Les 61 citations de Diane de Beausacq :
Il est plus sage de fuir les tentations que de les braver avec la résolution de les vaincre.
La médisance n'est qu'une étape sur le chemin de la vie qui conduit à la calomnie.
Les cœurs généreux sont gênés principalement par la crainte de gêner.
Le dévouement et la générosité décuplent les forces, exaltent le courage, et peuvent seuls nous aider à surmonter les obstacles, à vaincre les difficultés, à lutter contre les tristesses et les amertumes de l'existence.
Le temps est trop précieux pour être dépensé en visites inutiles.
Le plus grand défaut de l'ignorance, c'est le pédantisme.
Le bonheur est en nous, il dépend de notre caractère, de notre éducation, de notre force morale.
Une personne d'intelligence bornée peut avoir du tact, un sot jamais !
Mieux vaut avancer à pas lents que d'être forcé de reculer violemment.
L'indifférence accepte les apparences sans examen, et se hâte de prononcer ses jugements.
Il faut se respecter soi-même pour être respecté des autres.
Une bibliothèque est le corollaire de nos idées et de nos sentiments.
Travaillez sans cesse, et lisez beaucoup, afin de pouvoir vous intéresser à tout.
C'est fort ennuyeux d'habiter un piédestal, de plus... c'est fort dangereux !
Jouissez pleinement du printemps de votre vie, et préservez soigneusement vos jours du trouble.
Le tact se trouve dans l'esprit quelquefois, mais plus souvent dans le cœur.
Mieux vaut une simplicité élégante à un luxe étriqué.
La vie réserve bien des chagrins, bien des déceptions cruelles.
Donnez votre avis comme votre, et non comme bon.
Souvenez-vous toujours que les petits sacrifices exigés, répétés, ébranlent les affections même les plus solides.
Le bonheur est, dit-on, une chimère, que l'on poursuit dans la jeunesse pour soi et dans la maturité de la vie pour ceux que l'on aime ; cela n'est vrai que lorsqu'il s'agit de ceux qui cherchent le bonheur là où il ne peut être.
La lecture permet d'échapper aux tristesse de la solitude.
Le pédant est celui qui a appris non les choses, mais les mots, et auquel l'apparence de l'instruction suffit.
La vanité a placé sur son entendement un bandeau qui ne s'écarte jamais, et elle marche en aveugle, heurtant les convenances, blessant tous ceux qu'elle rencontre, et faisant le vide autour d'elle par son outrecuidance et son aplomb ; ce que le monde pardonne le moins, c'est en effet l'amour-propre, qui prétend morigéner, redresser, éclairer les autres, et n'a point d'autre origine que l'admiration que l'on professe pour soi-même.
Les premiers pas que l'on fait dans le monde ont une influence décisive sur toute la vie.
Le pédantisme métamorphose un homme intelligent en un sot, insupportable par l'estime qu'il fait de lui-même.
Il n'y a de durable dans l'ordre des sentiments que ce qui est volontaire.
La nature a créé les femmes pour le dévouement et le sacrifice.
La vanité conduit à la jalousie.
Un bon père a toujours sous les yeux ses enfants.