Il n'y a pas de porte mais seulement une petite fenêtre qui ouvre sur un vaste monde.
Citation hindoue - Œuvre : Les maximes et sagesses hindouistes (1931)
Il n'y a pas de porte mais seulement une petite fenêtre qui ouvre sur un vaste monde.
Chacun porte la punition de ses péchés sur son dos.
Le temps, disent les paresseux, est l'ennemi irrévocable de toutes choses.
Une vieille coquette ressemble à une rose que l'on a trop respiré.
La délicatesse est comme une rose qu'on peut sentir, mais qu'il ne faut point toucher.
La vie est dure, elle a des nécessités cruelles qui irritent, des satisfactions grossières qui répugnent. On souhaiterait, sa journée finie, de trouver une maison bienveillante et des visages affectueux.
Avant de vous lier avec une personne, sachez comment il s'est conduit avec les autres aussi bien dans ses relations amicales, que ses relations amoureuses : il vous traitera comme il a traité les autres.
Dans toute entreprise, commencez avec réflexion, suivez avec activité, et persévérez.
Les belles âmes trouvent la reconnaissance trop douce pour permettre qu'on les en dispense.
L'amour des parents pour leurs enfants, l'amour filial, le dévouement de l'amitié, l'ardeur du courage, se ressemblent dans tous les temps ; mais les relations de l'homme avec la femme varient complètement selon les mœurs, et l'on pourrait dire même qu'elles caractérisent les mœurs.
Avec de la persévérance et un travail assidu un esprit juste sans être étendu peut aller aussi loin que le génie.
L’homme qui se fait vieux avant l'âge perd toute vitalité et sa gaieté.
S'il est deux choses qui abondent en ce monde, c'est l'égoïsme et la paresse.
Quand on a le bonheur d'avoir une mère habile, il ne faut jamais la quitter : on ne saurait mieux faire que de se gouverner toujours par ses conseils.
Dans nos jours agités quelle erreur est la nôtre ! La moitié de la vie est l'art de perdre l'autre.
Les enfants ne s'interrogent pas sur le monde dans lequel ils sont jetés. Ils ne le discutent pas. Ils l'acceptent en bloc, comme une chose donnée, avec le bon et le mauvais. Ils se modèlent sur lui, s'adaptent à lui, se débrouillent avec lui, en se servant des armes qu'ils possèdent. Et c'est très bien ainsi : il faut que le monde leur résiste pour qu'ils puissent s'appuyer dessus.
Plus le monde se perfectionne, plus les barrières qui divisent les hommes s'élargissent, plus il y a de pays que les mêmes intérêts tendent à réunir.
L'amour de soi, le désir du bien-être, le désir d'être utile à ses semblables, le désir d'obéir à la Divinité, doivent être les mobiles de nos actions.
La maladie, la vieillesse, la mort, trois grandes humiliations pour l'homme.
Le malheur dépend moins de ce qu'on souffre que de l'impatience avec laquelle on augmente son malheur.
La conscience est une montre que chacun règle sur l'horloge de son pays.
On ne saurait évaluer ce que perd la Société à négliger des forces pour employer des faiblesses, à fouler de ses pieds bêtes des philosophes qui régleraient supérieurement sa marche, pour se laisser conduire par des aventuriers n'ayant le plus souvent ni tête, ni cœur.
Les faux amis ! ces envieux de votre fortune ou de votre femme, qui, en associant leur nom au vôtre, ont toujours cette arrière-pensée qu'il leur en reviendra quelque chose.
Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île !
C'est parce que l'hypocrisie revient moins cher que la matière plastique qu'on recense beaucoup plus de faux-culs que de fessiers postiches.