Les citations de Jean Anouilh.

1 - Qui est Jean Anouilh ?

Photo de Jean Anouilh Biographie courte : Dramaturge, écrivain, scénariste et réalisateur français né le 23 juin 1910 à Bordeaux en Gironde, Jean Marie Lucien Pierre Anouilh, dit Jean Anouilh, meurt à l'hôpital de Lausanne, en Suisse, le 3 octobre 1987 d'une crise cardiaque, à l'âge de 77 ans. (Source : Wikipédia)

2 - Ce dictionnaire vous propose 100 citations et pensées de Jean Anouilh :

La plupart de cocus piétinent parce qu'ils s'imaginent un amant de leur femme susceptible de leur plaire, à eux.

Jean Anouilh - Colombe (1974)

Les apparences suffisent largement à faire un monde.

Jean Anouilh - Le rendez-vous de Senlis (1937)

Ah ! nos nuits d'amour ! L'union des corps et des cœurs. L'instant, l'instant unique où on ne sait plus si c'est la chair ou si c'est l'âme qui palpite.

Jean Anouilh - Eurydice (1942)

Le mariage, ma petite, c'est la robe ; après, évidemment, on a le mari !

Jean Anouilh - Poissons rouges (1970)

Nous vivons dans un monde qui a complètement perdu l'usage du point-virgule, nous parlons tous par phrases inachevées, avec trois petits points sous-entendus, parce que nous ne trouvons jamais le mot juste.

Jean Anouilh - La répétition ou l'amour puni (1947)

Le visage des vrais égoïstes est supportable ; on connaît le jeu, on est tous là pour le jouer ; mais celui des philanthropes est répugnant. On n'a pas le droit de ne penser à ce point qu'à soi-même !

Jean Anouilh - Ornifle (1955)

Les femmes sont comme la soupe, il ne faut pas les laisser refroidir.

Jean Anouilh - Ornifle (1955)

Les bonnes femmes, plus ça se lamente, plus c'est en train de penser à soi.

Jean Anouilh - Cher Antoine ou l'amour raté (1969)

C'est ça la vie, penser à rien avec des copains qu'on aime bien.

Jean Anouilh - Ne réveillez pas madame (1970)

Toute notre vie avec notre belle morale et notre chère liberté, cela consiste en fin de compte à nous accepter tels que nous sommes.

Jean Anouilh - Le voyageur sans bagage (1937)

N'aimer que soi, cela doit être bien monotone.

Jean Anouilh - Cécile ou l'école des pères (1954)

Chacun de nous a un jour, plus ou moins lointain, où il doit accepter d'être un homme.

Jean Anouilh - Antigone (1944)

Qui casse un œuf, casse un bœuf !

Jean Anouilh - Les pièces farceuses, La culotte (1978)

Pas de pitié : Les affaires sont les affaires.

Jean Anouilh - Le boulanger, la boulangère et le petit mitron (1968)

Le bonheur est un exercice solitaire.

Jean Anouilh - La répétition ou l'amour puni (1947)

Les hommes ne sont qu'une pâte que les femmes pétrissent à leur gré.

Jean Anouilh - Cécile ou l'école des pères (1954)

Depuis qu'il y a des hommes et des femmes, l'amour les colle deux à deux !

Jean Anouilh - Jézabel (1932)

Les femmes sont ivres de pardon.

Jean Anouilh - Ornifle ou le courant d'air (1955)

Soyez donc bons à quelque chose, et vous serez toujours aimés !

Jean Anouilh - La valse des toréadors (1952)

Les femmes sont à qui les prend et les garde !

Jean Anouilh - La valse des toréadors (1952)

Faire l'amour avec une femme qui ne vous plaît pas, c'est aussi triste que de travailler !

Jean Anouilh - L'hermine (1932)

Il y a des fidélités qui ne sont qu'à soi-même.

Jean Anouilh - L'Hurluberlu ou le Réactionnaire amoureux (1957)

Dieu pardonnera à tout le monde, sauf aux médiocres.

Jean Anouilh - Pauvre Bitos ou Le dîner de têtes (1956)

Les confidences ne soulagent que celui qui les fait.

Jean Anouilh - La répétition ou l'amour puni (1947)

Une confidence se donne, mais ne se demande pas.

Jean Anouilh - L'hermine (1932)

On n'est vieux que le jour où on le décide.

Jean Anouilh - La valse des toréadors (1952)

Il est très difficile de s'élever au-dessus de certains médiocres et de conserver leur estime.

Jean Anouilh - Pauvre Bitos ou Le dîner de têtes (1956)

Pauvres enfants ! c'est toujours eux qui paient les bêtises des grands, en attendant d'être en âge de faire soigneusement les mêmes.

Jean Anouilh - Ne réveillez pas madame (1970)

L'amour s'enlise dans la vie de tous les jours.

Jean Anouilh - Cécile ou l'école des pères (1954)

L'amour est chaque matin une chose nouvelle à conquérir.

Jean Anouilh - Cécile ou l'école des pères (1954)

Las ! que mon cœur pèse d'être sans amour !

Jean Anouilh - L'alouette (1953)

Le monde est plein de midinettes prêtes à adorer les princes quels qu'ils soient.

Jean Anouilh - La répétition ou l'amour puni (1947)

Si tes amants t'ennuient, marie-toi, cela leur donnera du piquant.

Jean Anouilh - Le bal des voleurs (1932)

Tout dans la vie est une question de volonté.

Jean Anouilh - L'hermine (1932)

Les femmes ont toujours pitié des blessures qu'elles n'ont pas faites elles-mêmes.

Jean Anouilh - Pauvre Bitos ou Le dîner de têtes (1956)

À force de n'être de nulle part, on finit par se croire de partout.

Jean Anouilh - L'invitation au château (1947)

À force de penser, tu te trouveras devant un problème.

Jean Anouilh - Becket ou l'honneur de Dieu (1959)

La dispute conjugale est un art, un art très ancien et très respectable.

Jean Anouilh - Poissons rouges (1970)

Je ne saurai jamais si tu m'aimes vraiment et ce que cachent tes sourires ; et s'il t'advient de t'absenter une heure un jour, un ver me rongera le cœur à jamais. Car tu mentiras toujours et tu seras pour moi un éternel mystère... C'est cela vivre ! C'est cela être femme et aimer !

Jean Anouilh - Cécile ou l'école des pères (1954)

D'attendre celui qu'on aime, que c'est bon.

Jean Anouilh - Cher Antoine ou l'amour raté (1969)

Je n'aime, au fond, que les honnêtes femmes, il n'y a qu'elles qui font l'amour.

Jean Anouilh - Le boulanger, la boulangère et le petit mitron (1968)

S'il y avait des bordels d'honnêtes femmes, j'y passerais ma vie.

Jean Anouilh - Le boulanger, la boulangère et le petit mitron (1968)

Les pauvres, qui se plaignent toujours, ont moins de tracas pour gratter quatre sous que les riches.

Jean Anouilh - Ardèle ou la Marguerite (1948)

Il y a l'amour bien sûr, et puis il y a la vie, son ennemie.

Jean Anouilh - Ardèle ou la Marguerite (1948)

Mon fils est un imbécile, c'est tout le portrait de son pauvre père !

Jean Anouilh - Ne réveillez pas madame (1970)

On est fidèle à soi-même, et c'est tout.

Jean Anouilh - L'invitation au château (1947)

Les plaisirs ne sont jamais vains, au moins pendant la minute où on les goûte.

Jean Anouilh - Ornifle ou le courant d'air (1955)

L'inspiration, c'est une invention des gens qui n'ont jamais rien créé.

Jean Anouilh - Ornifle ou le courant d'air (1955)

Comme on juge sur les apparences, trop vite, toujours !

Jean Anouilh - La répétition ou l'amour puni (1947)

On ne doit jamais battre une femme, même avec une fleur !

Jean Anouilh - Tu étais si gentil quand tu étais petit (1972)
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