Coquette, n'est-ce pas la femme d'un cocu ?
Ne pouvoir obtenir l'objet de son désir est un tourment extrême.
Deux avis valent toujours mieux qu'un.
Depuis que je suis au monde je ne fais que travailler, et je n'en suis pas mieux ! Qu'on a de peine pour un petit gain ! Mais un peu de vin me redonne haleine, mais un peu de vin me remet en train.
Passer toute ma vie auprès de toi, c'est ma seule envie ; je t'aime et je t'adore.
Votre finesse, je l'avoue, beau sexe, sur le nôtre aura toujours le prix. De l'homme la femme bien souvent se joue, et l'homme quelquefois n'en est que plus épris.
On finit par être constant, je n'ai qu'une maîtresse, et je m'y tiens, j'en suis content.
Nous avons, tous tant que nous sommes, nos humeurs, nos penchants, nos passions, nos goûts.
Tu vantes ta naissance, orgueilleux ; considère, tandis qu'il te semait, le travail de ton père.
Je l'aime... Ah ! de mon cœur la passion est telle qu'aimer n'exprime pas ce que je sens pour elle.
Quel est l'heureux époux qui n'ait pas un adjoint ? Je suis cocu, dit-on, cela peut fort bien être, peu m'importe, pourvu que je ne trouve point l'outil du compagnon dans l'atelier du maître.
Nulle femme ne m'a quitté, dit Cléon à qui veut l'entendre, et Cléon dit la vérité : quelle femme eût daigné le prendre !
Sur le vide et le plein on combat tour-à-tour ; moi, je suis partisan du double système que me fait embrasser l'Amour ; et je m'écrie auprès de ce que j'aime, selon l'endroit où j'ai la main ; le joli vide ! Le beau plein !
Comme d'un coffre-fort il en est d'une fille, on n'en veut plus quand elle sonne creux.
L'amour est le premier de tous les précepteurs, aucun ne polit mieux les mœurs.
Sur les tétons, Marot, je pense comme vous ; c'est l'ornement, le trésor d'une belle. À des tétons qui peut être rebelle ? L'œil ne peut voir rien de plus doux.
L'argent s'en va ; l'or ne vient point.
Si l'on rit de l'hymen, on doit plaindre l'amour.
L'indigent veut qu'on l'aide, et non pas qu'on le raisonne.
Le divorce est le sacrement de l'adultère.