L'évêque a sur son Église un pouvoir divin, propre et personnel, comme celui de l'époux sur l'épouse, du père sur les enfants, du pasteur sur les brebis. Il ne doit plus vivre que pour elle. Il lui doit toutes les pensées de son esprit, tous les mouvements de son cœur, tous les efforts de son zèle, toutes ses souffrances, toutes ses joies, tous ses désirs, toute sa fidélité, et nulle puissance humaine ne peut séparer ce que Dieu a uni.