Les citations d'Ernest Legouvé.

1 - Qui est Ernest Legouvé ?

Photo / portrait d'Ernest Legouvé Biographie courte : Poète, moraliste et critique français né le 14 février 1807 à Paris, Ernest Legoucé est décédé le 14 mars 1903 dans sa ville natale. Élu à l'Académie française le 1er mars 1855, il fut également chevalier de la Légion d'honneur en 1845, puis officier en 1864, et commandeur en 1887. (Ernest Legouvé sur Wikipédia)

2 - Ce dictionnaire vous propose 83 citations et pensées d'Ernest Legouvé :

Les profondes jouissances que le travail nous procure ont toute la vivacité des enivrements de la passion avec tout le calme des plaisirs de la conscience. Est-ce en dire assez ? Non ; car à ces privilèges du travail, il faut en ajouter un dernier plus grand encore : c'est qu'il est comme le soleil, Dieu l'a fait pour tout le monde.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Les enfants ne sont pas des auditeurs ordinaires qui se contentent de simples explications : leurs yeux ouverts sur vous, leurs interrogations, leurs silences, leurs inattentions vous obligent à trouver, à créer un langage spécial qui fasse entrer de force les choses dans leur esprit. Il faut être à la fois clair et intéressant, il faut tout simplifier sans rien amoindrir, il faut parler avant tout à leur imagination.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Le coeur qui veut être digne de recevoir l'amour doit se purifier comme un sanctuaire et s'agrandir comme un temple.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

La fraternité parle au nom de l'amour, et la fraternité c'est l'âme même des femmes.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

A côté des mots égalité et liberté, notre drapeau porte le mot sublime de fraternité ; mais il ne suffit pas que ce mot soit écrit sur un lambeau d'étoffe, il ne suffit pas même qu'il passe dans les lois, c'est dans les cœurs qu'il faut le graver !

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

La moitié des hommes ne se soutient que soutenue par la main d'une femme ; ce sont les femmes qui raniment l'homme abattu, l'époux découragé ; elles sourient pour le faire sourire ; les femmes représentent à la fois la résignation et l'espérance.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Par l'amour maternel, la nature humaine s'élève jusqu'à la nature divine !

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

L'amour et le mariage se présentent aux âmes élevées comme deux frères invinciblement liés l'un à l'autre, incomplets l'un sans l'autre, et tout-puissants l'un par l'autre.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

L'homme se perfectionne par l'amour qu'il inspire, la femme par l'amour qu'elle éprouve.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

La femme qui aime ne peut qu'aimer. L'amour, en effet, prend si profondément racine dans l'âme des femmes qu'il la remplit tout entière et même la régénère. Qu'une femme coquette aime, plus de coquetterie ; qu'une femme légère aime, plus de légèreté ! On a vu des femmes, flétries par mille désordres, retrouver tout à coup, dans une passion profonde, jusqu'à la pudeur, jusqu'aux délicatesses de l'affection. Mais si un homme corrompu s'éprend de passion pour une jeune fille pure, que fait-il ? Au lieu de se purifier comme elle, il la corrompt comme lui. Les femmes trouvent toutes les vertus dans leur amour ; nous introduisons trop souvent nos vices dans le nôtre.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Sur dix hommes de trente-cinq ans qui disent à une femme : Je vous aime, il n'y en a pas un peut-être qui aime véritablement. Certes, les femmes trompent aussi, nous le savons, mais elles trompent pour cacher ce qu'elles éprouvent, l'homme pour montrer ce qu'il n'éprouve pas !

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

L'injustice déprave les cœurs faibles, et peut-être les torts des hommes font-ils la moitié des vices des femmes.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Je ne sais rien d'aussi difficile à vaincre qu'une sagesse qui rit toujours.

Ernest Legouvé - Les contes de la reine de Navarre (1850)

L'amour qui nous emporte aux célestes sommets ne vit que dans les cœurs qui ne changent jamais.

Ernest Legouvé - Médée (1855)

Vouloir instituer le mariage sans l'amour, ce serait y placer le désespoir ; mais y mettre l'amour sans le devoir, ce serait y établir le déshonneur et la débauche.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Les femmes ont le génie de la charité. Un homme qui donne ne donne que son or, la femme y joint son cœur. Un louis aux mains d'une femme bonne soulage plus de pauvres que cent francs aux mains d'un homme : la charité féminine renouvelle chaque jour le miracle de la multiplication des pains.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Les femmes sont artistes par tempérament. Comme l'artiste, tout ce qui brille les enivre ; comme l'artiste, le monde réel leur pèse ; et de plus que l'artiste, elles possèdent une qualité éminente. L'artiste, dans l'enthousiasme, dans l'amour même, ne voit que la gloire, c'est-à- dire lui. La femme, dans la gloire même, ne voit que l'amour, c'est-à-dire un autre.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

En vérité, toutes les vertus sont, je crois, contenues dans un seul mot : aimer !

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Les défauts des enfants ne sont souvent qu'un legs des parents.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

La démocratie est fondée sur un principe dont la conséquence forcée est le respect d'autrui.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Il n'est pas de plaisir plus doux que de faire éclore un joli sourire sur une fraîche bouche.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Si le bon Dieu a fait les femmes jolies, c'est pour qu'on ait du plaisir à le leur dire, et qu'elles aient du plaisir à l'entendre !

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

La politesse est une qualité qui tient au cœur par la bienveillance, à l'esprit par le tact, au corps par la grâce, et qui prend tour à tour selon les circonstances, les noms variés et toujours charmants d'affabilité, de courtoisie, de déférence et de respect !

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Notre âme et notre esprit se forment par deux sortes de maîtres, les maîtres proprement dits qui nous enseignent un art, une science, une profession ; puis les initiateurs qui nous ouvrent le cœur à quelque pure et noble passion. On n'oublie jamais la personne qui vous a appris à sentir la musique ou à aimer les fleurs.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Un père est un guide, un père est un maître, un père est un juge.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

L'irrésolution n'est pas un travers, n'est pas un défaut ; c'est une maladie, maladie bien moins rare qu'on ne pense, sinon à l'état aigu.

Ernest Legouvé - Nos fils et nos filles (1875)

L'irrésolution fait le tourment non seulement de celui qui en est frappé, mais des gens qui l'entourent, et enfin, pour tout exprimer en un mot, le paralyse, le martyrise et le ridiculise.

Ernest Legouvé - Nos fils et nos filles (1875)

Un homme de bonne foi est incapable de persister dans une erreur par amour-propre.

Ernest Legouvé - Nos fils et nos filles (1875)

Il y a des hommes dont on rit, mais que l'on aime, et que l'on aime pour les travers mêmes dont on rit.

Ernest Legouvé - Nos fils et nos filles (1875)

L'amour des fleurs crée entre ceux qu'il possède une sorte de parenté. La conversation ne tarit jamais entre deux amateurs de fleurs, car ils parlent de ce qu'il y a au monde de plus émouvant, le beau ; et de plus vaste, la nature.

Ernest Legouvé - Nos fils et nos filles (1875)

Les sentiments naturels sur lesquels repose la famille, amour filial, amour paternel, amour de mère, amour de frère et de sœur, sont choses si saintes qu'on les regarde volontiers comme choses immuables.

Ernest Legouvé - Nos fils et nos filles (1875)

L'économie n'est pas seulement l’ordre, la propreté ; elle est aussi quelquefois la dignité, la générosité.

Ernest Legouvé - Nos fils et nos filles (1875)

L'amour maternel n'est pas une affaire de vanité ou de plaisir, ni même seulement un devoir, mais un sujet perpétuel de sérieuses et tendres préoccupations.

Ernest Legouvé - Nos fils et nos filles (1875)

Il y a dans les hautes montagnes des maisons de refuge situées de distance en distance pour abriter les voyageurs pendant les tempêtes de neige : peupler son cœur de goûts purs et élevés, c'est se bâtir à soi-même des maisons de refuge.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Les âmes nées pour le bien ne tombent pas en vain dans le mal ; leur impunité même leur sert de remords.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Il faut, empruntant son courage au sentiment même des difficultés et des obstacles qui nous entourent, y trouver les moyens de combattre ce que l'on redoute, et de vaincre ce que l'on déplore.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Dieu a placé de bien rudes épreuves sur cette terre, mais il a créé le travail ; tout est compensé.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

La première condition de toute bonne éducation est la régularité.

Ernest Legouvé - Nos fils et nos filles (1875)

Les grandes influences générales ne se composent que des petites actions particulières. La contagion du bien n'est pas moins réelle que celle du mal.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

L'homme n'est pas maître de ses sentiments, mais il est maître de ses actions : on ne peut pas se défendre d'être craintif, mais on peut se défendre d'être lâche !

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

On sait deux fois une chose quand on la sait et qu'on la trouve admirable.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Élever un enfant, c'est lui apprendre à se passer de nous, et tout doit tendre à lui remettre au plus tôt les rênes de lui-même.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Nous ne sommes vaniteux que parce que nous nous comparons aux autres par le point où nous l'emportons sur eux.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

La peine causée par l'envie est une plaie empoisonnée.

Ernest Legouvé - Nos fils et nos filles (1875)

Si vous frappez un enfant par colère, vous perdez tout empire sur lui, on ne règne sur les âmes que par le calme.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

L'homme pour marcher au bien a autant besoin d'être encouragé que réprimandé, réconcilié avec lui-même que sévère à lui-même.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

La conscience ressemble aux facultés de l'esprit, elle a besoin d'éducation. En l'exerçant, on lui apprend à voir plus juste.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Un sacrifice volontaire laisse toujours après soi, dans l'âme qui se l'impose, quelque chose de fortifiant.

Ernest Legouvé - Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867)

Le bonheur dépend souvent de bien jouer. En amour comme au jeu les heureux sont les habiles.

Ernest Legouvé - Adrienne Lecouvreur (1849)

Quand nous ne faisons pas ce que nous devons, ce n'est pas toujours notre cœur qui refuse, c'est notre esprit qui ne comprend pas.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Il est des hommes pour lesquels la vie a des caprices et des indulgences de grand-mère : elle en fait des efféminés ; il en est d'autres qu'elle traite en marâtre : ils ont grand chance de devenir des révoltés ; il en est d'autres pour lesquels elle sait être une mère intelligente, à la fois douce et ferme : elle en fait des hommes.

Ernest Legouvé - L'esprit et la sagesse des autres (1888)

Trois choses sont nécessaires à l'homme pour que sa vie soit complète : une profession, des affections et des goûts.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Un Dieu créa dans nos misères les baisers des enfants pour les larmes des mères.

Ernest Legouvé - Médée (1855)

Une femme, pour son mari, est dans tous les temps son soutien le plus doux.

Ernest Legouvé - Le mérite des femmes (1830)

Là où le soleil reluit, la lune n'a pas de puissance.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Aujourd'hui il n'y a plus de fiançailles, il y a des accords ; il n'y a plus de fiancés, il y a des futurs.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Entre deux cœurs amoureux, quand tout n'est encore que promesses et que fleurs, ces impalpables parfums suffisent à les nourrir plus délicieusement que le meilleur des fruits parmi les plus savoureux.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

L'amour est semblable à l'année, sa plus belle saison est son printemps. Tout n'est encore que promesses et que fleurs.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Le mariage, vers lequel deux amoureux descendent la main dans la main, est la consécration suprême de la fusion des âmes.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

J'aime mieux la terre avec toi que le ciel avec les dieux.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

L'affinité qui tombe sous les sens, s'exerce de l'âme à l'âme, et fait le lien des êtres.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Dans le choix d'un futur mari, la jeune fille est juge suprême, tribunal sans appel.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Malheur aux parents qui usent de leur ascendant moral pour imposer à leur fille un mari qui lui déplaît.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

La poursuite de la perfection nous entraîne dans les champs sans limites de la perfectibilité.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

L'idéal est une image placée devant nous par la Providence pour que nous la poursuivions toujours.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

L'harmonieux accord, entre deux amoureux, a pour base l'amour du bien et la simplicité du cœur.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

L'homme n'arrive à faire tout ce qu'il peut qu'en aspirant même à ce qu'il ne peut pas.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Chaque amoureux s'oublie pour ne penser qu'à l'autre.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

La liberté, pour un être jeune, est un sentiment éducateur et favorable à la raison.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Quand les fourmis sont petites, elles ont toutes des ailes ; le temps des amours arrive, elles s'élèvent dans les airs en couples bourdonnants et s'unissent pendant leur vol ; puis l'œuvre de la fécondation terminée, elles redescendent sur la terre, et là, elles-mêmes, avec leurs pattes de devant, elles tirent et font tomber leurs petites ailes, légers instruments de leurs amours aériens : plus de courses à travers le ciel, plus de volages tendresses, la vie sérieuse a commencé pour elles, elles sont mères.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Deux êtres vont s'unir ; cette union a pour principal objet la fusion de leurs cœurs et de leurs existences ; c'est une association indissoluble, et portant sur chaque minute de leur vie. Quel est le premier devoir des parents dans cette circonstance ? Demander à chacun de ces deux êtres : consentez-vous à vivre unis l'un pour l'autre ? Eh bien, en France, il a fallu des siècles de lutte pour que la fille eût droit d'intervenir dans ses propres fiançailles !

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Vouloir plaire innocemment, c'est une manière d'aimer son prochain : ouvrez donc, ouvrez à larges portes le monde du plaisir à cette ardeur qui est encore de l'innocence ; et laissez marcher de pair l'âge de l'insouciance et l'âge des amusements, ils vont si bien ensemble !

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

La coquetterie qui veut inspirer des sentiments qu'elle n'éprouve pas est un vice affreux et détestable.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

La femme est dieu puisqu'elle est adorée.

Ernest Legouvé - Le mérite des femmes (1830)

De toutes les maladies humaines, les maladies de modestie sont les plus faciles à guérir.

Ernest Legouvé - Conférences parisiennes (1872)

La critique est une lime qui polit ce qu'elle mord.

Ernest Legouvé - L'art de la lecture (1877)

La mère est ici-bas, le seul Dieu sans athée.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Quand la mort vient nous enlever nos parents, auprès de qui les retrouvons-nous par le souvenir ? Auprès de notre sœur. Nos entretiens avec elle évoquent les jours qui ne sont plus, les jours que nous pleurons ; et il nous semble en la pressant sur notre poitrine que nous embrassons tout à la fois en elle et notre père et notre mère, et notre jeunesse évanouie.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Le rire dans l'enfance est toujours près des larmes.

Ernest Legouvé - Le mérite des femmes (1830)

Le temps fait marcher le présent au flambeau du passé.

Ernest Legouvé - La découverte de l'imprimerie (1829)

À l'homme les travaux rudes, les grandes entreprises, les dangers et la guerre ; à la femme la vie intérieure, les minutieux détails de la maison, le soin et la garde vigilante des enfants ; puis, ensemble, les douces causeries, les attentions délicates, les petits calculs de l'avenir, tout ce qui complète l'existence quand on est deux à la porter.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Si l'homme a la vigueur physique qui impose et l'autorité de l'esprit qui commande, la femme a la beauté qui attire, la tendresse qui subjugue et la douceur qui apaise.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

Le mariage confond l'amante et la maîtresse dans un seul personnage qui est l'épouse.

Ernest Legouvé - Histoire morale des femmes (1848)

3 - La liste des auteurs populaires :

Le dictionnaire des meilleurs auteurs français et étrangers »
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