Gustave Nadaud Quelques mots sur l'auteur : Chansonnier, interprète, compositeur et poète français né le 20 février 1820 à Roubaix dans le Nord, Gustave Nadaud est décédé le 28 avril 1893 à Paris. Auteur de plus de 300 chansons, il meurt à l'âge de 76 ans. Gustave Nadaud repose auprès de ses parents au cimetière de Montmartre à Paris. Pour de plus amples informations,
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Les 38 pensées et citations de Gustave Nadaud : Prenons ce que le sort nous donne, sans pleurer ce qu'il nous ravit.
Gustave Nadaud - Les projets de jeunesse (1832) La parole d'un grand homme vaut mieux que tous les contrats du monde.
Gustave Nadaud - La volière (1854) La patience a ses bornes.
Gustave Nadaud - La solution (1862) L'exercice du bien n'est pas si dispendieux qu'on le pense, et dans les miettes d'un repas, on peut trouver une existence.
Gustave Nadaud - Conseil à Marie (1832) Je garderai de mon martyre, je garderai de mon bonheur, une tristesse au fond de mon sourire, comme un sourire au fond de ma douleur.
Gustave Nadaud - Consolation (1867) Les bons cœurs font les bons bras.
Gustave Nadaud - La ferme (1870) L'amant qui s'envole ne vaut pas le mari qu'on tient.
Gustave Nadaud - La petite ville (1851) Quand on n'a pas ce que l'on désire, il faut se contenter de ce que l'on a.
Gustave Nadaud - L'éternel insatisfait (1851) Les beaux hommes sont trop bêtes, et les non bêtes sont trop laids.
Gustave Nadaud - Une conscience de dix-sept ans (1851) On peut, sans être belle, avoir du charme et de l'esprit.
Gustave Nadaud - Une conscience de dix-sept ans (1851) À chacun son goût et sa folie.
Gustave Nadaud - Une conscience de dix-sept ans (1851) On n'entend que ce qu'on écoute.
Gustave Nadaud - Une conscience de dix-sept ans (1851) Quand on n'est pas bon à grand chose, on peut se croire propre à tout.
Gustave Nadaud - Le cavalier (1867) Vivez jeunesse, vous dont le cœur est ouvert aux désirs, et n'amassez pour l'avare vieillesse, que le trésor des souvenirs.
Gustave Nadaud - Le bouquet (1870) Tout parfum s'évapore, et tout flambeau s'éteint.
Gustave Nadaud - Le bouquet (1870) La part que je connais vaut le tout que j'ignore.
Gustave Nadaud - Bonheur et plaisirs (1870) Quand on n'a pas ce qu'on désire, il faut manger ce que l'on a.
Gustave Nadaud - L'aigle et le moineau (1870) La faim est un bon maître.
Gustave Nadaud - Clodion (1870) C'est en travaillant que le temps passe.
Gustave Nadaud - La ferme (1870) Quand on s'est aimé dès l'enfance, et qu'on a vu passer la saison des amours, cela vous donne l'assurance, que si l'on s'aime encore on s'aimera toujours !
Gustave Nadaud - La ferme (1870) Les longs jours sont faits pour les longues tâches.
Gustave Nadaud - La ferme (1870) Honte aux paresseux, mépris pour les lâches !
Gustave Nadaud - La ferme (1870) Du meilleur au pire, la différence est mince.
Gustave Nadaud - Le proverbe manqué (1870) On n'est pas sot pour être musulman.
Gustave Nadaud - L'Osmanomanie (1951) Quand le commandement est doux, on bénit la main qui commande.
Gustave Nadaud - Conseil à Marie (1832) C'est le cri de l'humanité, cri de salut ou de détresse : Aimer dans sa jeunesse, penser dans sa maturité, se faire aimer dans sa vieillesse.
Gustave Nadaud - Éloge de la vie (1860) On ne voit qu'on était heureux qu'à l'heure où l'on cesse de l'être.
Gustave Nadaud - Le mandarin (1860) Je parle franc, c'est-à-dire français.
Gustave Nadaud - À propos d'annexion (1860) L'affection, comme les fleuves, descend et ne remonte pas.
Gustave Nadaud - Le nid abandonné (1851) Qui n'a rien, n'a rien à craindre.
Gustave Nadaud - La chanson de Gros-Pierre (1851) Ah ! qu'ils étaient doux, les jours d'innocence, les jours de notre enfance qui sont loin de nous !
Gustave Nadaud - La nacelle (1851) L'Amour est un dieu folâtre qui cause bien de l'ennui.
Gustave Nadaud - Des bêtises (1851) Répond qu'à danseuse légère, il faut allonger le jupon.
Gustave Nadaud - La petite ville (1851) Semez, semez sans espérance, les bienfaits qui font des ingrats ; la vertu ne me touche pas, quand elle attend sa récompense.
Gustave Nadaud - Ma philosophie (1851) Le premier pas dans la sagesse, c'est l'amour d'un Dieu révélé ; c'est le mépris de la richesse : on peut l'avoir, puisque je l'ai.
Gustave Nadaud - Ma philosophie (1851) Près de l'amour, tout sait charmer ; loin de l'amour, tout est tristesse.
Gustave Nadaud - Il faut aimer (1851) Ma santé, c'est mon trésor ; et bonhomme vit encore !
Gustave Nadaud - Bonhomme (1832) On peut, en méprisant les hommes, aimer encore l'humanité.
Gustave Nadaud - Ma philosophie (1851)
La liste des auteurs populaires :