Les citations célèbres de Benjamin Franklin :
Qui ne sait épargner à mesure qu'il gagne, mourra sans un sou.
Où il y a mariage sans amour, il y aura amour sans mariage.
L'oisiveté est comme la rouille ; elle use plus que le travail.
Un métier vaut un fond de terre.
Il n'y a pas de profit sans peine.
Ne remettez jamais à demain ce que vous pouvez faire aujourd'hui.
Le bon sens, tout le monde en a besoin, peu l'ont, et chacun croit l'avoir.
Quand on a bonne conscience, c'est Noël en permanence.
Si l'homme réalisait la moitié de ses désirs, il doublerait ses peines.
On peut donner un bon avis, mais non pas la bonne conduite.
Qui connaît beaucoup d'amis ne connaît rien de la vie.
Qui vit d'espérance court le risque de mourir de faim.
Dans ce monde, il n'y a rien d'assuré que la mort et les impôts.
Le malheur est bon à deux choses : à éprouver les amis, et à épurer la vertu.
On avoue quelques défauts pour faire croire qu'on n'a que ceux-là.
La paresse va si lentement que la pauvreté l'atteint bientôt.
L'oisiveté amène avec elle des incommodités et raccourcit sensiblement la durée de la vie.
II est aussi fou au pauvre de vouloir être le singe du riche, qu'il est à la grenouille de s'enfler pour devenir l'égale du bœuf : Les gros vaisseaux peuvent risquer davantage, mais les petits bateaux ne doivent s'éloigner du rivage.
La gloire qui dîne fait de son souper le mépris.
Ceux qui se plaignent le plus, sont ceux qui sont le moins à plaindre.
Un paysan sur ses pieds est plus grand qu'un gentilhomme à genoux.
Les fous deviennent rarement plus sages par leur propre malheur.
Si tu achètes ce qui est superflu pour toi, tu ne tarderas pas à vendre ce qui t'est le plus nécessaire.
L'œil du maître fait plus que ses deux mains.
Gardez votre boutique, et votre boutique vous gardera.
II faut voir ses affaires avec ses propres yeux, et ne pas trop se confier aux autres.
Avez-vous quelque chose à faire pour demain ? Faites-le aujourd'hui.
Un peu répété plusieurs fois fait beaucoup.
Il ne faut qu'une petite voie d'eau pour submerger un grand navire.
Les femmes, le vin, le jeu et la mauvaise foi diminuent la fortune, et augmentent les besoins.