À vingt ans on aime à tous vents, rien ne peut détruire un cœur de vingt ans.
Tes yeux sont des îles où mes rêves s'exilent.
Ton nom résonne dans ma tête aussi beau qu'un poème, aussi doux qu'un je t'aime.
J'aime quand tes yeux couleur de brume me font un manteau de douceur.
J'en ai brisé des cœurs bien malgré moi, avec des fleurs et toujours de bonne foi.
Les gentils ça louvoie, méfie-toi, ça file entre les doigts.
Je voulais juste te faire rêver un peu, t'emmener vers un ailleurs moins désespérant.
Tes yeux sont des poèmes qui se lisent en silence, tes yeux sont ma chance quand ils disent je t'aime.
Un sourire ne coûte que le plaisir de le cueillir.
Pour brûler du même feu, il suffit d'une caresse.
Tes yeux sont des ailleurs aux rives d'un été, qui rallument en mon cœur des soleils oubliés.
Quelle drôle d'idée de vouloir vivre avec moi, alors que moi-même je n'y parviens pas.
Tout peindre en bleu n'est que du pipeau pour endormir les braves gens.
Viens ma douceur, prends ta place dans mon cœur.
Le sourire se porte été comme hiver ; tout devient gris quand on le perd.
Y'a pas plus gentil que moi, on dit ça, mais suis-je celui qu'on croit, méfie-toi !
Qu'il est difficile d'être heureux, qu'il est difficile d'être deux, s'habiller d'un seul et même amour, le tisser au fil de chaque jour.
Amour fané, amour cassé.
Nos regards se sont croisés, et l'un dans l'autre on s'est trouvés.
À toi, à moi, à notre amour, au temps qui veut qu'on se ressemble ; à toi, à moi, jour après jour, à la chance de vieillir ensemble.
À nous deux pour longtemps, toujours passionnément.
Petit amour deviendra grand, tout doucement avec le temps.
Le sourire ne coûte que le plaisir de l'offrir.