Le bonheur me parait être l'harmonie entre le for intérieur et la vie ambiante, un accord aussi entre le subconscient et le conscient, cette joie de posséder le monde à chaque moment de réflexion.
Loisirs cultivés égalent loisirs culturels. Qui dit culture dit production plutôt que consommation. Créer, agir, écouter, regarder, participer : tout ça veut dire dépenser beaucoup moins d'argent. Car dépenser de l'argent, c'est se créer des besoins.
L'amour pour moi, c'est comme un voyage en haute mer, c'est faire ce qu'aucun marin ne peut jamais, c'est atteindre l'horizon, y entrer et s'y perdre. J'attends le bonheur suprême. La quête de l'amour, c'est le noyau de l'existence.
J'ai une langue maternelle et j'y tiens ; c'est elle qui est ma patrie. J'y tiens, j'y ai droit, j'en ai besoin pour être moi-même, pour être quelqu'un, pour vivre, comme de l'air que je respire ; et j'entends la parler et l'écrire là où je suis né. Je sais que la littérature, c'est le sang et les poumons et le cœur et les nerfs et tout ce qu'on voudra de la langue maternelle.
Les hommes qui ont peur des femmes et qui ne sont pas des tapettes m’emmerdent.
La vie n'a qu'un sens : une ligne qui va de la naissance à la mort, le reste n'est que broderie.
Apprends à pleurer joliment ; c'est un de nos précieux secrets, à nous, les femmes : On obtient ce qu'on veut des hommes avec de beaux yeux humides.
De nos jours la compétence ne suffit pas, le génie encore bien moins ; il faut se vendre.
On ne domine bien que par la douceur.
Le travail mal payé est la pire des taxes.
On a fait de la paresse intellectuelle la deuxième plus grande vertu, la troisième étant la chasteté, et la première, c'est la soumission totale de la conscience à une conscience suprême qui n'est pas celle de Dieu.
Mieux vaut prévenir que périr.
Le sourire désarme la peur ; le sourire unifie les cœurs ; le sourire dissout le mal.
La vie c'est toujours pareille : rencontre, accord, séparation.
La vie est courte, il faut prendre, prendre tout, tout, tout prendre.
Le but de l'existence, c'est la réussite.
Aie confiance en toi, aie confiance en la vie.
Faire le bien est la pente naturelle de l'être heureux.
Se marier sans amour, c'est lamentable.
Mon fils, si tu as besoin d'un coup de main dans la vie, n'oublie pas de regarder au bout de tes deux bras.
La quête de l'amour, c'est le noyau de l'existence.
Les amours fougeuses, intemporelles n'appartiennent qu'à l'âge tendre.
La prudence exige qu'on ne s'entoure que d'êtres qui n'ont pas besoin de soi.
L'amour se démode ; mais le besoin de dominer, c'est éternel.
Oh ! comme je hais les hommes ! Il faut toujours être belle, jeune pour eux, avoir la peau poncée, susciter le miracle perpétuel : et le mystère, ce sont eux qui nous rejettent dans les bras les unes des autres.
Un cœur inquiet d'autrui et combattant pour une noble cause s'élève au-dessus de tous les délabrements.
L'amour qui n'est pas partagé est irréel.
Quand on ne me demande pas pardon, je ne pardonne jamais.
Quand on m'a blessée une fois, je ne l'oublie jamais.
Une femme a besoin de se sentir présente dans le cœur d'un homme, vibrante et croissante ; le regard de l'homme qui l'aime, c'est pour elle le soleil, l'air, l'ombre et la pluie.
Les femmes qui ont des idées ne sont jamais jolies.
Il faut apprendre à marcher seul dans l'existence.
Pas de femmes depuis longtemps, pourquoi ? — Je ne prends pas n'importe qui !
On obtient tout par la douceur.
L'amour sera toujours au-dessus de la morale et des lois.