Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.

Lettres d'une marraine à sa filleule (1863).

Les 61 citations de Diane de Beausacq :

Il est plus sage de fuir les tentations que de les braver avec la résolution de les vaincre.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La médisance n'est qu'une étape sur le chemin de la vie qui conduit à la calomnie.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Les cœurs généreux sont gênés principalement par la crainte de gêner.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le dévouement et la générosité décuplent les forces, exaltent le courage, et peuvent seuls nous aider à surmonter les obstacles, à vaincre les difficultés, à lutter contre les tristesses et les amertumes de l'existence.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le temps est trop précieux pour être dépensé en visites inutiles.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le plus grand défaut de l'ignorance, c'est le pédantisme.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le bonheur est en nous, il dépend de notre caractère, de notre éducation, de notre force morale.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Une personne d'intelligence bornée peut avoir du tact, un sot jamais !

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Mieux vaut avancer à pas lents que d'être forcé de reculer violemment.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

L'indifférence accepte les apparences sans examen, et se hâte de prononcer ses jugements.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Il faut se respecter soi-même pour être respecté des autres.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Une bibliothèque est le corollaire de nos idées et de nos sentiments.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Travaillez sans cesse, et lisez beaucoup, afin de pouvoir vous intéresser à tout.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

C'est fort ennuyeux d'habiter un piédestal, de plus... c'est fort dangereux !

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Jouissez pleinement du printemps de votre vie, et préservez soigneusement vos jours du trouble.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le tact se trouve dans l'esprit quelquefois, mais plus souvent dans le cœur.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Mieux vaut une simplicité élégante à un luxe étriqué.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La vie réserve bien des chagrins, bien des déceptions cruelles.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Donnez votre avis comme votre, et non comme bon.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Souvenez-vous toujours que les petits sacrifices exigés, répétés, ébranlent les affections même les plus solides.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le bonheur est, dit-on, une chimère, que l'on poursuit dans la jeunesse pour soi et dans la maturité de la vie pour ceux que l'on aime ; cela n'est vrai que lorsqu'il s'agit de ceux qui cherchent le bonheur là où il ne peut être.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La lecture permet d'échapper aux tristesse de la solitude.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le pédant est celui qui a appris non les choses, mais les mots, et auquel l'apparence de l'instruction suffit.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La vanité a placé sur son entendement un bandeau qui ne s'écarte jamais, et elle marche en aveugle, heurtant les convenances, blessant tous ceux qu'elle rencontre, et faisant le vide autour d'elle par son outrecuidance et son aplomb ; ce que le monde pardonne le moins, c'est en effet l'amour-propre, qui prétend morigéner, redresser, éclairer les autres, et n'a point d'autre origine que l'admiration que l'on professe pour soi-même.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Les premiers pas que l'on fait dans le monde ont une influence décisive sur toute la vie.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Le pédantisme métamorphose un homme intelligent en un sot, insupportable par l'estime qu'il fait de lui-même.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Il n'y a de durable dans l'ordre des sentiments que ce qui est volontaire.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La nature a créé les femmes pour le dévouement et le sacrifice.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

La vanité conduit à la jalousie.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

Un bon père a toujours sous les yeux ses enfants.

Diane de Beausacq - Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)

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