Les proverbes américains.

Trois gardent un secret, pourvu que deux soient morts.

Les baisers sont le langage de l'amour.

Le temps est le détroit de deux éternités.

Tous les jours d'ivresse ont leur lendemain.

Un peu d'absence fait beaucoup de bien.

Chaque oiseau est connu par ses plumes.

Fidèle pour peu, fidèle pour beaucoup.

La main d'un mendiant n'a pas de fond.

La mauvaise compagnie est le filet du diable.

Les heures agréables volent vite.

L'attention est la mère de la mémoire.

Un âne est un âne quoique chargé d'or.

Un sou économisé est un sou gagné.

Une armée sans tête se bat mal.

Les bonnes armes sont la moitié de la bataille.

L'amour offensé est le plus terrible.

Une bonne enclume ne craint pas le marteau.

La colère n'est jamais sans raison, mais rarement bonne.

Une bonne action revient mille fois.

Les petits anges deviennent de grands diables.

L'ambition n'obéit à aucune loi.

Si vous devez demander le prix, ce n'est pas dans vos moyens.

Il n'y a pas de petites étapes dans les grandes affaires.

La bouche ivre révèle les secrets du cœur.

La nécessité aiguise l'esprit.

La joie n'est pas dans les choses, elle est en nous.

Chaque homme juge les autres par lui-même.

L'adversité est la véritable école de la vie.

L'absence est la mère des désillusions.

La hâte fait les échecs.

Certains jours sont plus sombres que d'autres.

On peut s'habituer à tout, même à la pendaison.

Un baiser et un verre d'eau n'est qu'un petit déjeuner insipide.

La morsure du flatteur est un poison.

Les flatteurs sont des chats qui te lèchent par devant, et te griffent par derrière.

L'obscurité et la lumière ne peuvent vivre ensemble.

Tout le monde ne peut pas être le premier.

La paresse marche si lentement que la misère bientôt la rattrape.

Si un homme tombe une fois, tous ses envieux lui marcheront dessus.

Un excellent moyen d'être content de son sort est de le comparer à un plus mauvais.