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Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Les citations de Fernando de Rojas.

1 — Qui est Fernando de Rojas ?

Photo de Fernando de Rojas Biographie courte : Écrivain, dramaturge et avocat espagnol né en 1465 à La Puebla de Montalban située dans la province de Tolède, Fernando de Rojas est décédé entre le 3 et le 8 avril 1541 à Talavera de la Reina en Tolède. Rojas est surtout connu comme auteur de La Célestine (La Celestina, o tragicomedia de Calisto y Melibea). Cette œuvre est, après Don Quichotte, le livre espagnol le plus universellement diffusé et célébré. (Source : Wikipédia)

2 — Les 92 pensées et citations de Fernando de Rojas :

C'est une simplicité que de ne vouloir pas aimer et espérer être aimé ; c'est une folie que de payer l'amitié avec la haine.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Celui que Dieu aide est plus avancé que celui qui se lève matin.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Le premier degré de folie est de se croire sage.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Il faut au jeune sang peu de chaleur pour bouillir.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Bienvenue est la mort, quand elle visite les affligés qui l'implorent.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

L'erreur est le fait des hommes ; l'opiniâtreté, le fait des bêtes.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Netteté et propreté maintiennent le cœur en joie.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

C'est l'art du pasteur de tondre ses brebis sans les écorcher.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Le calme est rare dans la haute mer.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

C'est de plus haut que se font les plus grandes chutes.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Celui qui carillonne est en sûreté dans le clocher.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Un seul coup de cognée ne suffit pas pour abattre un chêne.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

L'eau qui tombe goutte à goutte finit par creuser la pierre.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

De corsaire à corsaire on ne perd que les barils.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Dieu ne demande au pécheur que de se repentir et de s'amender.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Il n'est rien de plus agréable que l'hôtellerie à l'homme bien fatigué.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Celui-là est riche qui est bien avec Dieu.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Celui qui pense à plusieurs choses à la fois ne pense bien à aucune.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

La peine d'amour est dans la méditation, le repos se trouve dans l'oubli.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Toutes les dettes reçoivent quelque compensation, mais seul l'amour peut payer l'amour.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Quand Dieu donne la blessure, il place auprès d'elle le remède.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

La pire chose dans le péché est la persévérance.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

L'amour ne se paie qu'avec l'amour, et les œuvres avec des œuvres.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Il n'y a chirurgien si habile qui juge de la plaie au premier appareil.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

N'est pas pauvre qui a peu, mais qui désire beaucoup.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

C'est chose misérable que de voir un homme qui n'a jamais été disciple se donner des airs de maître.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

C'est dans les longs jours qu'on souffre les grandes douleurs.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Le cheval pense une chose, et celui qui le selle une autre.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Une seule journée du sage vaut mieux que la vie entière d'un sot.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Quand une porte se ferme, la fortune en ouvre une autre.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Quand le mal est fait, il est plus facile de le blâmer que de le réparer.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Les mauvaises mouches ne piquent jamais que les bœufs maigres.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Rien n'appauvrit l'avare comme la richesse.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Le joyeux visage chez le médecin est déjà commencement de salut pour le malade.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Quiconque tient et mieux attend, plus tard se repent.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Il est facile de blâmer la conduite d'autrui ; il est difficile de mettre la sienne à l'abri du reproche.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Aucune science ne profite à celui qui n'y prend goût.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

On ne peut pêcher les truites sans se mouiller les pieds.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Offrir beaucoup à celui qui demande peu, c'est une manière de refuser.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Le sage change de conseil et l'ignorant y persévère.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Quiconque s'élève d'une manière honteuse descend plus rapidement qu'il n'est monté.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

La prolixité fatigue celui qui écoute et fait tort à celui qui parle.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Il faut s'éloigner de l'homme colère pour un temps, et de l'ennemi pour toujours.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Le plaisir de la vengeance ne dure qu'un instant ; la satisfaction que procure un bienfait dure toujours.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Il est inutile de prier à qui ne peut avoir de miséricorde.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Le propre des fous est de juger les autres d'après eux-mêmes.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

On ne peut pas dire qu'il jouit de la vie celui-là qui est né pour lui seul.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Faire le bien, c'est imiter Dieu.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Il n'est rien de plus agréable que l'hospitalité à l'homme bien fatigué.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Il y a plus de gens possédés par les richesses qu'il n'y en a qui les possèdent.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Le pauvre est aimé pour lui-même, ce sont les biens qui font aimer les riches.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Lorsque entre deux extrêmes il n'y a pas de milieu, il est du devoir de l'homme de choisir le plus sage.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Le succès manque rarement à une spéculation bien dirigée.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Ne pas croire est une faute, c'en est une autre que de tout croire.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

On ne peut rendre aux parents et aux maîtres le bien qu'on en a reçu.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Dans toutes les infortunes le remède le plus sûr ce sont les amis.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Il ne faut pas laisser croître la mauvaise herbe parmi le bon grain ni le soupçon dans le cœur de nos amis.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

C'est souvent lorsque l'homme veut fuir un danger qu'il tombe dans un plus grand.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Connaître le temps et saisir l'occasion, c'est ce qui fait prospérer les hommes.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Il est inutile d'employer beaucoup de paroles quand il ne faut qu'un mot.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Connaître son mal est le commencement de la guérison.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

L'emploi des richesses vaut mieux que leur possession.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Jouis de ta jeunesse, et ne refuse ni un bon jour, ni une bonne nuit.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Le savant se tait, l'ignorant exhibe sa bêtise.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Après la besogne le repos est doux.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

Le bavard est comme l'horloge à midi, il ne dit pas moins de douze niaiseries à la fois.

Fernando de Rojas - Les maximes et pensées (1541)

L'imagination rend les choses ce qu'on veut qu'elles soient ; ce n'est pas qu'elle change la vérité, mais elle calme nos pensées et redresse notre jugement.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

On se corrige mieux d'un péché nouveau que de celui dont on s'est fait une habitude.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Tout ce qui est en ce monde croît et décroît : Tout a ses limites, tout a ses degrés.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Qui touche le miel, il lui en reste toujours aux doigts.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Les querelles entre amis entretiennent l'amitié.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Pour contenter une seule personne, tu en mécontentes cent autres.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

L'honneur sans bénéfice dans ses affaires, ce n'est qu'une bague au doigt.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

La souris qui n'a qu'un trou n'est pas tranquille.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

L'ami véritable se fait connaître dans les choses incertaines.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Qui sollicite le moins réussit le mieux.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Ce qui est différé n'est pas perdu.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

La rareté des choses engendre l'admiration.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

L'expérience est meilleur médecin que celui qui a étudié.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

L'expérience et la pratique rendent les hommes adroits.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Un heureux commencement est la moitié de l'œuvre.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Nul n'est si vieux qui ne puisse vivre encore une année.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Le plus grand mérite de l'abeille, c'est qu'elle rend meilleures les choses qu'elle touche.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Que Dieu nous préserve des traîtres !

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Le malheur est sans force contre un cœur préparé à le bien recevoir.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Ne lâchez pas la bride à votre volonté.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Ne vouloir ni mourir ni tuer, ce n'est pas lâcheté, c'est bon naturel.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

La pire des folies est de payer l'amitié avec la haine.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Il n'y a de vaincu que celui qui croit l'être.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Le bon traitement est la meilleure chaîne qui puisse attacher le serviteur à son maître.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Il faut peu de temps pour reconnaître le faux métal sous la dorure.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

Le monde est grand, et le nombre des gens expérimentés est petit.

Fernando de Rojas - La Célestine - XVIe siècle.

3 — La liste des auteurs populaires :

Le dictionnaire des meilleurs auteurs français et étrangers »
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