Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Louise Colet, née Louise Révoil

Quelques mots sur l'auteur :

Photo de Louise ColetPoétesse et écrivaine française née le 15 septembre 1810 à Aix-en-Provence dans les Bouches-du-Rhône, Louise Colet, née Louise Révoil de Servannes, est décédée le 8 mars 1876 à Paris à l'âge de 65 ans. Pour de plus amples informations, lisez sa biographie sur Wikipédia.

Les 18 pensées et citations de Louise Colet :

L'amour d'une mère pour son enfant, c'est le symbole terrestre et touchant de l'amour de Dieu pour l'humanité.

Louise Colet - Constance (1837)

Ton âme est le foyer qui me brûle et m'éclaire, et je vis pour t'aimer et te plaire.

Louise Colet - Corinne à Oswald (1839)

L'amitié est une douce chose ; heureux qui trouve un cœur où son cœur se repose !

Louise Colet - Fleurs du midi, À madame *** - Paris 1834.

De mes rêves d'amour, de mes vœux superflus, je désire toujours mais je n'espère plus !

Louise Colet - Sonnet, Fleurs du midi (1834)

Qui n'a pas un amour sans limites n'aime point.

Louise Colet - Lui (1859)

L'amour maternel survit à toutes les déceptions, à toutes les blessures et à toutes les offenses.

Louise Colet - Constance (1837)

Dans un monde où l'amour se montre sans pudeur, la tristesse est pour tous un signe de froideur.

Louise Colet - Penserosa (1839)

On brille en déchirant, et l'esprit satisfait, frondeur insoucieux, rit du mal qu'il a fait.

Louise Colet - Penserosa (1839)

À tous mes sentiments ton image se mêle, elle inspire mes vers les plus harmonieux, me donne le désir de te paraître belle, et d'avoir chaque jour quelque grâce nouvelle, pour que tu m'aimes mieux.

Louise Colet - Corinne à Oswald (1839)

Pour toi, sublime et bon, qui me veux douce et tendre, mais sans éteindre en moi la poétique ardeur, qui fait qu'en t'adorant mon cœur peut te comprendre, qu'à ton sort glorieux je puis aussi prétendre, que je sens ta grandeur !

Louise Colet - Corinne à Oswald (1839)

Même absent, devant moi ta présence rayonne, et je te sens toujours marcher à mon côté ; je sais que tu me vois lorsque je fais l'aumône, et mon âme, en étant compatissante et bonne, reflète ta bonté.

Louise Colet - Corinne à Oswald (1839)

Les mots que l'on me dit, moins l'esprit et la grâce, me rappellent les tiens que je redis tout bas, l'air qui vient m'effleurer c'est ton souffle qui passe, et pour moi, chaque bruit qui glisse dans l'espace, c'est le bruit de tes pas.

Louise Colet - Corinne à Oswald (1839)

Si j'accepte l'encens de ce monde frivole, il s'épure en mon cœur pour remonter vers toi, vers toi qui de l'amour m'as donné l'auréole, vers toi mon seul orgueil, vers toi ma seule idole, ma seule gloire à moi !

Louise Colet - Corinne à Oswald (1839)

Sois béni de m'aimer, car tu m'as rajeunie ! Je sens un noble orgueil d'avoir su te charmer : Ton amour me révèle une sphère infinie ; je crois à ma beauté, je crois à mon génie, puisque tu sais m'aimer !

Louise Colet - Corinne à Oswald (1839)

Ton amour m'a donné comme un second baptême, ton amour, c'est ma foi.

Louise Colet - Corinne à Oswald (1839)

T'aimer est un bien, car depuis que je t'aime, mon être se transforme en aspirant à toi.

Louise Colet - Corinne à Oswald (1839)

De tout ce qui t'est cher je veux être l'emblème.

Louise Colet - Corinne à Oswald (1839)

L'amour maternel est intarissable, il résiste à toutes les épreuves.

Louise Colet - Constance (1837)

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