J'aime toutes les femmes, c'est ma corde sensible.
La vie est une chose qu'il faut prendre du bon côté, on ne va pas s'éterniser sur les mauvais.
Je suis prisonnier de la rigolade et des larmes : entre les deux, mon cœur balance.
Ce qu'il y a de bon en vous c'est vous, tout le reste ne vaut rien du tout.
Il y a des promesses comme des mots d'amour dans tes yeux.
Le travail c'est la santé, ne rien faire, c'est la conserver.
Le sourire le plus pudique est celui qui cache les larmes.
Ce n'est pas tellement le mariage qui est merveilleux, c'est après !
Je n'aime pas les copieurs, j'aime les créateurs.
La guitare, c'est comme une femme en amour, elle chante quand on la caresse.
L'humour, c'est comme le swing... ça ne se travaille pas ! Ou tu l'as, ou tu ne l'as pas.
L'amour égoïste, c'est être deux et se sentir qu'un.
Quand on bénéficie de la grâce d'un salaud, il faut en profiter et ne pas lui laisser le regretter.
Ne rien faire est le plus grand plaisir de ma vie, et la seule chose que je fais avec sérieux.
La mort n'est qu'un instant de la vie, pareil à tous les autres, et son seul mérite est d'être le dernier.
Ma drogue favorite : embrasser ma femme que j'aime éperdument.
L'amour, c'est comme la nature, comme un arbre. Ça commence par en bas, et ça monte, ensuite ça va au cœur, et ensuite ça va à la tête, et après ça libère l'âme. Ça naît, ça monte, ça évolue, ça devient spirituel, et c'est indestructible. Si l'amour s'arrête au pantalon, il n'y a pas d'amour.
Le jazz reste la base de tout, car c'est une musique libre. La musique classique ne l'est pas. On ne peut pas se permettre d'improviser.
Le travail, c'est mon élixir de jouvence. Je ne vieillis pas quand je travaille.
Une bonne carrière, c'est une carrière de sueur.
Le succès, c'est un truc tordu. C'est comme marcher sur un fil. Faut avancer et penser à autre chose.
Si l'optimisme était une maladie, je serais un grand malade.
J'ai fait tous les métiers avant de devenir chanteur... Ma vie est un accident.
Mon but est de distraire, de faire rire et d'être tendre à la fois. Il y a des gens qui ont forcé les poules à pondre plus vite. Eh bien, leurs œufs ne valent rien. Pour avoir la qualité, il faut prendre son temps.
La Saint-Valentin, Noël, le 14 Juillet ne m'intéressent pas. Tous les jours, c'est une fête !
Il est rare que la connerie soit bienfaisante, mais quand elle l'est, il faut lui témoigner de la gratitude.
Il faut réhabiliter l'adjectif « gentil » qui semble désigner aujourd'hui quelqu'un de faible, d'idiot, alors que rien n'est plus beau que la gentillesse et que, sans elle, la vie sociale serait insoutenable.
Tout ce qu'on peut dire, tout ce qu'on peut faire : la plupart du temps ça ne sert à rien.
Faut se faire une raison, la vie c'est la vie, avec ses je t'aime, avec ses chagrins et ses illusions.
Une chanson douce que me chantait ma maman, en suçant mon pouce j'écoutais en m'endormant.
Les prisonniers du boulot ne font pas de vieux os.
Quand un enfant choisit sa voie, il faut le laisser faire, c'est qu'il a senti quelque chose frémir à l'intérieur.
La femme qu'on aime, quand on la respecte, on l'habille de son nom.
La vie est passionnante quand on fait ce que l'on aime.
Si j'avais été milliardaire, je me serais payé le plus beau bateau du monde, avec le meilleur lit, et je serais encore en train de dormir.
Avec ma voix de velours, je caresse les mots. Je zigzague entre les modes, grâce à ma fantaisie.
Une chanson, c'est une mélodie, trois mots, des mots de rien qui courent dans les rues, et une émotion. Les trois mots pour créer une chanson : amour, toujours, soleil.
La musique, c'est aussi grand que l'Univers, il suffit juste d'oser.
On n'a jamais trop de chance, il y a tellement de gens malheureux que, quand il y en a, il faut en profiter.
Les bons sentiments appellent la belle musique. Quand on est heureux, ça chante !
Adulte est le mot le plus laid du dictionnaire. Il signifie qu'on a perdu le rêve, qu'on vit avec les réalités.
Je chante pour les gens heureux, ceux qui se prennent pour des enfants et qui sont restés des enfants.
J'ai la chance d'avoir un petit oiseau dans la tête qui chante encore et qui me siffle de jolies mélodies ; quand il arrête de chanter, je pars jouer aux boules ! Je suis comme un enfant, puisque je ne fais que ce qui m'amuse : quand je chante, ça m'amuse ; quand je fais de la télé, ça m'amuse ; quand je joue à la pétanque, ça m'amuse : je ne sais pas ce que c'est que travailler !
Je crois que, dans tout, il faut savoir oser, essayer d'aller toujours plus loin
Je peux faire pleurer quand je le veux, je l'ai fait plusieurs fois, mais je trouve que c'est un peu inutile ; je trouve que la vie est tellement belle qu'on n'a pas le temps de pleurer. On a assez d'emmerdements pour en plus faire pleurer les gens.
Le travail me court après, il n'est pas près de me rattraper.
Je ne veux pas mourir sur scène, ce sont les cabots qui disent ça. Je veux mourir dans mon lit. Mourir sur scène... c'est affreux de mourir en travaillant.
Je n'ai pas peur de la mort, mais je ne veux pas souffrir ou devenir gâteux. Je veux mourir caché, comme les éléphants.
Hommes d'affaires et meneurs de foule, travaillent à en perdre la boule.
La meilleure façon d'être heureux et d'avoir le bonheur dans la vie, c'est de donner le bonheur aux autres... c'est le secret.
J'ai compris que, dans ce bas monde, il faut travailler pour vivre, et non vivre pour travailler. J'essaie donc de vivre le plus possible, et de travailler le moins possible.
Pour être en forme, il faut dormir dix heures par nuit et ne pas oublier la sieste.
Je dépense ce que je gagne. Le fric, c'est fait pour s'offrir ce qu'il y a de plus beau.
J'ai attrapé une maladie : la juvénite aiguë ! Je ne sais pas vieillir. Et quand je suis en contact avec une femme, je lui transmets la salvadorite aiguë ! Une maladie très grave : on attrape le rire, la joie de vivre, la santé... qui ne courent pas les rues en ce moment !!!
Méfiez-vous des gens qui font rire, ce sont parfois les gens les plus sérieux.
Je ne me suis pas fabriqué, je me suis découvert. Ceux qui se fabriquent ne sont pas vrais. Je suis comme une fleur dans un pot, et ma femme est le jardinier.
Pour laisser un nom dans l'histoire et une statue dans les rues, il faut avoir eu la tête coupée ou avoir fait couper des têtes.
Aujourd'hui, chanter, c'est d'abord ne rien dire. Ce qui entraîne la déconfiture de l'idéalisme, de la belle exaspération des sentiments.
Les lois de la séduction ont beaucoup évolué. Avant, on faisait la cour, on tombait amoureux et on faisait l'amour. Aujourd'hui, on fait l'amour et puis on se dit : Tiens, au fait, elle n'est pas si mal que ça !!!
La beauté ne se voit pas sur le visage mais dans le cœur.
À partir du moment où tu es un chercheur, tu n'es pas vieux ! Un vrai vieux, il ne cherche plus, il n'attend que la mort.
Il faut savoir prendre la vie avec le sourire. Au cours d'une vie, on connaît plus de jours merveilleux que de coups durs.
La gaieté est pour moi plus qu'une politesse, c'est une véritable chevalerie.
Sur scène, j'envoie des gags et je reçois des rires.
Faire rire les gens, ça leur fait oublier qu'ils sont méchants. Quand on rit, on est dans un état de joie, d'extase, on oublie les défauts.
Le rire n'est pas une chose qui s'étudie, on naît avec. D'ailleurs, la plupart des gens qui font rire n'ont pas appris le métier. Ils ont un don et après ils exploitent ce don.
Je suis rêveur et joyeux, c'est un fait... Je ne sais pas si, pour préparer mes chansons, je me réjouis rêveusement, ou si je rêve joyeusement.
Je fais l'amour avec énormément de douceur, et même le meilleur des sirops n'est pas aussi suave que moi.
Quand on chante, il faut oublier l'auteur, le compositeur, il faut être la chanson, la vivre.
Depuis que je suis gosse, je ne supporte pas de voir les gens tristes. C'est un besoin pour moi d'égayer les gens.
Un artiste doit toujours chercher à donner de la personnalité à une chanson.
Je voudrais dire aux gens qu'ils prennent la vie du bon côté, comme moi, parce que, en fin de compte, c'est une belle rigolade, la vie !
La mélodie est un enchantement perpétuel... C'est comme la mer... Elle vient et repart par vagues.
Un artiste, c'est comme un tableau, il n'a de valeur que celle qu'il exige.
Plus les gens ont un gros cerveau et moins ils aiment prolonger des débats trop sérieux.
Je n'ai pas la sensation d'être vieux, ce sont toujours les autres qui me rappellent mon âge.
Le temps est la seule chose dont dispose un être humain.
Pour moi, la mort est comme une seconde naissance. Je suis très optimiste, nous faisons tous partie de l'Univers, ce truc absolument gigantesque et infini : on meurt, on revit, on renaît pour l'éternité.
La poésie, contrairement à la musique, n'a pas une âme voyageuse, elle est capable d'un seul paysage : la langue de son pays.
Les gens adorent la chanson. C'est une arme fabuleuse, qui peut être politique, scientifique, romantique.
J'ai le goût du bonheur et de l'amitié. L'amitié, c'est encore plus fort que l'amour. Les amours, ça se casse.
Un artiste, c'est quelqu'un qui marche à côté lorsque les autres sont sur le trottoir. Les artistes ont des ailes, même si cela ne se voit pas.
Hier n'existe pas. Avant-hier non plus. Aujourd'hui, c'est délicieux. Demain est merveilleux.
Je suis heureux car maintenant que l'on sait qu'il y a des étoiles où peut-être la vie existe, je devrais être éternel... Je crois en l'âme et en l'éternité. Il n'y a aucune raison que l'Univers tourne et que, nous, on disparaisse.
La jeunesse, on doit la vivre quand on est vieux, c'est le seul moment où elle reste acceptable.
Pour moi l'image de la chanson française, c'est une jeune fille de 16 ans, avec une jolie robe à fleurs, qui marche sur les Champs-Élysées par une journée de printemps.
La littérature m'a rendu moins con. Je passais souvent devant l'école, mais rarement à l'intérieur. On m'a donné mon certificat d'études pour que je m'en aille.
La vie faut se l'emmener, tant qu'on peut la suivre, la vie ça se vit jusqu'à en crever.
Le doute suit la certitude de près ! Ce n'est pas le doute qui rend fou, c'est la certitude.