Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Jean-François Guichard

Quelques mots sur l'auteur :

Photo de Jean-François GuichardPoète, fabuliste et auteur dramatique français né le 5 mai 1731 à Chartrettes dans le département de la Seine-et-Marne, Jean-François Guichard est décédé dans sa ville natale le 23 février 1811 à l'âge de 79 ans.

Les 20 pensées et citations de Jean-François Guichard :

Coquette, n'est-ce pas la femme d'un cocu ?

Jean-François Guichard - La petite fille (1802)

Ne pouvoir obtenir l'objet de son désir est un tourment extrême.

Jean-François Guichard - Le bûcheron ou Les trois souhaits, le 28 février 1763.

Deux avis valent toujours mieux qu'un.

Jean-François Guichard - Le bûcheron ou Les trois souhaits, le 28 février 1763.

Depuis que je suis au monde je ne fais que travailler, et je n'en suis pas mieux ! Qu'on a de peine pour un petit gain ! Mais un peu de vin me redonne haleine, mais un peu de vin me remet en train.

Jean-François Guichard - Le bûcheron ou Les trois souhaits, le 28 février 1763.

Passer toute ma vie auprès de toi, c'est ma seule envie ; je t'aime et je t'adore.

Jean-François Guichard - Le bûcheron ou Les trois souhaits, le 28 février 1763.

Votre finesse, je l'avoue, beau sexe, sur le nôtre aura toujours le prix. De l'homme la femme bien souvent se joue, et l'homme quelquefois n'en est que plus épris.

Jean-François Guichard - La présence d'esprit (1802)

On finit par être constant, je n'ai qu'une maîtresse, et je m'y tiens, j'en suis content.

Jean-François Guichard - Le trésor de Saint-Denis (1802)

Nous avons, tous tant que nous sommes, nos humeurs, nos penchants, nos passions, nos goûts.

Jean-François Guichard - Le force du naturel (1802)

Tu vantes ta naissance, orgueilleux ; considère, tandis qu'il te semait, le travail de ton père.

Jean-François Guichard - À un orgueilleux (1802)

Je l'aime... Ah ! de mon cœur la passion est telle qu'aimer n'exprime pas ce que je sens pour elle.

Jean-François Guichard - L'insuffisance du mot aimer (1802)

Quel est l'heureux époux qui n'ait pas un adjoint ? Je suis cocu, dit-on, cela peut fort bien être, peu m'importe, pourvu que je ne trouve point l'outil du compagnon dans l'atelier du maître.

Jean-François Guichard - Mot d'un autre (1802)

Nulle femme ne m'a quitté, dit Cléon à qui veut l'entendre, et Cléon dit la vérité : quelle femme eût daigné le prendre !

Jean-François Guichard - Véridique (1802)

Sur le vide et le plein on combat tour-à-tour ; moi, je suis partisan du double système que me fait embrasser l'Amour ; et je m'écrie auprès de ce que j'aime, selon l'endroit où j'ai la main ; le joli vide ! Le beau plein !

Jean-François Guichard - Le vide et le plein (1802)

Comme d'un coffre-fort il en est d'une fille, on n'en veut plus quand elle sonne creux.

Jean-François Guichard - Point de dot, point de mariage (1802)

L'amour est le premier de tous les précepteurs, aucun ne polit mieux les mœurs.

Jean-François Guichard - Le maître par excellence (1802)

Sur les tétons, Marot, je pense comme vous ; c'est l'ornement, le trésor d'une belle. À des tétons qui peut être rebelle ? L'œil ne peut voir rien de plus doux.

Jean-François Guichard - Sur les tétons, À Clément Marot (1802)

L'argent s'en va ; l'or ne vient point.

Jean-François Guichard - À un alchimiste (1802)

Si l'on rit de l'hymen, on doit plaindre l'amour.

Jean-François Guichard - À un cocu (1802)

L'indigent veut qu'on l'aide, et non pas qu'on le raisonne.

Jean-François Guichard - Les contes et autres poésies (1802)

Le divorce est le sacrement de l'adultère.

Jean-François Guichard - Journal de Paris, février 1797.

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