Les citations de Georges Bernanos.
1 — Qui est Georges Bernanos ?
Biographie courte : Écrivain, romancier et essayiste français né le 20 février 1888 dans le 9
e arrondissement de Paris, Georges Bernanos est décédé le 5 juillet 1948 à Neuilly-sur-Seine. Il meurt à l'âge de 60 ans d'un cancer du foie, et repose au cimetière de Pellevoisin dans le département de l'Indre. (
Source : Wikipédia )
2 — Les 103 pensées et citations de Georges Bernanos :
J'aime mieux être fouetté par le rabbin d'Alger que faire souffrir une femme ou un enfant juif.
Georges Bernanos - Nous autres Français (1939) L'idée de grandeur n'a jamais rassuré la conscience des imbéciles.
Georges Bernanos - Les grands cimetières sous la lune (1938) On ne plaît qu'aux sots qu'on rassure.
Georges Bernanos - Sous le soleil de Satan (1926) Nous ne reprochons pas aux maris graves d'être cocus, nous leur reprochons d'être à la fois graves et cocus.
Georges Bernanos - Nous autres Français (1939) Souffrir l'injustice, c'est la condition de l'homme mortel.
Georges Bernanos - Le journal d'un curé de campagne (1936) Nous sommes toujours injustes dès que nous jugeons qui que ce soit.
Georges Bernanos - Le combat pour la liberté (1934-1948) C'est dans le regard, non dans la voix, que se trahit la crainte.
Georges Bernanos - Les dialogues des Carmélites (1949) Les imbéciles sont travaillés par l'idée de rédemption.
Georges Bernanos - Les grands cimetières sous la lune (1938) L'optimisme est une fausse espérance à l'usage des lâches et des imbéciles.
Georges Bernanos - La liberté, pour quoi faire ? (1953) Les imbéciles ne prêtent attention qu'à ce qui leur fait peur.
Georges Bernanos - Lettre aux Anglais (1942) L'orgueil est un péché comme les autres, un peu plus de boue sur un tas de boue.
Georges Bernanos - Le journal d'un curé de campagne (1936) On fait sa part à l'ennui, au vice, au désespoir même, mais on ne fait pas à l'orgueil sa part.
Georges Bernanos - Dialogues d'ombre (posthume, 1955) Le péché entre en nous rarement par force, mais par ruse.
Georges Bernanos - Sous le soleil de Satan (1926) La trahison qui coûte aux uns rapporte aux autres.
Georges Bernanos - Les enfants humiliés (1949) Le pessimisme est excusable, quand il est la protestation impuissante d'une vie manquée.
Georges Bernanos - Le chemin de la croix-des-âmes (1948) L'homme se regarde dans sa joie comme dans un miroir, et il ne se reconnaît pas, l'imbécile !
Georges Bernanos - Le journal d'un curé de campagne (1936) L'optimisme n'est que l'alibi sournois des égoïstes.
Georges Bernanos - Les grands cimetières sous la lune (1938) L'optimiste est un imbécile heureux, le pessimiste est un imbécile malheureux.
Georges Bernanos - Les grands cimetières sous la lune (1938) Pas de pitié pour qui refuse la grâce, pas d'excuse aux péchés de l'esprit !
Georges Bernanos - Le crépuscule des vieux (1956) L'expérience est une invention des vieux qui met les jeunes en colère.
Georges Bernanos - L'imposture (1927) L'expérience du mal n'a jamais enrichi personne !
Georges Bernanos - Le crépuscule des vieux (1956) De tous les embarras de l'âge, l'expérience n'est pas le moindre.
Georges Bernanos - Sous le soleil de Satan (1926) Mieux vaut ne rien mépriser, et faire de son mieux.
Georges Bernanos - La joie (1928) Tu dois travailler : le travail est ta santé.
Georges Bernanos - La joie (1928) Une mère voit tout.
Georges Bernanos - La joie (1928) Il n'y a pas de fruit sans peine.
Georges Bernanos - La joie (1928) L'enfer, c'est de ne plus aimer : ne plus aimer signifie pour un homme aimer moins, ou aimer ailleurs.
Georges Bernanos - Le journal d'un curé de campagne (1936) Il y a des hommes bons et méchants, mais on s'habitue à la méchanceté, et la bonté n'est trop souvent qu'une autre forme de la sottise : Méfie-toi.
Georges Bernanos - Scandale de la vérité (1939) Le seul amour de l'argent n'a jamais fait que des maniaques et des obsédés.
Georges Bernanos - Les grands cimetières sous la lune (1938) Beaucoup se vantent d'être curieux de tout, sans se passionner pour rien.
Georges Bernanos - Le chemin de la croix-des-âmes (1948) Le plus malin n'est pas exempt de faire des bêtises pour une femme.
Georges Bernanos - Monsieur Ouine (1943) Je ne peux dire non ni à une jolie fille, ni à une jolie chose.
Georges Bernanos - Un mauvais rêve (1950) Qu'il soit béni cet imbécile à qui vous vous êtes donnée sans amour !
Georges Bernanos - Une nuit (1928) La tristesse est le plus grand vice du monde moderne, le monde moderne est triste.
Georges Bernanos - Le chemin de la croix-des-âmes (1948) Il n'y a de véritable tristesse que dans la honte ; la honte seule est triste.
Georges Bernanos - Lettre aux Anglais (1942) L'espérance, c'est le désespoir surmonté.
Georges Bernanos - La liberté, pour quoi faire ? (1953) L'espérance, c'est de faire face.
Georges Bernanos - Le combat pour la liberté (1934-1948) Nous ne pourrions être déçus au-delà de nos forces, sans risquer de tomber dans le désespoir.
Georges Bernanos - Les enfants humiliés, Gallimard, 1949. Chacun de nous a des déceptions à sa mesure ; notre part de déception est fixée d'avance.
Georges Bernanos - Les enfants humiliés, Gallimard, 1949. Déception d'amour, la seule qui ne soit jamais pardonnée !
Georges Bernanos - La grande peur des bien-pensants (1931) Ce qui me lie à toi est encore bien plus fort que l'amour.
Georges Bernanos - Un mauvais rêve, Paris, Plon (1950) On peut être capable de beaucoup aimer ce qu'on aime, sans être un rêveur sentimental.
Georges Bernanos - Le combat pour la liberté (1934-1948) Il est ignoble et inhumain de se marier sans amour.
Georges Bernanos - Le combat pour la liberté (1934-1948) Pour l'amour, rien n'est médiocre, tout est grand.
Georges Bernanos - Le crépuscule des vieux (1956) On ne se débarrasse pas d'une jolie fille aussi aisément que d'un vieux bonhomme !
Georges Bernanos - Sous le soleil de Satan (1926) Une idée juste peut se fausser, une idée vraie peut se corrompre.
Georges Bernanos - Le chemin de la croix-des-âmes (1948) Dieu seul est juste et bon.
Georges Bernanos - Les dialogues des Carmélites (1949) Une idée juste dans laquelle on s'installe, à l'abri des contradictions comme à l'abri du vent et de la pluie, pour regarder les autres hommes piétiner dans la crotte, ce n'est plus une idée juste, c'est un préjugé.
Georges Bernanos - Les réflexions sur le cas de conscience français (1944) L'amour de la patrie comme l'amour de Dieu est fondé sur le don volontaire de soi.
Georges Bernanos - La liberté, pour quoi faire ? (1953) L'amour s'insurge contre qui manque à son attente.
Georges Bernanos - Le chemin de la croix-des-âmes (1948)
3 — La liste des auteurs populaires :