Jean-François Haumont

Quelques mots sur l'auteur :

Photo de Jean-François HaumontFabuliste et poète français né le 9 mars 1772 à Versailles, Jean-François Haumont est décédé le 7 novembre 1866 à Paris.

Les 47 pensées et citations de Jean-François Haumont :

Trop d'amour-propre aveugle l'ignorant ; fuyons l'esprit fâcheux qui se croit du talent.

Jean-François Haumont - Le rossignol et le coucou (1802)

Le mariage est une union où chacun doit l'un et l'autre s'aider.

Jean-François Haumont - La vigne et le pommier sauvage (1802)

Dans un esprit léger, rarement la raison préside.

Jean-François Haumont - Le chardonneret, les oiseaux et le chasseur (1802)

Se taire et souffrir en silence, est souvent le parti que dicte la prudence.

Jean-François Haumont - Le roi d'Afrique et l'esclave (1802)

Tout être bon se fie au personnage qui sait charmer par un joli langage.

Jean-François Haumont - Le papillon et le mûrier (1802)

Si les hommes sont rois de tous les animaux, qu'ils n'en soient pas les bourreaux.

Jean-François Haumont - Le ramoneur et l'hirondelle (1802)

La fortune est aveugle, et souvent récompense une mauvaise action.

Jean-François Haumont - Le chardon (1802)

Toujours la bonne instruction prévient les vices du jeune âge.

Jean-François Haumont - La dame de ville et la dame de campagne (1802)

Dans la rivalité jamais on ne s'accorde.

Jean-François Haumont - Les deux chiens, le loup et le troupeau (1802)

Contentons-nous du sort que nous fit le destin.

Jean-François Haumont - La poule et la tourterelle (1802)

La fureur au sage est contraire.

Jean-François Haumont - Le philosophe et la guêpe (1802)

Mauvais conseil et gourmandise ont causé plus d'une sottise.

Jean-François Haumont - Le pigeon et la colombe messagère (1802)

Un mauvais railleur est un sot personnage.

Jean-François Haumont - Le corbeau et le coucou (1802)

L'homme toujours parle d'humanité, mais ses actions souvent prouvent sa cruauté.

Jean-François Haumont - Le jeune cerf et les deux bergères (1802)

L'utile à tout doit être préféré.

Jean-François Haumont - Le poirier, le rosier et le voyageur (1802)

La mort se plaît à la surprise.

Jean-François Haumont - Le chien trop regretté (1802)

Le temps, ce grand consolateur, apaise un peu la douleur.

Jean-François Haumont - Le chien trop regretté (1802)

Tous les vices chéris s'accueillent avec soin !

Jean-François Haumont - La vérité (1802)

Tout être abhorre l'esclavage.

Jean-François Haumont - Le rossignol et le serin (1802)

Le besoin nous unit, l'intérêt nous divise.

Jean-François Haumont - Le lévrier et le chien-couchant (1802)

Joli minois est toujours séduisant.

Jean-François Haumont - Le papillon et le mûrier (1802)

La guerre est un sot métier.

Jean-François Haumont - Le lévrier et le chien-couchant (1802)

Des conseils du méchant craignons d'être victime.

Jean-François Haumont - Le bœuf et le loup (1802)

Dans l'oisiveté fermente le crime.

Jean-François Haumont - Le bœuf et le loup (1802)

La jeunesse doit respecter le doux repos qui plaît à la vieillesse.

Jean-François Haumont - Le jeune chat et le vieux matou (1802)

Du plaisir, la jeunesse est toujours idolâtre.

Jean-François Haumont - Le jeune chat et le vieux matou (1802)

Loin des envieux, l'homme est parfaitement heureux.

Jean-François Haumont - L'homme du monde et le solitaire (1802)

La société, doux charme de la vie, fait le bonheur de l'homme et partout le convie.

Jean-François Haumont - L'homme du monde et le solitaire (1802)

Heureux l'être qui vit sans cesse loin du monde et des envieux !

Jean-François Haumont - Les deux laitues (1802)

Souvent la main qui vous caresse, vous prépare un sort affreux.

Jean-François Haumont - Les deux laitues (1802)

De deux maux, on doit éviter le plus grand.

Jean-François Haumont - Les chasseurs, le lièvre et le cygne (1802)

Dès aujourd'hui, sachez vous occuper, vous préviendrez l'ennui.

Jean-François Haumont - L'homme riche et le paysan (1802)

Le méchant n'a jamais tort, c'est la raison du plus fort.

Jean-François Haumont - La mouche et l'araignée (1802)

Chacun chez soi doit être libre.

Jean-François Haumont - Le solitaire et le geai (1802)

L'intérêt ne connaît point d'amis.

Jean-François Haumont - Le chien et le chat (1802)

La trop sémillante jeunesse croît toujours voir l'austérité dans les conseils de la sagesse.

Jean-François Haumont - Les deux carpes (1802)

Le malheur survient, hélas ! sans qu'on y pense.

Jean-François Haumont - Le lièvre et le lévrier (1802)

Les biens et les grandeurs font naître le souci.

Jean-François Haumont - Le riche malade et le pauvre en santé (1802)

L'honneur soutient la bravoure craintive.

Jean-François Haumont - Le coq et le canard (1802)

Quand il s'agit de bonne chère, un gourmand ne la refuse guère.

Jean-François Haumont - Le coq et le canard (1802)

Le bonheur est l'illusion du mensonge.

Jean-François Haumont - L'oiseau et le destin (1802)

Marcher tout seul est ennuyeux, on s'amuse mieux quand on est deux.

Jean-François Haumont - Le coq et le canard (1802)

Souvent le plus beau jour finit par un orage.

Jean-François Haumont - L'oiseau et le destin (1802)

Le bonheur passe comme un songe.

Jean-François Haumont - L'oiseau et le destin (1802)

L'homme, à son intérêt, mesure le bienfait.

Jean-François Haumont - La fermière et la vache (1802)

Quand on est mère, on aime tendrement.

Jean-François Haumont - La poule et les perdreaux (1802)

La liberté fait le bonheur suprême.

Jean-François Haumont - Le lapin et le perdreau (1802)

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