Les meilleures citations de Napoléon Bonaparte :
On ne conduit le peuple qu'en lui montrant un avenir : un chef est un marchand d'espérance.
Un homme qui se noie s'accroche à toutes les branches.
Il est plus facile de citer que d'imiter.
Mieux vaut en finir tout d'un coup que de poser le glaive.
Les conseils des femmes sont funestes.
On ne change et réforme pas les états avec une conduite molle.
L'art d'être tantôt très audacieux et tantôt très prudent est l'art de réussir.
L'abdication d'un souverain est une ironie ; il abdique le jour où son autorité est méconnue.
On ne devient pas athée par souhait.
Nulle société ne peut exister sans morale.
Sans la religion on marche continuellement dans les ténèbres.
La religion catholique est la seule qui puisse procurer un bonheur véritable à une société.
Le plus dangereux conseiller, c'est l'amour-propre.
La sévérité prévient plus de fautes qu'elle n'en réprime.
L'amour est une sottise faite à deux.
La vie est un songe léger qui se dissipe.
Le meilleur moyen de tenir sa parole est de ne jamais la donner.
La diplomatie est la police en grand costume.
Vous devez tout voir, tout entendre et tout oublier.
L'impossible est le refuge des poltrons.
La plus grande des immoralités est de faire un métier qu'on ne sait pas.
La pauvreté, les privations et la misère sont l'école du bon soldat.
On peut s'arrêter quand on monte, jamais quand on descend.
La France, c'est le français quand il est bien écrit.
Le doute est l'ennemi des grandes entreprises.
La morale est bien souvent le passeport de la médisance.
Les affaires interminables sont celles où il n'y a pas de difficultés.
Avec de l'audace, on peut tout entreprendre, on ne peut pas tout faire.
Le plus grand péril se trouve au moment de la victoire.
L'abus de la propriété doit être réprimé toutes les fois qu'il nuit à la société.
La vraie sagesse des nations est l'expérience.
Le dieu de la guerre est toujours du côté des gros bataillons.
Nous autres Français, il faut que nous nous riions de tout et toujours.
On ne fait pas de républiques avec de vieilles monarchies.
Sous la république, il faudrait que les gouvernants fussent des dieux et les gouvernés des anges.
La propriété, c'est son inviolabilité dans la personne de celui qui la possède.
Rien de plus impérieux que la faiblesse qui se sent étayée de la force : voyez les femmes.
Les impôts ne sont que de l'argent prêté ; ils viennent du peuple, il faut qu'ils retournent au peuple.
Toute faction est un composé de dupes et de fripons.
Combien d'hommes supérieurs sont enfants plusieurs fois dans la journée !
Dix personnes qui parlent font plus de bruit que dix mille qui se taisent : voilà le secret des aboyeurs de tribune.
Pour être heureux, le mariage exige un continuel échange de transpirations.
L'imagination gouverne le monde.
L'avenir d'un enfant est l'oeuvre de sa mère.
Une belle femme plaît aux yeux, une bonne femme plaît au coeur ; l'une est un bijou, l'autre un trésor.
L'honneur d'un souverain ne doit jamais être en contradiction avec le bonheur de son pays.
La foule qui me contemple avec admiration, me ferrait de la même manière monter à l'échafaud.
La force, quand on ne peut faire autrement : quand on est maître, justice vaut mieux.
Les plus forts ne traitent pas, ils dictent des conditions, et on y obéit.
Qui sait flatter sait aussi calomnier.
Le coeur d'un homme d'état doit être dans sa tête.
Les hommes sont comme les chiffres : ils n'acquièrent de valeur que par leur position.
La bravoure procède du sang, le courage vient de la pensée.
Une société sans religion est comme un vaisseau sans boussole.
Le temps est le grand art de l'homme.
La plus vraie des sagesses est une détermination ferme.
On ne peut pas faire semblant d'être courageux.
Il y a des vices et des vertus de circonstance.
Pour une femme qui nous inspire quelque chose de bien, il y en a cent qui nous font faire des sottises.
Le mensonge n'est bon à rien, puisqu'il ne trompe qu'une fois.
Le bonheur tient aux événements, la félicité tient aux affections.
La vengeance qu'on exerce sur le méchant est une réparation qu'on fait à la vertu.
Les vieillards qui conservent les goûts du jeune âge perdent en considération ce qu'ils gagnent en ridicule.