Les citations d'Arsène Houssaye.

1 - Qui est Arsène Houssaye ?

Photo / portrait d'Arsène Houssaye Biographie courte : Écrivain, journaliste, critique littéraire, collectionneur d'œuvres d'art et poète français né le 28 mars 1814 à Bruyères-et-Montbérault dans l'Aisne, Arsène Housset, dit Arsène Houssaye, est décédé le 26 février 1896 à Paris. Il meurt à l'âge de 81 ans, Arsène Houssaye repose au cimetière du Père-Lachaise situé dans le 20e arrondissement de la ville de Paris. (Arsène Houssaye sur Wikipédia)

2 - Ce dictionnaire vous propose 91 citations et pensées d'Arsène Houssaye :

Sur les choses de l'amour quiconque veut raisonner commence par déraisonner.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

L'amour a des caprices sans nombre, il s'amuse à nous surprendre, même quand nous le repoussons ; l'amour sait mieux que nous le chemin de notre cœur ; il en connaît les détours, il arrive à son but en dépit de toute notre raison.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

L'amour est le soleil de l'âme. Pendant la nuit l'âme cherche la lumière dans toutes les étoiles : elle va de la fortune à l'ambition, de la science à la renommée, de chimère en chimère, toujours éblouie et jamais voyante. Tout à coup l'aube annonce le soleil, les étoiles pâlissent, le soleil se lève. L'âme inondée de lumière ne voit plus que l'amour, se moque de la fortune et de l'ambition, de la science et de la renommée. Aimer ! aimer ! elle ne conjugue plus que ce verbe sur tous les temps.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

La femme brune qui prend un amant blond espère le dominer par toutes ses forces ; mais elle rencontre bientôt son maître. La femme la plus brune est plus blonde que l'homme le plus blond.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

L'amour a-t-il étudié les mathématiques ? Quand il veut tromper son monde, il commence par mettre un zéro après une unité et il est dix fois plus amoureux. Le lendemain il met encore un zéro, et il aime cent fois plus que la veille. Et ainsi il va de zéro en zéro jusqu'au jour où la nature, dépouillée du prisme de l'orage, le ramène à l'unité, que dis-je ? Au simple zéro.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Quand on aime, on ne voit que l'être aimé ; s'il n'est pas là, on le regrette et on l'attend ; s'il est là, on ne voit que lui, on ne pense qu'à lui, et peu importe que le ciel soit pur, que l'onde soit claire et que les oiseaux chantent bien.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

L'amour se couronnait de roses ou de pampres chez les anciens ; il se couronne d'épines chez les modernes. Il ne courait que les sphères radieuses du monde visible ; il habite les régions étoilées de l'idéal.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Les grandes passions prennent leur source dans l'amour et se jettent dans la mort.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

La femme qui s'oublie avec un homme qu'elle n'aime pas oublie bientôt qu'elle s'est oubliée. C'est alors qu'un galant homme n'a pas le droit de se souvenir.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Les femmes placent leur amour dans le cœur des hommes à fonds perdu ou à cent pour cent. Les hommes ne hasardent pas le capital, mais dédaignent les intérêts.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Pour savoir l'âge d'une femme, il faut le lui demander, mais aussi le demander à sa meilleure amie. La femme dira trente ans, l'amie dira quarante, et on prendra le terme moyen.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Si l'amoureux aime la solitude, c'est qu'il a un monde dans le cœur.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

L'amour est un bourreau d'argent. C'est toujours l'enfant prodigue. Il se nourrit de ses sacrifices, car plus il donne et plus il croit affermir sa conquête. Mais il ne prend hypothèque que sur le sable mouvant du rivage. Si on lui donne la monnaie de sa pièce, ce sera en fausse monnaie.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Les femmes romanesques aiment les hommes prosaïques. La nature ne veut pas perdre ses droits.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

La pudeur est sublime, parce que c'est la nature qui se défend. La pruderie est odieuse, parce que ce n'est qu'un masque. Sous la pudeur il y a une vraie femme ; sous la pruderie il n'y a qu'une fausse femme.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

La chercheuse d'esprit qui trouve l'amour ne trouve pas l'esprit. Le chercheur d'amour perd dans son voyage tout l'esprit qu'il a. L'esprit hait le commerce de l'amour, et l'amour hait le commerce de l'esprit.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Quand une femme se déshabille, elle est encore vêtue de sa pudeur - si elle est amoureuse. Quand une femme se donne corps et âme, elle est encore chaste - si son cœur bat.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Les songes sont des comédiens qui nous jouent à nous-mêmes nos passions. Mais la vie la plus sérieuse n'est qu'une série de songes qui représentent une comédie invraisemblable. La mort nous réveille et nous dit le nom de l'auteur.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Il en est des passions amoureuses comme des chimères de l'esprit. Je me suis toujours représenté ces adorables figures du monde idéal comme des belles filles embarquées sur une mer orageuse et côtoyant le rivage où on les appelle sans jamais vouloir aborder, parce que leurs pieds de neige ne sauraient toucher la terre. Elles passent, elles passent, et sourient à ceux qui tendent les bras vers elles ; mais, comme elles sont à tous, elles ne sont à aucun ; elles sourient, mais elles fuient, comme le soleil dont le rayon ne s'arrête jamais, même sur la treille toute de pourpre et d'or qu'il a nourrie de son feu, de son sang et de ses larmes.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

L'amour est comme le poète qui trouve toujours des vers nouveaux avec la même poésie.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Quand l'amour a le diable au corps il transporte le paradis dans l'enfer ou l'enfer dans le paradis. Il répand sur les flammes vives les lys, les roses blanches et les violettes qui fleurissent aux doigts des madones et des martyres.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Quand Dieu fit la femme aux dépens de l'homme, il créait du même coup la femme et l'amour. En effet, l'homme est attiré vers la femme comme à un autre lui-même et comme à un bien perdu. Il veut ressaisir sa force primordiale, il veut s'enchaîner à cette autre vie qui est encore la sienne. La femme, de son côté, trouve que Dieu ne lui a pas donné tout ce qu'il y avait de grandeur et d'héroïsme dans l'homme. Elle essaye de conquérir ce qui lui manque ou de se donner tout entière, comprenant bien qu'elle n'est que la doublure de l'étoffe primitive qui habille l'idée de Dieu. La doublure ne vaut-elle pas l'étoffe ?

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Dans le mariage, l'harmonie vient des contrastes. On ne fait pas un accord avec une seule note, ni un tableau avec une seule couleur. A toute âme brune il faut une âme blonde, la force aime la grâce, l'esprit se repose dans le sentiment.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Les méchants dorment toujours d'un sommeil inquiet, et les bons d'un sommeil de miel.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

L'amour n'aime pas ce que tout le monde aime : l'homme le plus recherché n'est pas celui qui inspire le plus de passions.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Que d'amoureux qui croient encore vivre de leur amour quand ils n'ont plus en eux qu'un mort enseveli !

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

L'amour n'a qu'un ennemi sérieux, c'est le ridicule. Quand l'amour survit au ridicule, c'est qu'il est sublime, comme la poésie qui survit à la tragédie.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

L'amour et la haine brouillés ensemble s'appellent quelquefois la volupté pour les cœurs pervertis.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Il y a beaucoup d'amours qui naissent par la haine. Le bien et le mal ont toujours été en lutte, et ont toujours aimé à vivre ensemble. C'est une grande joie que d'étreindre dans ses bras avec la fureur de la passion la femme qu'on détestait la veille, ce qui explique les querelles de ménage, qui sont souvent des querelles d'amour déguisées.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Il arrive souvent qu'un galant homme s'imagine avoir une femme parce qu'il est marié ; mais là où est la femme souvent la femme est absente. Son esprit et son cœur font ménage avec quelque fat de sa société. Il n'y a pas séparation de corps ; c'est bien pis, car il y a séparation d'âmes.

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Toute la politique des femmes, c'est l'amour. L'amour, c'est l'Océan autour de la femme. On se hasarde dans tous les dangers de la traversée pour aborder à la terre ferme. Mais la femme n'est le plus souvent qu'un sable mouvant. Combien qui échouent sur le sable, croyant saluer le rivage !

Arsène Houssaye - L'amour comme il est (1858)

Les illusions sont des zéros, mais c'est avec les zéros qu'on fait les beaux chiffres.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

La femme est comme le serpent, douce au toucher, mais ses blessures sont mortelles.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

Ce que les femmes aiment le plus dans l'homme, ce sont les blessures qu'elles lui font.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

L'amour n'a pas d'escarcelle et ne sait pas compter : Bienheureux les pauvres d'argent, le royaume de l'amour est à eux.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Qui suit amour, amour le fuit ; Qui fuit amour, amour le suit.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

L'amour aujourd'hui est une fête sans lendemain.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

Il y a cinquante ans on chantait la semaine des amours, aujourd'hui on s'aime toute une heure.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

On s'est adoré un instant, tout est fini ; on a bâti un château de cartes sur un château en Espagne.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

Autrefois, on s'aimait toute la vie ; aujourd'hui, on a fini par ne plus s'aimer qu'une saison.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

Être aimé, adorable supplice qu'on fuit et qu'on recherche, mais n'est pas heureux qui veut au jeu de l'amour.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

L'amour est un magicien, tout ce qu'il touche devient or.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

Comme il n'y a pas de nuit qui n'amène le jour, il n'y a pas de péché qui ne fasse aimer la vertu.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

Le plus beau sentiment qui fasse battre le cœur est celui qui n'a pas de lendemain.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

Rêver qu'on pèche, c'est presque pécher.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

Quelle que soit la femme, c'est toujours l'homme qui a tort.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

Les roses de l'amour ont des épines dans notre cœur.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Dans les affaires d'amour, la griffe du diable se trouve toujours à côté du doigt de Dieu.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

N'est pas qui veut heureux au jeu de l'amour.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Il en est souvent des femmes comme de l'argent : on les prend pour les mettre de côté.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

La femme la plus amoureuse a toujours un second amour dans le chemin du cœur.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

L'amour donne une main à la vie, l'autre à la mort, et le cercle fatal est formé.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

L'amour est un fil que la femme tient par les deux bouts et qu'elle nous donne à retordre.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

La préface de l'amour vaut mieux que l'amour lui-même.

Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862)

Mieux vaut une noble lutte qu'une oisiveté honteuse.

Arsène Houssaye - Les revenants (1840)

Qui est trop aimé n'aime plus guère ; dès que la balance penche, tout est perdu.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

Le mariage : après tant de flammes vives, la fumée est venue.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

Les femmes ne posent pas seulement devant les peintres, elles posent devant elles-mêmes.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

Montrez-moi une figure pendant deux heures, et j'écrirai l'histoire de ses passions.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

Certaines conversations ressemblent aux voyages qu'on fait sur l'eau ; on s'écarte de la terre sans presque le sentir ; on ne s'aperçoit qu'on a quitté le rivage que quand on en est déjà loin.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

On a beau se détacher, on vit toujours de la vie, et non de la mort.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

Qui est heureux par l'illusion n'a sa fortune qu'en agiotage.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

Mieux vaut tard que jamais, mais parfois mieux vaut jamais que tard.

Arsène Houssaye - La belle Rafaella (1883)

Tout en lisant l'histoire de la vie, il faut en feuilleter toujours le roman.

Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868)

La vie n'est plus qu'un cigare : un peu de feu, beaucoup de fumée.

Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862)

On rouvre toujours avec un battement de cœur les premières pages de sa vie.

Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862)

Toutes les femmes sont la même, qui a dit cela ? Entre deux femmes, il y a un monde.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Les femmes n'ouvrent la main que pour saisir ce qu'elles n'ont pas.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Paris est une grande maison qui appartient à tout le monde.

Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862)

Les morts ne meurent pas tout à fait pour ceux qu'ils ont aimés ou pour ceux qui les ont aimés. Comme le soleil qui vient de se coucher dans l'Océan, ils répandent encore de vives lumières si on se tourne vers eux. Il semble que leur âme colore toujours les chers souvenirs comme le soleil disparu colore encore les nuages à l'horizon.

Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862)

Il y a des amours qui n'ont qu'une saison ; il y a des amours qui sont toute la vie.

Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862)

Il n'y a pas une femme qui résiste plus de deux ans à la persistance bestiale d'un imbécile.

Arsène Houssaye - Mademoiselle Mariani (1859)

Les imbéciles, à force de parler, finissent toujours par trouver une chose spirituelle.

Arsène Houssaye - Mademoiselle Phryné (1895)

Si les sots ont une supériorité sur les hommes d'esprit, c'est qu'ils n'ont pas peur d'être bêtes.

Arsène Houssaye - L'artiste (1876)

Quand on n'espère plus pouvoir payer les bienfaits, on tombe dans l'ingratitude.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

La figure est la fenêtre où viennent respirer toutes les passions.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

L'homme heureux par la vérité a sa fortune en fonds de terre.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

Si le plaisir s'appuie sur l'illusion, le bonheur repose sur la vérité.

Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858)

Pour la femme, l'amour, c'est la curiosité ; pour l'homme, c'est l'amour.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Si vous ne donnez pas à une femme aimée la crainte de vous perdre, vous ne lui donnez pas le désir de vous conserver.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Jamais une femme ne console une autre femme des peines de cœur, même quand toutes les deux ont souffert de l'amour.

Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862)

Une femme ne se console d'un amour qui s'en va que par un amour qui vient.

Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862)

La femme galante est un billet en circulation qui prend d'autant plus de valeur, qu'on y lit plus de signatures.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

On a beau boire ses larmes, on n'éteint jamais la soif de vivre.

Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862)

Quand on a été frappé dans le passé, on ne rouvre les portes du passé que pour évoquer de douces images, mais on ne veut pas recommencer la vie dans le même cortège ; on voudrait, par une métamorphose soudaine, s'envoler dans un autre monde.

Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862)

Dieu ayant créé le monde et le voyant imparfait, mais ne daignant pas recommencer son œuvre, rêva un autre monde plus beau, plus éblouissant, plus digne de lui-même, nouveau paradis terrestre où la poésie, Ève avant le péché, se promène dans toute sa beauté splendide. L'art est cet autre monde. L'artiste ou le poète est donc une créature privilégiée qui a la haute mission de réaliser le rêve de Dieu.

Arsène Houssaye - L'artiste (1876)

Quand on aime, on a le diable au corps, et Dieu dans le cœur.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Le tiers des femmes se donne pour de l'argent, le second tiers pour de l'amour, le dernier tiers pour rien. Celles-là sont les plus faciles.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Les femmes ne vivent pas dans l'avenir, leur règne est au jour le jour, car c'est le règne de la beauté, qui ne peut que perdre en avançant.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Les femmes ont écrit le poème de l'amour ; les hommes l'ont commenté, mais ne l'ont pas compris.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

Quiconque est fidèle à l'amour est infidèle à sa maitresse.

Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)

3 - La liste des auteurs populaires :

Le dictionnaire des meilleurs auteurs français et étrangers »
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