, son cœur ; pour dieu, la vérité.
Alfred de Musset - La coupe et les lèvres (1832) J'aime, et pour un baiser je donne mon génie.
Alfred de Musset - Les poésies nouvelles, La nuit d'août (1836) À l'âge où le cœur est riche, on n'a pas les lèvres avares.
Alfred de Musset - Le chandelier, II, 4 (1835) La femme qu'on aime aura toujours raison.
Alfred de Musset - Les poésies nouvelles, Idylle (1839) Rien ne nous rend si grands qu'une grande douleur.
Alfred de Musset - La nuit de mai (1835) Prenez de l'amour ce qu'un homme sobre prend de vin, mais ne devenez pas un ivrogne.
Alfred de Musset - La confession d'un enfant du siècle (1836) On ne peut pas aimer une coquette à moitié perdue, qui n'a ni esprit ni beauté.
Alfred de Musset - Un caprice (1837) Qu'y a-t-il de plus léger qu'une plume ? La poussière. Et de plus léger que la poussière ? Le vent. Et de plus léger que le vent ? La femme. Et de plus léger que la femme ? Rien.
Alfred de Musset - La quenouille de Barberine (1835) Je n'appartiens à personne ; quand la pensée veut être libre, le corps doit l'être aussi.
Alfred de Musset - Lorenzaccio, II, 2 (1833) Le seul bien qui me reste au monde est d'avoir quelquefois pleuré.
Alfred de Musset - Les poésies nouvelles, Tristesse (1850) Il ne faut jurer de rien.
Alfred de Musset - Il ne faut jurer de rien, III, 4 (1836) Quel que soit le chemin, quel que soit l'avenir, le seul guide en ce monde est la main d'une amie.
Alfred de Musset - Les poésies nouvelles (1850) Une larme en dit plus que tu n'en pourrais dire ; une larme a son prix, c'est la sœur d'un sourire.
Alfred de Musset - Les poésies nouvelles, Idylle (1839) Partons, dans un baiser, pour un monde inconnu.
Alfred de Musset - Les poésies nouvelles, La nuit de mai (1835) Je suis un brave cueilleur de fleurs, qui souhaite le bonjour à vos beaux yeux.
Alfred de Musset - Les comédies et proverbes (1849) Le sourire, ce doux épanouissement qui rend la jeunesse semblable aux fleurs.
Alfred de Musset - Lorenzaccio, I, 6 (1833) Toutes les femmes sont faites pour coucher avec les hommes.
Alfred de Musset - Lorenzaccio, I, 5 (1833) Les meilleures larmes sont à l'amour.
Alfred de Musset - Lorenzaccio, I, 3 (1833) Où le plaisir ne coûte rien, la jeunesse n'a rien à perdre.
Alfred de Musset - Lorenzaccio, I, 2 (1833) Avec de la mémoire on se sort de tout.
Alfred de Musset - Les premières poésies, Namouna (1832) À vingt ans, une femme ici-bas n'est qu'un passe-temps.
Alfred de Musset - Les premières poésies, Namouna (1832) Une femme pardonne tout, excepté qu'on ne veuille pas d'elle.
Alfred de Musset - La confession d'un enfant du siècle (1836) L'espérance est le seul vrai bien qu'on puisse posséder.
Alfred de Musset - Carmosine, II, 6 (1850) Rien ne ressemble tant au malheur que la solitude !
Alfred de Musset - Carmosine, I, 2 (1850) Les inconstants n'aiment pas, ils jouent avec les cœurs.
Alfred de Musset - Frédéric et Bernerette, III (1838) Il n'est pire douleur qu'un souvenir heureux dans les jours de malheur.
Alfred de Musset - Les premières poésies, Le saule (1831) Le temps emporte sur son aile, et le printemps et l'hirondelle.
Alfred de Musset - Les premières poésies, À Juana (1831) La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve, et vous aurez vécu si vous avez aimé.
Alfred de Musset - À quoi rêvent les jeunes filles (1832)
3 — La liste des auteurs populaires :