Les citations de Mocharrafoddin Saadi.

1 - Qui est Mocharrafoddin Saadi ?

Photo / portrait de Mocharrafoddin Saadi Biographie courte : Poète persan, auteur du célèbre ouvrage intitulé Le Gulistan ou le Jardin des roses, Mocharrafoddin Saadi est né à Schiraz en Perse en 1184, il serait décédé en 1283 ou en 1291. Le nom de Saadi lui fut donné parce que son père était attaché au prince persan Saad Ben Zenghi. (Mocharrafoddin Saadi sur Wikipédia)

2 - Ce dictionnaire vous propose 113 citations et pensées de Mocharrafoddin Saadi :

Envers celui qui t'a déjà menti, redoute ses trahisons, et sois peu confiant en ses promesses et serments.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Le bavard a les oreilles bouchées et la langue pendue ; la voix de la sagesse a besoin de recueillement pour se faire entendre.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Là où la victoire se peut obtenir par la douceur, évite la lutte et l'effusion du sang.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Ne révèle point, dans la chaleur d'une dispute, les confidences d'un autre, de peur qu'il ne révèle les tiennes.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Si tu sèmes le chardon ne compte pas cueillir le jasmin.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Il vaut mieux être sourd que d'entendre des propos frivoles.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Frappez à la porte de l'hôte généreux, et elle s'ouvrira.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Renoncer à un bien qu'on ne saurait remplacer est une faute.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Il faut réfléchir avant de tendre la corde de l'arc et non pas quand la flèche est lancée.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

La fourmi, si faible qu'elle soit, ne connait pas la famine ; mais le lion, malgré la vigueur de ses griffes redoutables, ne trouve pas toujours sa nourriture. Puisqu'il n'est pas donné à l'homme de gouverner la fortune, qu'il se résigne à ses caprices.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Heureux qui habite sous le même toit avec une compagne pleine de tendresse.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Marcher et s'asseoir valent mieux que courir et être rompu.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

N'épargne point ton ennemi à cause de sa faiblesse, car s'il était fort il ne t'épargnerait pas.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Rien ne convient mieux à l'ignorant que le silence.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Qui donne conseil à un homme rempli de lui-même a lui-même besoin de conseil.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Ce n'est pas assez de posséder une belle figure pour être parfait en vertu , car le siège de la vertu n'est pas sur le visage, mais bien dans le cœur.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Les jeunes personnes sont gaies, elles ont de belles joues, mais elles ne sont pas fermes dans la fidélité.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Celui qui étudie et ne met pas sa science en usage est un paysan qui laboure et ne sème pas.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Un mulet chargé de livres n'en est pas plus savant.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

La compassion pour les méchants est une injure pour les bons.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Deux espèces d'hommes travaillent inutilement : Celui qui gagne et ne jouit pas de ce qu'il gagne, celui qui étudie la morale et n'y conforme pas sa vie.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

L'homme heureux est celui qui mange après avoir semé ; le malheureux, celui qui meurt au milieu de ses épargnes.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Ne dévoile point les fautes cachées des autres ; en détruisant leur réputation vous ne nuisez pas moins à la vôtre.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Le plus dangereux de tes ennemis est la luxure qui t'habite.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Le bois brûle plus clair mêlé à d'autre bois.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Quiconque n'use pas de sa prospérité pour faire du bien doit s'attendre à la misère dans l'adversité.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Ne sème point l'hyacinthe dans une mauvaise terre, tu perdrais ton temps et ta dépense.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

La guerre est un jeu cruel qui ne se paie qu'avec le sang.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Ne méprise personne sur son apparence, car la moindre touffe de bois peut receler un tigre.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

La main suffit quelquefois pour couvrir la source d'un fleuve.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Qui a une voix douce et une main caressante conduit un éléphant avec un fil.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Le glaive le plus tranchant ne peut entamer la soie molle qui cède à ses coups.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Les esprits bas et rampants ne s'élèvent jamais au sublime.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Je crains Dieu, et après Dieu, je crains principalement celui qui ne le craint pas.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Qui se lie avec les ennemis de ses amis offense l'amitié.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Évite les querelles avec les hommes doux et pacifiques, et si quelqu'un frappe à la porte de la paix, ne va pas lui déclarer la guerre.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Imite le chirurgien qui, suivant le besoin, applique le fer ou le baume sur la blessure.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

L'homme qui pèse le fort et le faible d'un discours l'emporte sur le bavard toujours prompt à la riposte.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Un pécheur qui élève la main pour implorer son pardon vaut mieux qu'un dévot qui élève la tête.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Frappez la tête du serpent avec la main de votre ennemi, et il en résultera nécessairement un bien pour vous ; car s'il est vainqueur, le serpent sera tué, et s'il est vaincu, vous aurez un ennemi de moins.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

La parole est la parure de l'âme, fais en sorte qu'elle ne soit pas pour toi une laideur.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Le chemin de la vie est plein d'épines, tachez dans protéger vos frères.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Trop heureux ! celui qui tous les matins peut contempler les charmes d'un beau visage.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Délicat ou grossier, le repas est toujours bon quand l'appétit l'assaisonne.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Qui a toujours joui d'une santé robuste ne peut connaître la douleur.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Deux morceaux de bois à coté l'un de l'autre s'allument et brûlent plus aisément qu'un seul.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Partout l'épine est cachée sous la rose.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

L'ivresse du vin passe bien vite ; mais celle de l'amour est plus durable.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Il n'est point d'amitié que l'on doive rompre.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Le fer d'une lance prête à vous percer blesse encore moins la vue que le visage d'un ennemi.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

On ne peut vivre sans amis, et c'est un devoir que de supporter ses caprices.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Le désir vaut mieux que la satiété.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

L'œil de l'amour ne voit jamais que des vertus.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Que peuvent sur un cœur égaré les conseils de la raison ?

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Si le sort met des obstacles insurmontables à notre union, alors la vraie loi de l'amour est de mourir de regret.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Dans la guerre, ce sont les hommes robustes qui donnent la mort ; dans la paix, c'est la beauté qui tue bien souvent ses adorateurs.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Quand on est enfoncé jusqu'au cou, peut-on être sans souillure ?

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

La piété la plus austère ne peut résister à l'amour.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Ce qui touche le cœur est toujours le plus beau aux yeux.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Les hommes sont en droit d'attendre des bienfaits les uns des autres, mais le seul que l'on puisse espérer, c'est de ne pas recevoir de mal.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Dévoiler un secret, c'est jouer un jeu où l'on ne paie qu'avec sa tête.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Jamais on ne montre mieux sa sottise qu'en interrompant un propos pour y mêler le sien.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Un bon mot, quelque excellent qu'il soit, perd son sel en le répétant.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Ne disputez jamais avec quiconque n'admet la tradition ; le silence est la meilleure réponse.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

La vertu même prend les couleurs du vice aux yeux d'un ennemi.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

On peut arracher une flèche de la blessure, mais le ressentiment d'une injure vit toujours au fond du cœur.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Si vous avez une voix douce et une main caressante, vous conduirez l'éléphant avec un fil.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

La douceur et la complaisance ferment la porte au combat.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Un beau visage est une clé qui ouvre toutes les portes.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Un mauvais naturel jamais ne se corrige.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Qui a la libéralité n'a pas besoin de la force.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

On ne gagne rien à prêcher la sagesse à des vauriens.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

La patience du pauvre est préférable à la magnificence du riche.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Le malheur est la pierre de touche de l'amitié.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Un beau visage est le remède qui guérit tous les chagrins.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Il faut avoir éprouvé la peine pour sentir les bienfaits du plaisir.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Le vrai ami se fait un devoir de soulager vos peines.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Le savant est comme l'or en barre, qui trouve partout son prix.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Quand on est frappé par la nécessité, il n'est plus temps d'élever au ciel des mains suppliantes.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Sans la patience, il n'y a pas de sagesse.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Redoute qui te craint.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Malheur aux lâches et aux hypocrites qui, tour à tour agneaux timides et loups dévorants, flattent en leur présence ceux qu'ils déchirent en secret. Songe que celui qui te raconte les fautes d'autrui, ne vient que pour mieux épier les tiennes.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Les lâches détestent et calomnient les gens de cœur. Ils sont semblables à ces chiens de cuisine, qui, dès qu'ils voient un chien de chasse, ne manquent jamais d'aboyer contre lui, mais n'osent sortir pour le combattre.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

N'annoncez pas vous-même une méchante nouvelle à celui qui peut en être troublé ; laissez un autre se charger de ce soin. Comme le rossignol, n'annoncez que le printemps, et non, comme la chouette, la nuit ou de funestes présages.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

La sagesse est de jouir, la bonté de faire jouir.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Si tu as une fois offensé quelqu'un, quand même tu lui aurais rendu depuis cent services, ne te crois jamais en sûreté avec lui.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Le bonheur est un don de la justice divine ; il n'est pas le privilège de la force et de la grandeur.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Le sage n'est pas celui qui prêche le bien, mais celui qui le fait.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Qui n'aime nul être ignore la joie de vivre.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Toute précaution est inutile contre la destinée !

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

La vraie dévotion est un bel arbre qu'il faut soigner pour qu'il porte des fruits.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

La piété est sur le cœur, et non sur les vêtements.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Le sage ne demande rien au mendiant, il sait que d'un être misérable il n'y a rien à espérer.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Croire qu'un faible ennemi ne peut pas nuire, c'est croire qu'une étincelle ne peut pas causer un incendie.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Ton cœur est comme l'enceinte fortifiée des secrets, prends garde qu'ils ne trouvent la porte ouverte.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Méfie-toi du beau parleur : imite les sages, ne prononce qu'une parole, mais qu'elle soit sensée.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

L'homme prudent en son langage n'est pas exposé à en rougir.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Si tu ne sais quoi dire, garde le silence.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Ventre plein, cervelle vide.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Heureux celui qui, du fond de sa retraite, fait une ample provision de vertus !

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Boire, manger, dormir, est l'unique souci de la brute.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

La modération dans les désirs est la vraie richesse de l'homme.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Si tu recherches la réputation en ce monde, étale tes apparences et cache les vices de ton cœur.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Rapiécer le froc du mensonge est chose facile, mais comment pourra-t-on le vendre à Dieu ?

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Ne t'attache pas aux vaines apparences d'une dévotion de faux aloi, c'est un étang au fond duquel il n'y a que vase.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Il faut paraître ce que l'on est.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

La fourmi, si faible qu'elle soit, ne connaît pas la famine.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Le voleur qui bat les grandes routes est moins criminel que l'hypocrite.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Les fruits appartiennent à celui qui a planté l'arbre, les moissons à celui qui a fait les semailles.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Apprend à pardonner les fautes d'autrui, sois bon et indulgent.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Deux sages en colère ne rompent pas même un cheveux ; tandis que deux insensés briseraient une chaîne de fer.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

Le sucre perd toute sa douceur lorsque l'heure amère du paiement le suit de près.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

Saisis l'instant, sachant que chaque jour de ton futur c'est un jour qui s'en va.

Mocharrafoddin Saadi - Le jardin des roses - XIIIe siècle.

3 - La liste des auteurs populaires :

Le dictionnaire des meilleurs auteurs français et étrangers »
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