Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski, dit Fedor Dostoïevski Quelques mots sur l'auteur : Écrivain et romancier russe né le 11 novembre 1821 à Moscou en Russie, Fiodor Dostoïevski est décédé le 9 février 1881 à Saint-Pétersbourg. Dostoïevski meurt à l'âge de 59 ans d'une hémorragie, il repose au cimetière Tikhvine à Saint-Pétersbourg. Pour de plus amples informations,
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Les 77 pensées et citations de Fiodor Dostoïevski : L'humanité pleine d'amour est une force redoutable, à nulle autre pareille.
Fiodor Dostoïevski - Les frères Karamazov (1880) Plus la tête d'un homme est vide et moins elle éprouve le besoin de se remplir.
Fiodor Dostoïevski - Le crocodile (1865) Tout le monde en est là, c'est toujours de ses maladies qu'on se vante.
Fiodor Dostoïevski - Les carnets du sous-sol (1864) Il y a toujours dans la charité quelque chose qui corrompt à jamais.
Fiodor Dostoïevski - Les démons (1871) L’art du bavardage mondain, cet art qui consiste à paraître tout naturel et sincère et à signifier en même temps par son aspect qu'on considère ses auditeurs, eux aussi, comme des personnes toutes naturelles et sincères.
Fiodor Dostoïevski - L'éternel mari (1870) La beauté est une énigme.
Fiodor Dostoïevski - L'idiot (1868) C'est dans l'amour, uniquement grâce à l'amour que réside, pour une femme, la résurrection, la délivrance de toute chute possible, la régénération spirituelle.
Fiodor Dostoïevski - Dans mon souterrain (1864) Il n'y a rien de plus plaisant que de ne pas se gêner devant les autres mais d'agir ouvertement et sans retenue.
Fiodor Dostoïevski - Le joueur (1866) Plus j'aime l'humanité en général, moins j'aime les gens en particulier, comme individus.
Fiodor Dostoïevski - Les frères Karamazov (1880) Il n'y a que par le respect de soi-même qu'on force le respect des autres.
Fiodor Dostoïevski - Humiliés et offensés (1861) Quand tu m'as embrassé, cela est arrivé une fois et je ne l'oublierai jamais, un brouillard a voilé mes yeux et toute mon âme s'est fondue.
Fiodor Dostoïevski - Nétotchka Nezvanova (1849) Les larmes sont impuissantes contre le malheur, je le sais par expérience.
Fiodor Dostoïevski - Les pauvres gens (1846) Soyez un homme noble, ferme dans l'adversité ; rappelez-vous que pauvreté n'est pas vice. D'ailleurs, pourquoi désespérer ? Tout cela n'aura qu'un temps ! Avec l'aide de Dieu tout s'arrangera.
Fiodor Dostoïevski - Les pauvres gens (1846) Les malheureux, les pauvres, doivent s'écarter les uns des autres pour ne pas aggraver leur mal. Le malheur est une maladie contagieuse.
Fiodor Dostoïevski - Les pauvres gens (1846) Quand je suis chagrine, j'aime à bavarder sur quelque chose. C'est un remède : on se sent soulagé tout de suite, surtout si l'on dit tout ce qu'on a sur le cœur.
Fiodor Dostoïevski - Les pauvres gens (1846) Ne vous abandonnez pas à la tristesse, les larmes ne remédient à rien.
Fiodor Dostoïevski - Les pauvres gens (1846) Celui qui creuse une fosse pour autrui y tombe lui-même.
Fiodor Dostoïevski - Les pauvres gens (1846) La suffisance et le contentement de soi sont le propre des ânes.
Fiodor Dostoïevski - Les carnets du sous-sol (1864) Un homme d'action est essentiellement borné.
Fiodor Dostoïevski - Les carnets du sous-sol (1864) Quand le navire doit sombrer, les rats sont les premiers à le quitter.
Fiodor Dostoïevski - Les démons (1871) L'amour de l'humanité est une abstraction à travers laquelle on n'aime guère que soi.
Fiodor Dostoïevski - L'idiot (1868) Si le juge était juste, peut-être que le criminel ne serait pas coupable.
Fiodor Dostoïevski - Les frères Karamazov (1880) Un être qui s'habitue à tout, voilà la meilleure définition qu'on puisse donner de l'homme.
Fiodor Dostoïevski - Souvenirs de la maison des morts (1860-1862) Toute société, pour se maintenir et vivre, a besoin absolument de respecter quelqu'un.
Fiodor Dostoïevski - Le journal d'un écrivain (1873) Là où l'amour n'existe pas, la raison, elle aussi, est absente.
Fiodor Dostoïevski - Les carnets du sous-sol (1864) L'homme est malheureux parce qu'il ne sait pas qu'il est heureux.
Fiodor Dostoïevski - Les démons (1871) L'homme, quels que soient ses péchés, ne peut épuiser la miséricorde divine.
Fiodor Dostoïevski - Les frères Karamazov (1880) L'amour est un trésor inestimable qu'il suffit à racheter tous les péchés du monde.
Fiodor Dostoïevski - Les frères Karamazov (1880) Si l'homme n'est pas lâche, il doit fouler aux pieds toutes les craintes qui l'arrêtent !
Fiodor Dostoïevski - Crime et châtiment (1866) Les jaloux sont les premiers à pardonner, toutes les femmes le savent.
Fiodor Dostoïevski - Les frères Karamazov (1880)
La liste des auteurs populaires : La vie est un long poème que l'on écrit soi-même. (Maxalexis)
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