Les citations d'Arsène Houssaye.
1 — Qui est Arsène Houssaye ?
Biographie courte : Écrivain, journaliste, critique littéraire, collectionneur d'œuvres d'art et poète français né le 28 mars 1814 à Bruyères-et-Montbérault dans l'Aisne, Arsène Housset, dit Arsène Houssaye, est décédé le 26 février 1896 à Paris. Il meurt à l'âge de 81 ans, Arsène Houssaye repose au cimetière du Père-Lachaise situé dans le 20
e arrondissement de la ville de Paris. (
Source : Wikipédia )
2 — Les 67 pensées et citations d'Arsène Houssaye :
Les illusions sont des zéros, mais c'est avec les zéros qu'on fait les beaux chiffres.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) La femme est comme le serpent, douce au toucher, mais ses blessures sont mortelles.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Ce que les femmes aiment le plus dans l'homme, ce sont les blessures qu'elles lui font.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) L'amour n'a pas d'escarcelle et ne sait pas compter : Bienheureux les pauvres d'argent, le royaume de l'amour est à eux.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Mieux vaut tard que jamais, mais parfois mieux vaut jamais que tard.
Arsène Houssaye - La belle Rafaella (1883) Tout en lisant l'histoire de la vie, il faut en feuilleter toujours le roman.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) La vie n'est plus qu'un cigare : un peu de feu, beaucoup de fumée.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) La nature est encore le meilleur des peintres.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) On rouvre toujours avec un battement de cœur les premières pages de sa vie.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) Toutes les femmes sont la même, qui a dit cela ? Entre deux femmes, il y a un monde.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Les femmes n'ouvrent la main que pour saisir ce qu'elles n'ont pas.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Paris est une grande maison qui appartient à tout le monde.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) Les morts ne meurent pas tout à fait pour ceux qu'ils ont aimés ou pour ceux qui les ont aimés. Comme le soleil qui vient de se coucher dans l'Océan, ils répandent encore de vives lumières si on se tourne vers eux. Il semble que leur âme colore toujours les chers souvenirs comme le soleil disparu colore encore les nuages à l'horizon.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) Il y a des amours qui n'ont qu'une saison ; il y a des amours qui sont toute la vie.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) Il n'y a pas une femme qui résiste plus de deux ans à la persistance bestiale d'un imbécile.
Arsène Houssaye - Mademoiselle Mariani (1859) Les imbéciles, à force de parler, finissent toujours par trouver une chose spirituelle.
Arsène Houssaye - Mademoiselle Phryné (1895) Si les sots ont une supériorité sur les hommes d'esprit, c'est qu'ils n'ont pas peur d'être bêtes.
Arsène Houssaye - L'artiste (1876) Quand on n'espère plus pouvoir payer les bienfaits, on tombe dans l'ingratitude.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) La figure est la fenêtre où viennent respirer toutes les passions.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) L'homme heureux par la vérité a sa fortune en fonds de terre.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Si le plaisir s'appuie sur l'illusion, le bonheur repose sur la vérité.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Pour la femme, l'amour, c'est la curiosité ; pour l'homme, c'est l'amour.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Si vous ne donnez pas à une femme aimée la crainte de vous perdre, vous ne lui donnez pas le désir de vous conserver.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Jamais une femme ne console une autre femme des peines de cœur, même quand toutes les deux ont souffert de l'amour.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) Une femme ne se console d'un amour qui s'en va que par un amour qui vient.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) La femme galante est un billet en circulation qui prend d'autant plus de valeur, qu'on y lit plus de signatures.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) On a beau boire ses larmes, on n'éteint jamais la soif de vivre.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) Quand on a été frappé dans le passé, on ne rouvre les portes du passé que pour évoquer de douces images, mais on ne veut pas recommencer la vie dans le même cortège ; on voudrait, par une métamorphose soudaine, s'envoler dans un autre monde.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) Dieu ayant créé le monde et le voyant imparfait, mais ne daignant pas recommencer son œuvre, rêva un autre monde plus beau, plus éblouissant, plus digne de lui-même, nouveau paradis terrestre où la poésie, Ève avant le péché, se promène dans toute sa beauté splendide. L'art est cet autre monde. L'artiste ou le poète est donc une créature privilégiée qui a la haute mission de réaliser le rêve de Dieu.
Arsène Houssaye - L'artiste (1876) Qui suit amour, amour le fuit ; Qui fuit amour, amour le suit.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) L'amour aujourd'hui est une fête sans lendemain.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) Il y a cinquante ans on chantait la semaine des amours, aujourd'hui on s'aime toute une heure.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) On s'est adoré un instant, tout est fini ; on a bâti un château de cartes sur un château en Espagne.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) Autre temps, autres amours.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) Autrefois, on s'aimait toute la vie ; aujourd'hui, on a fini par ne plus s'aimer qu'une saison.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) Être aimé, adorable supplice qu'on fuit et qu'on recherche, mais n'est pas heureux qui veut au jeu de l'amour.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) L'amour est un magicien, tout ce qu'il touche devient or.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) L'amour console de l'amour.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) Comme il n'y a pas de nuit qui n'amène le jour, il n'y a pas de péché qui ne fasse aimer la vertu.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) Le plus beau sentiment qui fasse battre le cœur est celui qui n'a pas de lendemain.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) Rêver qu'on pèche, c'est presque pécher.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) Quelle que soit la femme, c'est toujours l'homme qui a tort.
Arsène Houssaye - Les grandes dames (1868) Les roses de l'amour ont des épines dans notre cœur.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Dans les affaires d'amour, la griffe du diable se trouve toujours à côté du doigt de Dieu.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) N'est pas qui veut heureux au jeu de l'amour.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Il en est souvent des femmes comme de l'argent : on les prend pour les mettre de côté.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) La femme la plus amoureuse a toujours un second amour dans le chemin du cœur.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) L'amour donne une main à la vie, l'autre à la mort, et le cercle fatal est formé.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) L'amour est un fil que la femme tient par les deux bouts et qu'elle nous donne à retordre.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) La préface de l'amour vaut mieux que l'amour lui-même.
Arsène Houssaye - Les Parisiennes (1862) Mieux vaut une noble lutte qu'une oisiveté honteuse.
Arsène Houssaye - Les revenants (1840) La plupart des gens vivent pauvres pour mourir riches.
Arsène Houssaye - Le roman de la duchesse (1865) Le génie vient du cœur.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Qui est trop aimé n'aime plus guère ; dès que la balance penche, tout est perdu.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Le mariage : après tant de flammes vives, la fumée est venue.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Les femmes ne posent pas seulement devant les peintres, elles posent devant elles-mêmes.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Montrez-moi une figure pendant deux heures, et j'écrirai l'histoire de ses passions.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Certaines conversations ressemblent aux voyages qu'on fait sur l'eau ; on s'écarte de la terre sans presque le sentir ; on ne s'aperçoit qu'on a quitté le rivage que quand on en est déjà loin.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) On a beau se détacher, on vit toujours de la vie, et non de la mort.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Qui quitte la partie la gagne.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Qui est heureux par l'illusion n'a sa fortune qu'en agiotage.
Arsène Houssaye - La galerie du XVIIIe siècle (1858) Quand on aime, on a le diable au corps, et Dieu dans le cœur.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) L'amour ne vieillit pas, il meurt enfant.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Le tiers des femmes se donne pour de l'argent, le second tiers pour de l'amour, le dernier tiers pour rien. Celles-là sont les plus faciles.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Les femmes ne vivent pas dans l'avenir, leur règne est au jour le jour, car c'est le règne de la beauté, qui ne peut que perdre en avançant.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Les femmes ont écrit le poème de l'amour ; les hommes l'ont commenté, mais ne l'ont pas compris.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858) Quiconque est fidèle à l'amour est infidèle à sa maitresse.
Arsène Houssaye - Les femmes comme elles sont (1858)
3 — La liste des auteurs populaires :