Les 29 pensées et citations de Molière :Quand sur une personne on prétend se régler, c'est par les beaux côtés qu'il faut lui ressembler.Molière - Les femmes savantes, I, 1, le 11 mars 1672.Raisonner est l'emploi de toute ma maison, et le raisonnement en bannit la raison.Molière - Les femmes savantes, II, 7, le 11 mars 1672.La poule ne doit point chanter devant le coq.Molière - Les femmes savantes, V, 3, le 11 mars 1672.Le savoir, dans un fat, devient impertinent.Molière - Les femmes savantes, IV, 3, le 11 mars 1672.Un sot savant est sot plus qu'un sot ignorant.Molière - Les femmes savantes, IV, 3, le 11 mars 1672.En faits comme en propos la science est sujette à faire de grands sots.Molière - Les femmes savantes, IV, 3, le 11 mars 1672.Une mère a sa part à notre obéissance.Molière - Les femmes savantes, III, 8, le 11 mars 1672.Une mère a sur nous une entière puissance.Molière - Les femmes savantes, III, 7, le 11 mars 1672.La beauté du visage est un frêle ornement, une fleur passagère, un éclat d'un moment.Molière - Les femmes savantes, III, 6, le 11 mars 1672.Chacun fait ici-bas la figure qu'il peut ; et bel esprit, il ne l'est pas qui veut.Molière - Les femmes savantes, III, 2, le 11 mars 1672.Il est vrai qu'il dit plus de choses qu'il n'est gros.Molière - Les femmes savantes, III, 2, le 11 mars 1672.À prudence endormie il faut rendre les armes.Molière - Les femmes savantes, III, 2, le 11 mars 1672.J'aime la poésie avec entêtement, et surtout quand les vers sont tournés galamment.Molière - Les femmes savantes, III, 2, le 11 mars 1672.C'est une chose infâme que d'être si soumis au pouvoir d'une femme.Molière - Les femmes savantes, II, 9, le 11 mars 1672.Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage.Molière - Les femmes savantes, II, 5, le 11 mars 1672.Ma femme bien souvent a la tête un peu chaude.Molière - Les femmes savantes, II, 5, le 11 mars 1672.Qui est riche en vertu, cela vaut des trésors.Molière - Les femmes savantes, II, 4, le 11 mars 1672.On cherche ce qu'il dit après qu'il a parlé, et je lui crois, pour moi, le timbre un peu fêlé.Molière - Les femmes savantes, II, 7, le 11 mars 1672.Notre plus grand soin, notre première instance, doit être de nourrir notre esprit du suc de la science.Molière - Les femmes savantes, II, 7, le 11 mars 1672.Le corps avec l'esprit fait figure, mais l'esprit doit sur le corps prendre le pas devant.Molière - Les femmes savantes, II, 7, le 11 mars 1672.Mon corps est moi-même, et j'en veux prendre soin.Molière - Les femmes savantes, II, 7, le 11 mars 1672.Un discours grossier terriblement assomme !Molière - Les femmes savantes, II, 7, le 11 mars 1672.Je vis de bonne soupe, et non de beau langage.Molière - Les femmes savantes, I, 7, le 11 mars 1672.Quand on se fait entendre, on parle toujours bien.Molière - Les femmes savantes, II, 6, le 11 mars 1672.Mon cœur vous consacrait une flamme immortelle, mais vos yeux n'ont pas cru leur conquête assez belle.Molière - Les femmes savantes, I, 2, le 11 mars 1672.Mon cœur qui dissimule peu ne sent nulle contrainte à faire un libre aveu.Molière - Les femmes savantes, I, 2, le 11 mars 1672.Tout esprit n'est pas composé d'une étoffe qui se trouve taillée à faire un philosophe.Molière - Les femmes savantes, I, 1, le 11 mars 1672.Il nous faut obéir, ma soeur, à nos parents : un père a sur nos voeux une entière puissance.Molière - Les femmes savantes, III, 8, le 11 mars 1672.Deux époux ? C'est trop pour la coutume.Molière - Les femmes savantes, V, 3, le 11 mars 1672.