Plus superficielle que l'homme dans tout le reste, la femme est plus profonde dans l'amour.
Adolphe Monod ; La vie de la femme (1852)
Plus superficielle que l'homme dans tout le reste, la femme est plus profonde dans l'amour.
Un cœur ne se trouve qu'en se donnant : être aimé, c'est sa joie ; aimer, c'est sa vie.
Le cœur est le siège du sentiment, de la conscience et de l'amour.
Les grandes âmes s'élèvent au-dessus du vulgaire par une conscience plus délicate.
La libéralité ne se proportionne pas toujours à la fortune.
Les hommes les plus gaies ne sont pas les plus réfléchis.
Du vouloir au faire la distance est grande.
Le secours qu'une mère doit avant tout à son petit enfant, c'est l'éducation, cet enfantement de l'esprit, qui suit de droit celui du corps, et que nul ne saurait lui disputer.
S'il n'y a de paix que dans l'ordre, il n'y a de vie que dans la liberté.
Le désespoir de réussir fait les hommes faibles et timides dont la société est remplie.
La confiance en soi est une foi imperturbable au succès qui fait les hommes puissants.
La confiance est la condition de la force.
Le travail d'un écrivain ne se mesure pas au nombre de pages qu'il a écrites.
Tombe plus bas qui tombe de plus haut.
La femme est une compagne que Dieu a donnée à l'homme pour charmer son existence.
Il y a dans le cœur de la femme une puissance d'aimer que l'homme ne saurait atteindre.
Le cœur de la femme est le plus riche trésor de la terre.