Si les femmes étaient aussi exigeantes dans le choix de leurs amants qu'elles le sont dans celui d'une paire de bas, elles auraient moins d'embêtements.
L'amoureuse aime à être entourée, enveloppée, relancée, serrée de près jusque dans son sommeil. C'est pourquoi elle poursuit de ses soins l'homme, qui déteste cela.
Que de filles se croient amoureuses, qui ne sont que curieuses !
Amour : ce qui demeure quand on a oublié toutes les raisons d'aimer.
Êtes-vous mécontent de votre situation ? Au lieu d'envier ceux qui gagnent assez d'argent pour ne pas s'inquiéter des fins de mois, accompagnez-les de vos bons vœux.
Ah ! qu'il est donc difficile à l'être humain d'admettre l'espérance ! Combien se plaignent de ne pas être heureux, qui refusent le bonheur ou ne se donnent pas la peine d'étendre la main pour le prendre quand il passe à leur portée !
On doit persévérer contre vents et marées à espérer le bonheur, à croire à notre réussite.
La conscience est le don le plus précieux que Dieu ait fait à l'homme.
Un homme et une femme qui s'aiment seront d'autant plus heureux, d'autant plus rayonnants, qu'ils seront, dans leurs rapports sexuels, des gourmets, et non pas des gloutons.
Il n'y a pas de situations désespérées. Calmement, obstinément, maintenez intangible votre certitude de succès sur le plan de l'esprit. Vous ne devez jamais vous tenir pour vaincu.
Mieux vaut perdre ses illusions de bonne heure, on a ainsi plus de temps pour les retrouver.
À celui qu'elle aime, toute femme écrit la lettre qu'elle voudrait recevoir.
L'amour se mesure au besoin de la présence.
Dans les âmes fortes, l'amour se glisse par les points faibles.
Plus l'instinct sexuel est fort, mieux la virilité ou la féminité sont bien définies, plus l'homme sera capable de s'attacher à une seule femme, et la femme à un seul homme.
L'homme s'attache par le plaisir qu'il donne encore plus que par celui qu'il prend.
Un être humain ne saurait pas, sans sottise, prétendre tout savoir.
Les moments de solitude sont précieux pour faire le point avec soi-même dégagé des obligations.
La solitude prolongée renforce l'égoïsme.
Le mariage ne vit que de réalités, mais celles-ci sont bien trop pures pour se révéler aux nigauds.
Il est moins pénible de dire : Je m'en vais, que d'entendre : Allez-vous-en.
On n'a rien dit tant qu'on n'a pas tout dit.
Lèvre à lèvre, cœur à cœur.
Mieux vaut un bon collage qu'un sot mariage.
On n'a qu'une mère, qu'une maman, j'adore la mienne.
Une certaine ardeur physique peut donner l'illusion du bonheur.
Une fille très courageuse élève dignement son fils.
Une femme courageuse souffre de ne pas trouver dans son compagnon le soutien efficace.
La vie en « petite bande » fait tort aux filles : la plus délicate se met au niveau de la plus vulgaire.
Au lieu de jouer les rabat-joie, imprégnez-vous d'espérance au contact de vos enfants.
Un idéal et de la volonté vous assurent de tout dominer.
On ne m'avait jamais expliqué la différence entre un homme qui aime une femme et celui qui ne voit en elle qu'un objet de plaisir : lorsque j'ai senti la nuance, il était trop tard, j'étais enceinte.
Bien malin qui saura déceler la ligne de démarcation entre l'admiration et l'amour !
Chacun doit faire des concessions ; le premier malentendu de la chaîne est souvent le mariage.
Dans l'amour, la tendresse rend légères toutes concessions.
Dans l'amour, les qualités de l'un compensent les défauts de l'autre, les concessions ne coûtent point.
Le bel amour dure éternellement quand deux êtres bien accordés ne font qu'un.
C'est un sacrilège que de faire de l'amour une noire fatalité où s'engloutissent nos espoirs légitimes.
L'amour est dynamique, il est constructif, il est par excellence créateur de joie.
Un ami me demandait : Les femmes ont-elles plus de plaisir que les hommes à faire l'amour ? Interloquée, je lui expliquai que, n'étant pas hermaphrodite, je manquais d'éléments de comparaison !