Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Jean Anouilh (2)

Les citations célèbres de Jean Anouilh :

Qui casse un œuf, casse un bœuf !

Jean Anouilh - Les pièces farceuses, La culotte (1978)

Pas de pitié : Les affaires sont les affaires.

Jean Anouilh - Le boulanger, la boulangère et le petit mitron (1968)

Le bonheur est un exercice solitaire.

Jean Anouilh - La répétition ou l'amour puni (1947)

Les hommes ne sont qu'une pâte que les femmes pétrissent à leur gré.

Jean Anouilh - Cécile ou l'école des pères (1954)

Depuis qu'il y a des hommes et des femmes, l'amour les colle deux à deux !

Jean Anouilh - Jézabel (1932)

Les femmes sont ivres de pardon.

Jean Anouilh - Ornifle ou le courant d'air (1955)

Soyez donc bons à quelque chose, et vous serez toujours aimés !

Jean Anouilh - La valse des toréadors (1952)

Les femmes sont à qui les prend et les garde !

Jean Anouilh - La valse des toréadors (1952)

Faire l'amour avec une femme qui ne vous plaît pas, c'est aussi triste que de travailler !

Jean Anouilh - L'hermine (1932)

Il y a des fidélités qui ne sont qu'à soi-même.

Jean Anouilh - L'Hurluberlu ou le Réactionnaire amoureux (1957)

Dieu pardonnera à tout le monde, sauf aux médiocres.

Jean Anouilh - Pauvre Bitos ou Le dîner de têtes (1956)

Les confidences ne soulagent que celui qui les fait.

Jean Anouilh - La répétition ou l'amour puni (1947)

Une confidence se donne, mais ne se demande pas.

Jean Anouilh - L'hermine (1932)

On n'est vieux que le jour où on le décide.

Jean Anouilh - La valse des toréadors (1952)

Il est très difficile de s'élever au-dessus de certains médiocres et de conserver leur estime.

Jean Anouilh - Pauvre Bitos ou Le dîner de têtes (1956)

Pauvres enfants ! c'est toujours eux qui paient les bêtises des grands, en attendant d'être en âge de faire soigneusement les mêmes.

Jean Anouilh - Ne réveillez pas madame (1970)

Malgré les emmerdements multiples de ma vie, j'ai toujours conservé un solide appétit !

Jean Anouilh - Les pièces farceuses, La culotte (1978)

L'amour s'enlise dans la vie de tous les jours.

Jean Anouilh - Cécile ou l'école des pères (1954)

L'amour est chaque matin une chose nouvelle à conquérir.

Jean Anouilh - Cécile ou l'école des pères (1954)

Las ! que mon cœur pèse d'être sans amour !

Jean Anouilh - L'alouette (1953)

Le monde est plein de midinettes prêtes à adorer les princes quels qu'ils soient.

Jean Anouilh - La répétition ou l'amour puni (1947)

Les femmes ont toujours pitié des blessures qu'elles n'ont pas faites elles-mêmes.

Jean Anouilh - Pauvre Bitos ou Le dîner de têtes (1956)

À force de n'être de nulle part, on finit par se croire de partout.

Jean Anouilh - L'invitation au château (1947)

À force de penser, tu te trouveras devant un problème.

Jean Anouilh - Becket ou l'honneur de Dieu (1959)

Je n'aime pas baiser la main des dames ; elles sentent toujours un peu l'oignon.

Jean Anouilh - L'Hurluberlu ou le Réactionnaire amoureux (1957)

D'attendre celui qu'on aime, que c'est bon.

Jean Anouilh - Cher Antoine ou l'amour raté (1969)

Je n'aime, au fond, que les honnêtes femmes, il n'y a qu'elles qui font l'amour.

Jean Anouilh - Le boulanger, la boulangère et le petit mitron (1968)

S'il y avait des bordels d'honnêtes femmes, j'y passerais ma vie.

Jean Anouilh - Le boulanger, la boulangère et le petit mitron (1968)

Les pauvres, qui se plaignent toujours, ont moins de tracas pour gratter quatre sous que les riches.

Jean Anouilh - Ardèle ou la Marguerite (1948)

Il y a l'amour bien sûr, et puis il y a la vie, son ennemie.

Jean Anouilh - Ardèle ou la Marguerite (1948)

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