Les plus beaux messages d'amour.

1 - Des petits messages à personnaliser :

Les beaux messages d'amour Toi, tu es un romantique et fou amoureux, c'est ça ? Elle en a de la chance ta douce et belle ! De moi à toi, le romantisme se perd de nos jours. Rares sont les hommes qui envoient un petit mot doux à leur chérie ! Alors, je t'explique : Note sur une feuille de papier 2 ou 3 phrases de ton choix, fais travailler un peu tes méninges de manière à personnaliser tes écrits pour ta chérie, recopie le tout sur ton portable en ayant au préalable sélectionné le bon numéro (Hé oui, ce serait ballot de se gourer de personne !), et appuie ensuite sur la touche Envoyer : Ayé, ta douce et bien-aimée vient de recevoir ton SMS message d'amour ! C'est simple non ?

2 - Les 29 exemples de messages pour écrire à ta douce et belle.

Ma fleur d'amour, mon adorée, sache qu'il y a dans mon âme un immense amour. Que tu remplis mon cœur et ma vie, et si je ne t'exprime pas toujours bien cet amour, rien ne l'altérera. Mon amour pour toi fleurira toujours plus beau, plus gracieux, parce que c'est un amour vrai, et que le véritable amour va toujours croissant. C'est une belle fleur, à longues années, plantée dans mon cœur, et qui étend ses palmes et ses rameaux, qui double à chaque saison ses belles grappes, ses parfums ; rien ne froissera ni son écorce ni ses feuilles délicates, il grandira dans nos deux cœurs, aimé, libre, soigné comme une vie dans notre vie, une seule vie ! Oh, que je t'aime ! et quel baume cet amour répand sur moi : Tu es ma force.

Honoré de Balzac - Lettre à Ewelina Hańska (1833)

Mon amour, je n'ai jamais aimé comme je t'aime, avec une telle tendresse - jusqu'aux larmes - et avec un sentiment aussi radieux. Je souhaite par-dessus tout que tu sois heureuse et il me semble que ce bonheur, je pourrais te le donner, un bonheur simple, ensoleillé, et pas tout à fait ordinaire. Je veux simplement te dire que je n'imagine pas la vie sans toi, de rester deux jours sans te voir. Je t'aime, je te veux, j'ai insupportablement besoin de toi. Tes yeux qui brillent d'émerveillement, quand, la tête rejetée en arrière, tu racontes quelque chose de drôle, tes yeux, ta voix, tes lèvres, tes épaules – si légers, si lumineux. Tu es entrée dans ma vie, non comme on rend visite, mais comme on arrive dans un royaume où toutes les rivières attendaient ton reflet et toutes les routes tes pas. Bonne nuit mon amour, je t'aime.

Vladimir Nabokov - Lettre à Véra (1923)

Mon ange aimé, quand nous vivons cœur à cœur, quand rien ne nous sépare, quand nos caresses nous servent si souvent de langage, et que nos paroles sont aussi des caresses, j'aime ces doux moments. De toi tout me plaît. Aime-moi comme je t'aime.

Honoré de Balzac - La femme abandonnée (1833)

Tu me donnes tellement d'amour, comment veux-tu que je ne t'aime pas ? Tu as un pouvoir d'attraction à faire dresser les pierres au son de ta voix. Tes mots me remuent jusqu'aux entrailles. N'aie pas peur que je t'oublie ! On ne quitte pas les natures comme la tienne, ces natures émues, émouvantes, profondes. La douceur de tes mots me passe dans le sang. Adieu ma sultane. Je t'envoie un bien long baiser, et bien d'autres encore.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Aime-moi toujours, car moi je t'aime sans cesse. Je t'envoie mille baisers sur ta jolie gorge, sur ton corps que tu offres à mes lèvres avec un si doux sourire quand tu me dis : « Je te plais donc ? M'aimes-tu ? » Si tu me plais, si je t'aime ? Un sourd qui me verrait t'écrire le saurait, il n'aurait qu'à me regarder. Je bois avec extase les longues effluvions de ta prunelle fixée sur la mienne. Encore adieu, mille amours.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Si tu savais comme mes jours sont longs et comme mes nuits sont froides loin de toi, veuves qu'elles sont de toute félicité d'amour ! Je ne fais plus rien, je ne lis plus, je n'écris même plus. Je ne pense qu'à toi, à nous. Je goûte dans ta pensée tant de douceur, je retourne avec un charme si profond ton souvenir dans mon cœur ! Vingt fois par jour je te replace sous mes yeux, avec les robes que je te connais, les airs de tête que je t'ai vus. Je te déshabille et te rhabille tour à tour. Je revois ta jolie tête à mes côtés sur mon oreiller, ta bouche s'avance, tes bras m'entourent. Je t'aime de plus en plus, je voudrais te le redire toujours, te le prouver sans cesse. Adieu, mille baisers partout. À toi celui que tu aimes et qui t'aime.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Tu me donnes tout mon ange, ton cœur, ton corps, ton amour. Je suis heureux ! Oui heureux, je le répète. Tu m'apparais toujours dans ma pensée avec une douceur exquise. Ton cœur est comme ta peau d'une suavité chaude, étonnante. Aujourd'hui c'est ta fête, pour te la souhaiter je t'envoie pour bouquet le meilleur de mes baisers. Adieu, et encore un baiser sur ta bouche où je puise ton âme.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Tu m'as mis tant de joie aujourd'hui dans le coeur qu'il m'en reste ce soir quelque chose. Ton souvenir m'est radieux, doux, attendrissant. Je revois l'expression heureuse de ton beau visage quand je te regardais de près. Sais-tu que je vais finir par ne plus pouvoir vivre sans toi ? La tête parfois m'en tourne. Ton image m'attire, ton contact me donne le vertige. Comment tout cela va devenir ? N'importe, aimons-nous, aimons-nous. C'est si doux et si bon de s'aimer. Adieu, tendres baisers sur tes lèvres.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Oh ! je veux, quand je te reverrai, je veux te couvrir d'amour, de voluptés, d'ivresse ; je veux te gorger de toutes les félicités de la chair, t'en rendre lasse, t'en faire mourir – je veux que tu sois étonnée de moi et que tu t'avoues dans l'âme que tu n'avais même pas rêvé des transports pareils. Je veux que tu sois heureuse. Je veux que, dans ta vieillesse, tu te rappelles ces quelques heures-là et que tu en frémissent de joie en y repensant. Adieu, je te mords ta lèvre. Mille baisers, à lundi, je réapprendrai la saveur des tiens.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Sais-tu que tu es mon bonheur ? Tu es toute entière faite de petits mouvements déliés et j'aime chacun d'entre eux. Tu as déjà pensé à l'étrange facilité avec laquelle nos vies se sont mêlées ? Comme si Dieu, s'ennuyant au paradis, avait réussi ce qui marche rarement. J'aime en toi cette merveilleuse réceptivité, comme s'il y avait dans ton âme une place toute prête pour chacune de mes pensées. Tu sais, je n'ai jamais eu une telle confiance en qui que ce soit. Dans tout ce qui est féerique il y a une part de confiance. Je t'embrasse mon bonheur, et tu ne peux pas m'empêcher de t'aimer.

Vladimir Nabokov - Lettre à Véra (1923)

Oh qu'il est loin ce passé si récent ! Il y a des siècles entre hier et maintenant. Hier j'étais avec toi, nous étions ensemble ! Comme le temps était triste au soir quand je t'ai quittée. Il pleuvait. Il y avait des larmes dans l'air. Le temps était sombre. Je repense à cette merveilleuse journée passée ensemble, toi avec ta robe de soie, ouverte, et la dentelle qui serpentait sur ta poitrine. Ton visage si souriant, ébahi d'amour et d'ivresse. Comme tes yeux doux brillaient ! Il y a 24 heures, t'en souviens-tu ? Adieu, adieu, mille baisers d'amour. – Si tu étais là je t'en donnerais comme je t'en ai donné hier. J'ai encore soif de toi, je ne suis pas assouvi !

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Je suis rassasié de tendresses, et j'en veux toujours ! De ton amour je ne puis en rêver un plus complet, plus entier, plus beau. Quel irrésistible penchant m'a poussé vers toi ? J'ai vu le gouffre un instant, j'en ai compris l'abîme, puis le vertige m'a entraîné. Comment ne pas t'aimer, toi si douce, si aimante, toi si belle ! Tu as fait dans mon existence une large brèche. Je m'étais entouré d'un mur stoïque, mais un de tes regards l'a emporté comme un boulet. Je vois ton beau front blanc ; sais-tu que tu as un front sublime ? – Trop beau même pour être baisé, un front pur et élevé, tout brillant de ce qu'il renferme. Adieu, mille baisers d'amour. – Si tu étais là je t'en donnerais encore davantage.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Ce que je veux de toi je n'en sais rien. Mais ce que je veux moi c'est t'aimer, t'aimer mille fois plus. Oh ! si tu pouvais lire dans mon cœur tu verrais la place où je t'ai mise ! Que j'étais si bien hier à tes côtés, confiant, serein, joyeux comme un soleil d'été entre deux ondées. Il me semble aujourd'hui que je suis encore à humer ton épaule et la douce chaleur de ton bras nu. Allons ! voilà des idées de volupté et de caresses qui me reprennent, mon cœur bondit à ta pensée. Je convoite tout ton être, j'évoque ton souvenir pour qu'il assouvisse ce besoin qui crie au fond de mes entrailles, que n'es-tu pas là ! Adieu ma sultane. Je t'envoie un long, un bien long baiser, et bien d'autres encore.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Je suis à trente-trois lieues de distance de toi, et quand tu es triste, hélas ! je ne peux essuyer les larmes qui coulent de tes beaux yeux, et toi tu ne peux voir mes sourires quand je reçois tes lettres, ni la joie qui est sur mon visage quand je pense à toi ou quand je regarde ton portrait. Ton portrait, oui, avec ses longues papillotes caressantes, celles-là mêmes qui m'ont passé sur les joues. Je t'aime, je t'aime, entends-tu ? Faut-il le crier plus fort encore ? Je viens de me promener sous les arbres et je t'ai souhaitée, appelée, nous eussions fait une belle promenade en te tenant par la taille ; je rêvais à la blancheur de ta figure se détachant sur l'herbe verte pâlement éclairée, au bleu de tes yeux humides et pétillants de lumière comme le bleu tendre du ciel de cette nuit. Aime-moi toujours, va, prends-moi pour un fou, pour tout ce que tu voudras, mais aime-moi encore, aime-moi toujours.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Le soir à l'hôtel, j'aime quand tu es couchée sur mon lit, les cheveux répandus sur mon oreiller, les yeux levés au ciel, blême, les mains jointes, m'envoyant des paroles folles. Et quand tu es habillée, tu es fraîche comme un bouquet. Dans mes bras je te trouve d'une douceur chaude qui amollit et qui enivre. Adieu ma sultane – je n'ai pas seulement à t'offrir une cassolette de vermeil pour faire brûler des parfums quand tu vas venir dormir dans ma couche, mais je t'offrirai tous ceux de mon cœur. Je t'envoie un bien long baiser, et bien d'autres encore.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Mon ange, tu donnes un prix inestimable à mes heures ; mon cœur ne peut s'épanouir qu'au fond de ton cœur. Que j'aime tes chères écrits ! Oh ! dis-moi tout, que je lise en ton âme comme je voudrais te faire lire en la mienne. Que j'aime tes cheveux, tes jolies mains. Tu es ma gloire la plus précieuse. Nous avons, dit-on, des étoiles aux cieux ; toi, tu es mon étoile descendue, la clarté dans laquelle je vis, la lumière vers laquelle je vais.

Honoré de Balzac - Lettre à Ewelina Hańska (1833)

Te souviens-tu de ce baiser, ce premier et long baiser d'amour que tes lèvres donnèrent à mes lèvres ? Ce soir, dans ton cou, sur tes épaules, partout sur ton joli corps, en remontant jusqu'à ta bouche que j'adore, j'en déposerai cent, mille, dix mille ! Je t'aime ma douce et belle.

Maxalexis - Je t'aime ma douce et belle (2025)

Mon bien-aimé, je suis la plus heureuse des femmes, oui, et c'est à toi que je dois un bonheur dont je ne soupçonnais pas même l'existence. Nos deux cœurs enlacés, enivrés par l'amour, battent à l'unisson ; tu m'aimes, je t'aime, o joies divines ! Mon doux amour, merci ! Hâte de te serrer ce soir contre mon cœur, et de te couvrir de tendres et coquins baisers, partout, partout. Ta douce qui t'aime éperdument.

Maxalexis - Je t'aime ma douce et belle (2025)

Sache, mon amour, que ma vie a commencé le jour seulement où tu m'as prise dans tes bras. La femme que tu as éveillée en moi, personne ne l'avait connue. Je t'aime.

Paul Bourget - Cosmopolis (1892)

Mon amour, si tu savais comme tout est vide sans toi, comme mon cœur se serre quand tu t'en vas, je n'ai plus envie de rien quand tu n'est plus près de moi, quel pouvoir tu as ! Je suis si heureuse en regardant tes beaux yeux, en sentant tes mains, en t'entendant parler. Chéri, comme j'ai envie d'être à toi, ne respirer que par toi. Je t'aime mon bel amour, je t'aime comme une folle jusqu'à en mourir, je ne veux rien d'autre sur cette terre que de te rendre heureux. Je vis pour toi, tout moi t'appartient. Prends-moi contre toi, et serre de toutes tes forces mon chéri. Ta petite à toi, ta petite qui t'aime.

Édith Piaf - Mon amour bleu (2011)

Depuis que nous nous sommes quittés, je suis triste. Mon bonheur est d'être près de toi. Sans cesse je repasse dans ma mémoire tes baisers ; et les charmes de l'incomparable femme que j'aime allument sans cesse une flamme vive et brûlante dans mon cœur et dans mes sens. Plus je te connais, et plus chaque jour je t'aime davantage.

Napoléon Bonaparte - Lettre d'amour à Joséphine (1796)

J'ai envie de te voir, de te regarder, de t'embrasser, de te câliner, de t'enlacer de mon Amour grandissant de jour en jour. Tu es délicieuse, ravissante, j'adore ta belle chevelure d'une Lumière douce et fluide, d'une douceur inégalée, la belle couleur de tes yeux, la beauté de ton Âme, tu m'as foudroyé de ton regard.

Tomy Archangel - Étincelles de mon cœur (2012)

Je pense à toi tout le temps partout, même dans la journée, entouré de monde, il n'y a que toi dans mes pensées et je ressens ton Amour jaillissant de ton cœur qui me donne la sensation de bien-être, la tendresse de ton Amour.

Tomy Archangel - Étincelles de mon cœur (2012)

À chaque fois que mon regard saisit l'éclat de tes yeux, je ne puis empêcher mon cœur de battre à tue-tête, comme s'il prenait part à une course. Chaque minute en ta présence, ma tête tourne et ma logique, si fiable pourtant, me fait défaut. Ma logique cartésienne s'effrite et perd son essence, devant la douceur de tes lèvres et leur magie qui emprisonne chaque cellule de mon être.

Renaud Olistin - Je t'aime dans mes pensées (2021)

Vivons l'instant présent, sans maudire le passé ; arrêtons les montres, bannissons les calendriers ; faisons que chaque moment soit une éternité, faisons que chaque seconde dure toute une vie : Toi et moi, nous deux, seuls en ce monde à l'infini.

Maxalexis - Des mots d'amour rien que pour toi (2013)

Je me réveille plein de toi. Ton portrait et les souvenirs de notre première rencontre n'ont laissé de repos à mes sens. Ma douce et adorable, tu es seule dans mon cœur, tu occupes tout mon esprit : Je t'aime à l'infini.

Thi Hao Tran - À toujours ma concubine (2010)

Qu'ils sont beaux les mots que tu m'envoies ! Leur rythme est doux comme les caresses de ta voix quand tu mêles mon nom dans ton gazouillage tendre. Quand le soir est venu, que je suis seul, bien sûr de n'être pas dérangé, et qu'autour de moi tout le monde dort, j'ouvre le tiroir de l'étagère ou se trouvent ton mouchoir, tes cheveux, et tes lettres ; je les relis ; il en est d'une lettre d'amour comme d'un baiser, la dernière est toujours la meilleure. Je rêve à la pose que tu dois avoir en m'écrivant et aux longs regards vagues que tu jettes en retournant les pages. Que veux-tu que j'y fasse ? Je t'aime. Je suis heureux et je suis fier de toi. Oui, heureux, je le répète ; tu m'apparais toujours dans ma pensée avec une douceur exquise. Adieu ma sultane, mille baisers d'amour.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Encore demain, et après-demain, puis nous allons nous revoir. Quand tu liras ceci il y aura 24 heures pour toi à passer avant que tu ne reçoives un baiser de celui que tu aimes et qui t'aime. Savoures-tu cette pensée comme moi, la respires-tu avec joie comme une fleur écartée qui vous envoie son vague parfum avant qu'on n'en jouisse à pleines narines ? Ah, nous serons seuls, bien seuls, à nous, dans ce village au milieu de la campagne, autour de nous le silence. Certes, une journée de bonheur c'est bien peu, n'est-ce pas, mais un beau jour illumine toute une année, et on a si peu de jours à vivre que, quand il arrive, un beau jour vaut la peine qu'on s'en réjouisse. Adieu ma toute chérie, rêvons-nous cette nuit encore. Nous nous aurons demain. Tu sais comme je t'embrasse.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

Mon amour, pense toujours que je t'aime, dis-le-toi, complais-toi dans cette idée, mets-la à part dans ton cœur, non pas pour le troubler et l'emplir jusqu'aux bords, mais pour le réchauffer et pour le pénétrer de chaleur. Fais-lui prendre un bain d'amour si tu veux, à ton pauvre cœur, mais ne le noie pas. Adieu, ma tendre aimée, mille baisers sur tes doux yeux.

Gustave Flaubert - Lettre à Louise Colet (1846)

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