Les citations de Thomas Corneille.
1 — Qui est Thomas Corneille ?
Biographie courte : Juriste et auteur dramatique français né le 20 août 1625 à Rouen en Seine-Maritime, Thomas Corneille est mort le 8 décembre 1709 à 84 ans aux Andelys dans le département de l'Eure. Il est élu à l'
Académie française le 23 novembre 1684 pour succéder au fauteuil de son frère
Pierre Corneille décédé quelques mois auparavant. Thomas Corneille a écrit, seul ou en collaboration, une quarantaine de pièces de théâtre. Ses principales œuvres :
L'amour à la mode (1653),
Timocrate (1657),
Bérénice (1659),
Ariane (1672),
Le triomphe des dames (1676),
L'inconnu (1677),
Le comte d'Essex (1678),
Le Festin de pierre (1683), et
L'usurier publié en 1685. (
Source : Wikipédia )
2 — Les 55 pensées et citations de Thomas Corneille :
Le vrai plaisir d'aimer est dans le changement.
Thomas Corneille - Le festin de Pierre (1677) Dès qu'un beau visage a demandé mon cœur, je ne puis me résoudre à l'armer de rigueur.
Thomas Corneille - Le festin de Pierre (1677) On n'est pas bon juge dans sa propre cause.
Thomas Corneille - Le festin de Pierre (1677) À l'amour satisfait tout son charme est ôté.
Thomas Corneille - Le festin de Pierre (1677) Le véritable amour pour rien ne se relâche ; plus son malheur est grand, plus il s'attache.
Thomas Corneille - Darius, III, 4 (1669) Souvent la jalousie est ce qui nous enflamme.
Thomas Corneille - Le baron d'Albicrac, I, 5 (1667) En pensant faire tout, gardez de ne rien faire.
Thomas Corneille - Stilicon (1660) On croit ce qu'on souhaite assez facilement.
Thomas Corneille - Le baron d'Albicrac, I, 3 (1667) Il est pour des ingrats de rigoureux instants.
Thomas Corneille - Ariane, V, 2 (1672) Voir un ingrat qu'on aime et le voir insensible, c'est de tous les ennuis l'ennui le plus sensible.
Thomas Corneille - Ariane, III, 2 (1672) Par d'illustres efforts les grands cœurs se connaissent.
Thomas Corneille - Ariane, I, 1 (1672) Les plus charmants attraits qui parent un visage, sans la complaisance n'ont qu'un appas sauvage.
Thomas Corneille - L'amour à la mode, II, 3 (1651) Les faux brillants d'une grandeur pompeuse n'éblouissent jamais une âme généreuse.
Thomas Corneille - Bérénice, III, 1 (1657) Quiconque peut tout a droit de tout vouloir.
Thomas Corneille - La mort de l'empereur Commode, III, 1 (1657) À faire ce qu'on doit, on ne mérite rien.
Thomas Corneille - La mort de l'empereur Commode, V, 7 (1657) Dans les moindres projets, l'ignorance ou l'erreur ne s'excusent jamais.
Thomas Corneille - La mort de l'empereur Commode, IV, 2 (1657) Le goût dépend des lieux beaucoup moins que des gens.
Thomas Corneille - Le baron d'Albicrac, I, 7 (1667) Le crime fait la honte et non pas l'échafaud.
Thomas Corneille - Le comte d'Essex, IV, 3 (1678) D'ingratitude à tort, c'est vouloir accuser.
Thomas Corneille - La mort de l'empereur Commode, II, 2 (1657) Qui peut promettre tout ne veut rien refuser.
Thomas Corneille - La mort de l'empereur Commode, II, 2 (1657) On blâme en autrui ce qui plaît en soi-même.
Thomas Corneille - La mort de l'empereur Commode, II, 1 (1657) L'amour ne veut point d'autre prix que l'amour.
Thomas Corneille - Bérénice, III, 1 (1657) Rien n'est impossible à qui sait bien aimer.
Thomas Corneille - Bérénice, I, 4 (1657) À qui te veut abuser, c'est une lâcheté qui ne peut s'excuser.
Thomas Corneille - Darius, IV, 5 (1669) Le vrai, le pur amour, ne s'emporte jamais.
Thomas Corneille - Darius, IV, 1 (1669) L'honneur cède au profit.
Thomas Corneille - Le geôlier de soi-même, II, 5 (1655) Si je suis devant vous, vous êtes devant moi.
Thomas Corneille - Le geôlier de soi-même, II, 5 (1655) Le silence fut toujours des amants la plus vive éloquence ; c'est par là qu'un beau feu se fait mieux remarquer, et l'on a peu d'amour quand on peut l'expliquer.
Thomas Corneille - Le geôlier de soi-même, IV, 4 (1655) La louange des Grands ne produit que du vent.
Thomas Corneille - Le geôlier de soi-même, IV, 4 (1655) Ma raison n'a pas assez d'empire pour m'empêcher d'aimer ce que mon cœur admire.
Thomas Corneille - Le geôlier de soi-même, IV, 2 (1655) Quand on a tout à craindre, on ne doit craindre rien.
Thomas Corneille - Le geôlier de soi-même, III, 5 (1655) Apprenez à vous taire, ou parlez sagement.
Thomas Corneille - Le geôlier de soi-même, II, 5 (1655) Où la défaite est sûre et la mort infaillible, le courage est blâmable autant qu'il est nuisible.
Thomas Corneille - Le geôlier de soi-même, I, 3 (1655) C'est aimer un peu que d'estimer beaucoup.
Thomas Corneille - Le geôlier de soi-même, IV, 1 (1655) Les moindres lâchetés sont pour un grand cœur des crimes détestés.
Thomas Corneille - Ariane, II, 5 (1672) L'amour, par le respect dans un cœur enchaîné, devient plus violent, plus il se voit gêné.
Thomas Corneille - Le comte d'Essex, II, 1 (1678) Qui sauve un criminel se charge de son crime.
Thomas Corneille - Timocrate, I, 3 (1656) Qui reçoit un pardon souffre un soupçon infâme.
Thomas Corneille - Le comte d'Essex, II, 6 (1678) La douleur est un mal qu'un prompt remède irrite.
Thomas Corneille - Ariane, V, 6 (1672) On résiste aisément quand on n'espère pas.
Thomas Corneille - Ariane, I, 1 (1672) Les fortes passions ne touchent qu'une fois.
Thomas Corneille - Ariane, IV, 3 (1672) Ah ! qu'aisément un fils trouve le cœur d'un père, prêt au moindre remords, à calmer sa colère !
Thomas Corneille - Festin de Pierre, IV, I (1677) On n'est pas criminel toujours pour le paraître.
Thomas Corneille - Le comte d'Essex, II, 2 (1678) L'amour, par le remords, aisément se désarme : Il ne faut quelquefois qu'un soupir, qu'une larme.
Thomas Corneille - Ariane, IV, 2 (1672) Souvent le désespoir va plus loin qu'on ne pense.
Thomas Corneille - Stilicon (1660) Un cœur n'est pas longtemps le maître de ses vœux.
Thomas Corneille - Stilicon (1660) Ma foi ! s'il m'en souvient, il ne m'en souvient guère.
Thomas Corneille - Le geôlier de soi-même, II, 6 (1655) Un diseur de beaux mots sait dorer la pilule.
Thomas Corneille - Don César d'Avalos (1674) Que de douceurs charmantes font goûter aux amants les passions naissantes !
Thomas Corneille - Le festin de Pierre (1677) L'amour n'a bien souvent qu'une douceur trompeuse ; mais vivre indifférente est-ce une vie heureuse ?
Thomas Corneille - Ariane (1672) Ah ! que de la vertu les charmes sont puissants.
Thomas Corneille - Le comte d'Essex (1678) Je crains ce que je veux, et veux ce que je crains.
Thomas Corneille - Timocrate (1656) Les belles passions cherchent les belles âmes.
Thomas Corneille - Darius, I, 4 (1669) La naissance est l'appui des courages mal nés.
Thomas Corneille - Timocrate (1656) L'amour qui désire est tout caresse ; l'amour satisfait est tout paresse.
Thomas Corneille - Ariane (1672)
3 — La liste des auteurs populaires :