Les citations célèbres de Napoléon Bonaparte :
Un rien bien souvent a décidé des plus grands évènements.
Du sublime au ridicule, il n'y a qu'un pas.
Il y a des gens qui ne sont vertueux que parce que les occasions du vice leur manquent.
Il est toujours vil et déshonorant de calomnier celui qui est malheureux.
Les âmes fortes repoussent la volupté, comme les nautoniers évitent les écueils.
L'avenir est dans le sein de Dieu.
L'estime de ses contemporains est un bien plus réel que l'admiration de la postérité.
Ce que l'on appelle loi naturelle, n'est que celle de l'intérêt et de la raison.
Rien de plus impérieux que la faiblesse qui se sent appuyée de la force.
Qui n'a pas le courage de supporter l'adversité n'est pas un homme.
Un livre curieux serait celui dans lequel on ne trouverait pas de mensonge.
L'opinion fait les braves, la nature fait les intrépides.
Le courage affermit un trône ; la lâcheté, l'infamie l'ébranlent : il vaut mieux abdiquer.
On peut s'arrêter quand on monte ; jamais quand on descend.
Tout devient facile quand on suit l'opinion.
La prudence est plus dangereuse que l'audace.
C'est un mauvais moment pour faire la paix que celui d'une défaite.
Un souverain ne doit jamais ni plier ni s'attendrir.
Vers le succès, c'est le premier pas qui coûte.
Il faut rendre justice à ceux qui la méritent.
Ce qui n'est pas naturel n'est jamais parfait.
Le droit de grâce ne doit jamais s'exercer envers les coupables.
Tout transaction avec le crime devient un crime.
Rien ne gâte la confiance comme la prévoyance d'un changement.
Il n'y a qu'un secret pour mener le monde, c'est d'être fort.
Rien ne marche dans un système politique où les mots jurent avec les choses.
Une loi qui ne connaît point d'exception est toujours juste.
La gloire ne s'obtient que sur les champs de bataille.
Il faut faire bonne mine à mauvais jeu.
Toute armée qui ne se recrute pas finit toujours par capituler.
La volonté dépend de la trempe de l'individu ; il n'appartient pas à chacun d'être maître chez lui.
La première des vertus est le dévouement à la patrie.
On ne conduit le peuple qu'en lui montrant un avenir : un chef est un marchand d'espérance.
Un homme qui se noie s'accroche à toutes les branches.
Il est plus facile de citer que d'imiter.
Ce n'est plus aux paroles qu'il faut s'en tenir, il faut analyser les actions.
Mieux vaut en finir tout d'un coup que de poser le glaive.
Les conseils des femmes sont funestes.
On ne change et réforme pas les états avec une conduite molle.
L'art d'être tantôt très audacieux et tantôt très prudent est l'art de réussir.