Respecte les autres, et ils te paieront de respect.
Chaque tsigane vante les qualités de son propre cheval.
Un homme au cœur impur creuse lui-même sa tombe.
Chanceux est l'homme qui descend d'une bonne famille.
Qui sait reconnaître sa chance est chanceux.
Là où on t'a donné à manger, ne renverse pas la marmite.
La prétention est le deuil de la tête.
Ta hache ne coupe pas autant que le qu'en dira-t-on.
Où passe l'aiguille, passe aussi le fil.
Qui maudit le pain, maudit sa tête.
Cent hommes, cent caractères.
L'homme est une destinée nue.
Deux c'est beaucoup, un c'est pas assez.
À pauvre abeille, pauvre miel.
Le va-nu-pieds se vante des chaussures de son frère.
Bien amer est le pain obtenu par mensonge.
La bonté appelle la bonté.
À grande faim il n'y a pas de pain dur.
Laisse cuire ce que tu n'as pas l'intention de manger.
Qui a honte de la langue de son pays, a honte de ses parents.
Le serpent quitte sa mue, mais ne quitte pas son venin.
Jeunesse est folie, vieillesse maladie.
Ne dis pas de mal de ceux qui n'en disent pas de toi.
Les paroles enflammées réduisent la vérité en cendre.
Écoute avec les oreilles, regarde avec les yeux, et tais-toi.
La main lave l'autre main, et les mains le visage.
Qui donne le respect, reçoit le respect.
L'insulté insulte.
Vrai au dehors, faux en dedans.
Le méprisé méprise.
Un Rom ne laisse pas mourir un autre Rom.
Une hache sans manche ne peut couper du bois.
Le raisin des autres semble plus sucré.