Jean-François Haumont.

1 - Qui est Jean-François Haumont ?

Photo / portrait de Jean-François Haumont Biographie courte : Militaire, fabuliste et poète français né le 9 mars 1772 à Versailles, Jean-François Haumont est décédé le 7 novembre 1866 à Paris. Haumont est l'auteur de 135 fables réparties en huit livres publiés en 1802.

2 - Ce dictionnaire vous propose 70 citations et pensées de Jean-François Haumont :

Du malheur, quel qu'en soit la cause, supportons les décrets d'un destin rigoureux ; le cruel désespoir nous cause des maux encor bien plus affreux.

Jean-François Haumont - Le rossignol et le serin (1801)

De la félicité le malheur est bien près.

Jean-François Haumont - Les deux laitues (1801)

La liberté nous plaît ; la nature la donne.

Jean-François Haumont - Les deux chevaux de chasse (1801)

Abusant de sa liberté, la trop sémillante jeunesse, croit toujours voir l'austérité dans les conseils de la sagesse.

Jean-François Haumont - Les deux carpes (1801)

A ce qui plaît la jeunesse est docile.

Jean-François Haumont - Le sauvage américain (1801)

Que la sémillante jeunesse au plaisir se laisse emporter ; elle doit toujours respecter le doux repos qui plaît à la vieillesse.

Jean-François Haumont - Le jeune chat et le vieux matou (1801)

La crédule jeunesse est souvent dupe de l'amour.

Jean-François Haumont - La jeune fille et le peintre (1801)

L'homme partout est inconstant, quelque douce que soit la chaîne qui l'engage.

Jean-François Haumont - Le sauvage américain (1801)

La force veut soumettre et feint de protéger ; la vertu, la candeur, savent persuader.

Jean-François Haumont - Les voyageurs, les bergers et les guerriers (1801)

De la félicité l'apparence est trompeuse.

Jean-François Haumont - La poule et la tourterelle (1801)

Pour être heureux, époux, faites votre devoir, et ne voyez jamais plus que l'on ne doit voir.

Jean-François Haumont - La femme hirondelle et Jupiter (1801)

L'ennui cruel et sa triste langueur sont inconnus dans une vie active.

Jean-François Haumont - La dame, le chapelain et la fermière (1801)

Craignez d'un ennemi les soins officieux ; s'il feint de vous servir, il est plus dangereux.

Jean-François Haumont - Zéphire et Borée (1801)

Dans le danger ne perdons pas courage : conserver le sang-froid est un grand avantage.

Jean-François Haumont - Les chasseurs, le lièvre et le cygne (1801)

Toute amitié dont la base est le crime doit finir par la haine : on en est la victime.

Jean-François Haumont - L'amitié de l'ours et du loup (1801)

Les crimes sont pesés dans la juste balance ; tôt ou tard les forfaits trouvent leur récompense.

Jean-François Haumont - Le berger et le vieux loup (1801)

Raison, humanité, sont des mots qu'un corsaire ne connaît pas dans son vocabulaire.

Jean-François Haumont - Le lièvre et le lévrier (1801)

Que les jours fortunés passent rapidement !

Jean-François Haumont - Le chardonneret et le cyprès (1801)

Un juge peut être humain, doux, aimable, mais il faut être intègre, et punir le coupable.

Jean-François Haumont - Le renard et le mouton juge (1801)

Sous un air doux craignons la fausseté : on voit plus d'un minet dans la société.

Jean-François Haumont - Orphise, son chat et son épagneule (1801)

Un propos séduisant et flatteur est le plus sûr chemin du cœur.

Jean-François Haumont - Les yeux, les lèvres et l'amour (1801)

Jouissons toujours des douceurs, des présents, des faveurs que la fortune nous donne, sans nous inquiéter de ceux qu'elle abandonne.

Jean-François Haumont - Le cavalier et le fantassin (1801)

D'un bon ami réclamer l'assistance, c'est l'obliger ; sa récompense est le plaisir d'exercer la vertu.

Jean-François Haumont - L'éléphant et le soldat (1801)

Souvent le plus beau jour finit par un orage.

Jean-François Haumont - L'oiseau et le destin (1801)

Trop d'amour-propre aveugle l'ignorant ; fuyons l'esprit fâcheux qui se croit du talent.

Jean-François Haumont - Le rossignol et le coucou (1801)

Le mariage est une union où chacun doit l'un et l'autre s'aider.

Jean-François Haumont - La vigne et le pommier sauvage (1801)

Dans un esprit léger, rarement la raison préside.

Jean-François Haumont - Le chardonneret, les oiseaux et le chasseur (1801)

Se taire et souffrir en silence, est souvent le parti que dicte la prudence.

Jean-François Haumont - Le roi d'Afrique et l'esclave (1801)

La fortune est aveugle, et souvent récompense une mauvaise action.

Jean-François Haumont - Le chardon (1801)

Toujours la bonne instruction prévient les vices du jeune âge.

Jean-François Haumont - La dame de ville et la dame de campagne (1801)

Dans la rivalité jamais on ne s'accorde.

Jean-François Haumont - Les deux chiens, le loup et le troupeau (1801)

Contentons-nous du sort que nous fit le destin.

Jean-François Haumont - La poule et la tourterelle (1801)

La fureur au sage est contraire.

Jean-François Haumont - Le philosophe et la guêpe (1801)

Mauvais conseil et gourmandise ont causé plus d'une sottise.

Jean-François Haumont - Le pigeon et la colombe messagère (1801)

Un mauvais railleur est un sot personnage.

Jean-François Haumont - Le corbeau et le coucou (1801)

L'homme toujours parle d'humanité, mais ses actions souvent prouvent sa cruauté.

Jean-François Haumont - Le jeune cerf et les deux bergères (1801)

L'utile à tout doit être préféré.

Jean-François Haumont - Le poirier, le rosier et le voyageur (1801)

La mort se plaît à la surprise.

Jean-François Haumont - Le chien trop regretté (1801)

Le temps, ce grand consolateur, apaise un peu la douleur.

Jean-François Haumont - Le chien trop regretté (1801)

Tous les vices chéris s'accueillent avec soin !

Jean-François Haumont - La vérité (1801)

Tout être abhorre l'esclavage.

Jean-François Haumont - Le rossignol et le serin (1801)

Le besoin nous unit, l'intérêt nous divise, c'est du genre humain la devise.

Jean-François Haumont - Le lévrier et le chien-couchant (1801)

Joli minois est toujours séduisant.

Jean-François Haumont - Le papillon et le mûrier (1801)

La guerre est un sot métier.

Jean-François Haumont - Le lévrier et le chien-couchant (1801)

Des conseils du méchant craignons d'être victime.

Jean-François Haumont - Le bœuf et le loup (1801)

Dans l'oisiveté fermente le crime.

Jean-François Haumont - Le bœuf et le loup (1801)

La jeunesse doit respecter le doux repos qui plaît à la vieillesse.

Jean-François Haumont - Le jeune chat et le vieux matou (1801)

Du plaisir, la jeunesse est toujours idolâtre.

Jean-François Haumont - Le jeune chat et le vieux matou (1801)

Loin des envieux, l'homme est parfaitement heureux.

Jean-François Haumont - L'homme du monde et le solitaire (1801)

La société, doux charme de la vie, fait le bonheur de l'homme et partout le convie.

Jean-François Haumont - L'homme du monde et le solitaire (1801)

Heureux l'être qui vit sans cesse loin du monde et des envieux !

Jean-François Haumont - Les deux laitues (1801)

Souvent la main qui vous caresse, vous prépare un sort affreux.

Jean-François Haumont - Les deux laitues (1801)

De deux maux, on doit éviter le plus grand.

Jean-François Haumont - Les chasseurs, le lièvre et le cygne (1801)

Dès aujourd'hui, sachez vous occuper, vous préviendrez l'ennui.

Jean-François Haumont - L'homme riche et le paysan (1801)

Le méchant n'a jamais tort, c'est la raison du plus fort.

Jean-François Haumont - La mouche et l'araignée (1801)

Chacun chez soi doit être libre.

Jean-François Haumont - Le solitaire et le geai (1801)

L'intérêt ne connaît point d'amis.

Jean-François Haumont - Le chien et le chat (1801)

La trop sémillante jeunesse croît toujours voir l'austérité dans les conseils de la sagesse.

Jean-François Haumont - Les deux carpes (1801)

Le malheur survient, hélas ! sans qu'on y pense.

Jean-François Haumont - Le lièvre et le lévrier (1801)

Les biens et les grandeurs font naître le souci.

Jean-François Haumont - Le riche malade et le pauvre en santé (1801)

L'honneur soutient la bravoure craintive.

Jean-François Haumont - Le coq et le canard (1801)

Quand il s'agit de bonne chère, un gourmand ne la refuse guère.

Jean-François Haumont - Le coq et le canard (1801)

Le bonheur passe comme un songe, c'est l'illusion du mensonge.

Jean-François Haumont - L'oiseau et le destin (1801)

Marcher tout seul est ennuyeux, on s'amuse mieux quand on est deux.

Jean-François Haumont - Le coq et le canard (1801)

L'homme, à son intérêt, mesure le bienfait.

Jean-François Haumont - La fermière et la vache (1801)

Quand on est mère, on aime tendrement.

Jean-François Haumont - La poule et les perdreaux (1801)

La liberté fait le bonheur suprême.

Jean-François Haumont - Le lapin et le perdreau (1801)

Tout être bon se fie au personnage qui sait charmer par un joli langage.

Jean-François Haumont - Le papillon et le mûrier (1801)

Le bonheur, dans le mariage, règne toujours quand on sait s'accorder.

Jean-François Haumont - La vigne et le poirier sauvage (1801)

Si les hommes sont rois de tous les animaux, qu'ils n'en soient pas les bourreaux.

Jean-François Haumont - Le ramoneur et l'hirondelle (1801)

3 - La liste des auteurs populaires :

Le dictionnaire des meilleurs auteurs français et étrangers »
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